Un islam à vocation libératrice
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- Nombre de pages180
- FormatPDF
- ISBN2-296-29486-3
- EAN9782296294868
- Date de parution01/01/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'ouvrage de Mahmoud Mohamed Taha, penseur musulman soudanais, exécuté en 1985 pour ses idées religieuses et ses positions politiques, représente ce que Samir Amin appelle une ouverture vers " une théologie islamique de la libération ". Relisant le message religieux de l'Islam à la lumière d'une analyse historique et sociale de ses deux périodes historiques, celle de la Mecque et celle de Médine, l'auteur formule une hypothèse.
Les écrits de la première seraient plus proches des principes fondateurs de l'Islam que ceux qui suivirent, au moment où il fallait adapter l'organisation d'une communauté dans un contexte social précis. Pour M.M. Taha, la vie des individus est une lutte permanente qui n'a de sens que lue dans la perspective d'un combat pour se rapprocher de la condition divine. La vie des sociétés n'a de sens que dans leur combat pour progresser dans le sens de la perfection.
D'où le concept d'une société juste et égalitaire, où ni la guerre sainte, ni l'esclavage, ni le capitalisme, ni les inégalités entre les hommes et les femmes, ni la polygamie, ni le voile ne sont des principes fondateurs en Islam.
Les écrits de la première seraient plus proches des principes fondateurs de l'Islam que ceux qui suivirent, au moment où il fallait adapter l'organisation d'une communauté dans un contexte social précis. Pour M.M. Taha, la vie des individus est une lutte permanente qui n'a de sens que lue dans la perspective d'un combat pour se rapprocher de la condition divine. La vie des sociétés n'a de sens que dans leur combat pour progresser dans le sens de la perfection.
D'où le concept d'une société juste et égalitaire, où ni la guerre sainte, ni l'esclavage, ni le capitalisme, ni les inégalités entre les hommes et les femmes, ni la polygamie, ni le voile ne sont des principes fondateurs en Islam.
L'ouvrage de Mahmoud Mohamed Taha, penseur musulman soudanais, exécuté en 1985 pour ses idées religieuses et ses positions politiques, représente ce que Samir Amin appelle une ouverture vers " une théologie islamique de la libération ". Relisant le message religieux de l'Islam à la lumière d'une analyse historique et sociale de ses deux périodes historiques, celle de la Mecque et celle de Médine, l'auteur formule une hypothèse.
Les écrits de la première seraient plus proches des principes fondateurs de l'Islam que ceux qui suivirent, au moment où il fallait adapter l'organisation d'une communauté dans un contexte social précis. Pour M.M. Taha, la vie des individus est une lutte permanente qui n'a de sens que lue dans la perspective d'un combat pour se rapprocher de la condition divine. La vie des sociétés n'a de sens que dans leur combat pour progresser dans le sens de la perfection.
D'où le concept d'une société juste et égalitaire, où ni la guerre sainte, ni l'esclavage, ni le capitalisme, ni les inégalités entre les hommes et les femmes, ni la polygamie, ni le voile ne sont des principes fondateurs en Islam.
Les écrits de la première seraient plus proches des principes fondateurs de l'Islam que ceux qui suivirent, au moment où il fallait adapter l'organisation d'une communauté dans un contexte social précis. Pour M.M. Taha, la vie des individus est une lutte permanente qui n'a de sens que lue dans la perspective d'un combat pour se rapprocher de la condition divine. La vie des sociétés n'a de sens que dans leur combat pour progresser dans le sens de la perfection.
D'où le concept d'une société juste et égalitaire, où ni la guerre sainte, ni l'esclavage, ni le capitalisme, ni les inégalités entre les hommes et les femmes, ni la polygamie, ni le voile ne sont des principes fondateurs en Islam.