Un jaloux ne peut pas gagner. Un roman peu policier
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- FormatePub
- ISBN978-2-940164-60-8
- EAN9782940164608
- Date de parution04/08/2017
- Protection num.pas de protection
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurRomPol
Résumé
La mort de Pascal des Aubères, musicien-chanteur, est-elle vraiment accidentelle ?Amélien Bimy, journaliste aux Rostres Ouzonnais, ne demande qu'à y aller voir. Il en est empêché par son rédenchef et n'aime pas ça. Il s'en ouvre à un vieux copain, écrivain public de son état. Le désir et la volonté de savoir priment : ils enquêteront, aidés par des amis et de belles accointances. Ils connaîtront leurs limites, leur manque de méthode, l'incertitude de toutes choses, le doute, la lassitude.
Mais assassins amateurs et détectives improvisés sont faits pour s'entendre.Le premier roman "peu policier" d'Henry Meyer R. : style novateur, genre nouveau !EXTRAIT- Non c'est non, Bimy ! Non ! Compris?Le nez romain de l'interpellé plongea et son propriétaire hocha la tête de haut en bas tout en disant: - Non. Je veux dire: oui, M. le Rédacteur-en-Chef. Sa carcasse bien charpentée tassée dans la chaise à accoudoirs, les yeux rivés sur ses genoux, le journaliste n'en menait pas large.
Il avait l'air d'un petit garçon pris en faute. Au début de l'entretien, il avait fait valoir clairement et calmement son point de vue, mais il avait peu à peu fait le dos rond sous la mercuriale du rédenchef. L'humilité de son attitude tenait autant de la diplomatie que de la ruse. Il savait qu'il valait mieux ne pas heurter Léadin LeAdout de face, surtout pas depuis que fumer avait été interdit dans les locaux du journal, des analyses ayant établi que la ventilation du bâtiment fabriquait un tas de saloperies qu'elle rejetait dans l'atmosphère.
Faute de pouvoir supprimer cette pollution structurelle, on avait décidé de bannir le tabac. La mesure était dérisoire, évidemment, et éminemment vexatoire pour les journalistes, grands pétuneurs comme on le sait - clope roulée ou non, cigarillo, pipe ou cigare, selon une codi?cation et une hiérarchie implicite et subtile -, et avant tout symbolique. Il fallait que Les Rostres Ouzonnais montrassent leur bonne volonté dans cette malheureuse affaire à la majorité socialo-écolo de la ville, car ils se voulaient un journal gouvernemental, toujours et en tout.
Ce qui n'allait pas sans quelques contorsions, la majorité cantonale se situant au centre-droit et celle du gouvernement fédéral, à droite.À PROPOS DE L'AUTEURHenry Meyer est né en 1952 à Lausanne. Il dessine, peint, grave, sculpte et multiplie les expositions. Il travaille quelques années comme dessinateur de presse à l'édition dominicale de « La Tribune-Le Matin » et à « L'Hebdo ». En 2009 il se tourne vers l'écriture.
Sans préméditation, il produit un roman policier, plus précisément un roman peupolicier. Non seulement il crée du premier coup un genre particulier, mais il adopte d'entrée une écriture personnelle avec des personnages caractéristiques dans une ville parallèle.
Mais assassins amateurs et détectives improvisés sont faits pour s'entendre.Le premier roman "peu policier" d'Henry Meyer R. : style novateur, genre nouveau !EXTRAIT- Non c'est non, Bimy ! Non ! Compris?Le nez romain de l'interpellé plongea et son propriétaire hocha la tête de haut en bas tout en disant: - Non. Je veux dire: oui, M. le Rédacteur-en-Chef. Sa carcasse bien charpentée tassée dans la chaise à accoudoirs, les yeux rivés sur ses genoux, le journaliste n'en menait pas large.
Il avait l'air d'un petit garçon pris en faute. Au début de l'entretien, il avait fait valoir clairement et calmement son point de vue, mais il avait peu à peu fait le dos rond sous la mercuriale du rédenchef. L'humilité de son attitude tenait autant de la diplomatie que de la ruse. Il savait qu'il valait mieux ne pas heurter Léadin LeAdout de face, surtout pas depuis que fumer avait été interdit dans les locaux du journal, des analyses ayant établi que la ventilation du bâtiment fabriquait un tas de saloperies qu'elle rejetait dans l'atmosphère.
Faute de pouvoir supprimer cette pollution structurelle, on avait décidé de bannir le tabac. La mesure était dérisoire, évidemment, et éminemment vexatoire pour les journalistes, grands pétuneurs comme on le sait - clope roulée ou non, cigarillo, pipe ou cigare, selon une codi?cation et une hiérarchie implicite et subtile -, et avant tout symbolique. Il fallait que Les Rostres Ouzonnais montrassent leur bonne volonté dans cette malheureuse affaire à la majorité socialo-écolo de la ville, car ils se voulaient un journal gouvernemental, toujours et en tout.
Ce qui n'allait pas sans quelques contorsions, la majorité cantonale se situant au centre-droit et celle du gouvernement fédéral, à droite.À PROPOS DE L'AUTEURHenry Meyer est né en 1952 à Lausanne. Il dessine, peint, grave, sculpte et multiplie les expositions. Il travaille quelques années comme dessinateur de presse à l'édition dominicale de « La Tribune-Le Matin » et à « L'Hebdo ». En 2009 il se tourne vers l'écriture.
