Un cœur de la tête aux pieds. Les pittoresques tribulations de l'Abbé Laribe, curé de campagne

Par : Paul Gouygou, Denis Tillinac

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  • Nombre de pages164
  • FormatePub
  • ISBN2-307-22037-2
  • EAN9782307220374
  • Date de parution01/01/1989
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille584 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Cura...

Résumé

Entre Quercy, Périgord et Limousin, l'histoire a épousé la géographie, pour enfanter un pays de cocagne avec la bénédiction de la Dordogne proche, la Vicomté de Turenne, dernière entame féodale au sein du royaume de France, absorbée par la commune sous Louis XV. Cette contrée - latine avec modération - où le caillou blanc du causse se dissimule sous l'herbe corrézienne, fournit les extérieurs du roman du Père Gouygou.
Au-delà de l'intrigue, ce roman vaut par l'étoffe des personnages et, singulièrement, du Père Laribe, curé de Florac, attachante figure plébéienne, qui dément l'image « obscurantiste » répandue par la propagande anticléricale de l'époque. On entend bruire la vie campagnarde au rythme de ses saisons, avec ses fêtes innombrables, ses personnages drôlatiques, encore médiévaux par tels tours d'esprit ou de langage.
Le Corrézien que je suis, retrouve avec émotion la tonalité des récits du temps jadis, dont me régalait ma grand-mère.
Entre Quercy, Périgord et Limousin, l'histoire a épousé la géographie, pour enfanter un pays de cocagne avec la bénédiction de la Dordogne proche, la Vicomté de Turenne, dernière entame féodale au sein du royaume de France, absorbée par la commune sous Louis XV. Cette contrée - latine avec modération - où le caillou blanc du causse se dissimule sous l'herbe corrézienne, fournit les extérieurs du roman du Père Gouygou.
Au-delà de l'intrigue, ce roman vaut par l'étoffe des personnages et, singulièrement, du Père Laribe, curé de Florac, attachante figure plébéienne, qui dément l'image « obscurantiste » répandue par la propagande anticléricale de l'époque. On entend bruire la vie campagnarde au rythme de ses saisons, avec ses fêtes innombrables, ses personnages drôlatiques, encore médiévaux par tels tours d'esprit ou de langage.
Le Corrézien que je suis, retrouve avec émotion la tonalité des récits du temps jadis, dont me régalait ma grand-mère.