Sans préméditation, il produit un roman policier, plus précisément un roman peupolicier. Non seulement il crée du premier coup un genre particulier, mais il adopte d'entrée une écriture personnelle avec des personnages caractéristiques dans une ville parallèle.
La mort de Pascal des Aubères, musicien-chanteur, est-elle vraiment accidentelle ?Amélien Bimy, journaliste aux Rostres Ouzonnais, ne demande qu'à y aller voir. Il en est empêché par son rédenchef et n'aime pas ça. Il s'en ouvre à un vieux copain, écrivain public de son état. Le désir et la volonté de savoir priment : ils enquêteront, aidés par des amis et de belles accointances. Ils connaîtront leurs limites, leur manque de méthode, l'incertitude de toutes choses, le doute, la lassitude.
Mais assassins amateurs et détectives improvisés sont faits pour s'entendre.Le premier roman "peu policier" d'Henry Meyer R. : style novateur, genre nouveau !EXTRAIT- Non c'est non, Bimy ! Non ! Compris?Le nez romain de l'interpellé plongea et son propriétaire hocha la tête de haut en bas tout en disant: - Non. Je veux dire: oui, M. le Rédacteur-en-Chef. Sa carcasse bien charpentée tassée dans la chaise à accoudoirs, les yeux rivés sur ses genoux, le journaliste n'en menait pas large.
Il avait l'air d'un petit garçon pris en faute. Au début de l'entretien, il avait fait valoir clairement et calmement son point de vue, mais il avait peu à peu fait le dos rond sous la mercuriale du rédenchef. L'humilité de son attitude tenait autant de la diplomatie que de la ruse. Il savait qu'il valait mieux ne pas heurter Léadin LeAdout de face, surtout pas depuis que fumer avait été interdit dans les locaux du journal, des analyses ayant établi que la ventilation du bâtiment fabriquait un tas de saloperies qu'elle rejetait dans l'atmosphère.
Faute de pouvoir supprimer cette pollution structurelle, on avait décidé de bannir le tabac. La mesure était dérisoire, évidemment, et éminemment vexatoire pour les journalistes, grands pétuneurs comme on le sait - clope roulée ou non, cigarillo, pipe ou cigare, selon une codi?cation et une hiérarchie implicite et subtile -, et avant tout symbolique. Il fallait que Les Rostres Ouzonnais montrassent leur bonne volonté dans cette malheureuse affaire à la majorité socialo-écolo de la ville, car ils se voulaient un journal gouvernemental, toujours et en tout.
Ce qui n'allait pas sans quelques contorsions, la majorité cantonale se situant au centre-droit et celle du gouvernement fédéral, à droite.À PROPOS DE L'AUTEURHenry Meyer est né en 1952 à Lausanne. Il dessine, peint, grave, sculpte et multiplie les expositions. Il travaille quelques années comme dessinateur de presse à l'édition dominicale de « La Tribune-Le Matin » et à « L'Hebdo ». En 2009 il se tourne vers l'écriture.
Sans préméditation, il produit un roman policier, plus précisément un roman peupolicier. Non seulement il crée du premier coup un genre particulier, mais il adopte d'entrée une écriture personnelle avec des personnages caractéristiques dans une ville parallèle.
Mais assassins amateurs et détectives improvisés sont faits pour s'entendre.Le premier roman "peu policier" d'Henry Meyer R. : style novateur, genre nouveau !EXTRAIT- Non c'est non, Bimy ! Non ! Compris?Le nez romain de l'interpellé plongea et son propriétaire hocha la tête de haut en bas tout en disant: - Non. Je veux dire: oui, M. le Rédacteur-en-Chef. Sa carcasse bien charpentée tassée dans la chaise à accoudoirs, les yeux rivés sur ses genoux, le journaliste n'en menait pas large.
Il avait l'air d'un petit garçon pris en faute. Au début de l'entretien, il avait fait valoir clairement et calmement son point de vue, mais il avait peu à peu fait le dos rond sous la mercuriale du rédenchef. L'humilité de son attitude tenait autant de la diplomatie que de la ruse. Il savait qu'il valait mieux ne pas heurter Léadin LeAdout de face, surtout pas depuis que fumer avait été interdit dans les locaux du journal, des analyses ayant établi que la ventilation du bâtiment fabriquait un tas de saloperies qu'elle rejetait dans l'atmosphère.
Faute de pouvoir supprimer cette pollution structurelle, on avait décidé de bannir le tabac. La mesure était dérisoire, évidemment, et éminemment vexatoire pour les journalistes, grands pétuneurs comme on le sait - clope roulée ou non, cigarillo, pipe ou cigare, selon une codi?cation et une hiérarchie implicite et subtile -, et avant tout symbolique. Il fallait que Les Rostres Ouzonnais montrassent leur bonne volonté dans cette malheureuse affaire à la majorité socialo-écolo de la ville, car ils se voulaient un journal gouvernemental, toujours et en tout.
Ce qui n'allait pas sans quelques contorsions, la majorité cantonale se situant au centre-droit et celle du gouvernement fédéral, à droite.À PROPOS DE L'AUTEURHenry Meyer est né en 1952 à Lausanne. Il dessine, peint, grave, sculpte et multiplie les expositions. Il travaille quelques années comme dessinateur de presse à l'édition dominicale de « La Tribune-Le Matin » et à « L'Hebdo ». En 2009 il se tourne vers l'écriture.
Sans préméditation, il produit un roman policier, plus précisément un roman peupolicier. Non seulement il crée du premier coup un genre particulier, mais il adopte d'entrée une écriture personnelle avec des personnages caractéristiques dans une ville parallèle.