Un casque bleu chez les Khmers rouges. Journal d’un soldat de la paix, Cambodge 1992
1e édition
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- Nombre de pages272
- FormatePub
- ISBN978-2-251-91535-7
- EAN9782251915357
- Date de parution06/05/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- PréfacierStéphane Audoin-Rouzeau
Résumé
Pour sa première mission extérieure, le capitaine Guillaume Ancel, 27 ans, débarque en mai 1992 au Cambodge, pays ravagé par vingt années de guerre. Avec les soldats de la mission de paix de l'APRONUC (Autorité Provisoire des Nations Unies au Cambodge), il s'agit de faire appliquer les accords de Paris, en commençant par désarmer les factions. Plus facile à dire qu'à faire. Guillaume Ancel découvre un pays semé de mines et plongé dans le chaos.
Le tiers de sa population a disparu, en grande partie durant le génocide perpétré par les Khmers rouges. Sa mission : rencontrer certains de leurs chefs pour les amener à déposer les armes. Lui, en tant que négociateur n'en porte pas. Chef de patrouille, il est à la tête de soldats de « l'armée du monde » venus de Chine, d'Amérique, du Népal, d'Italie ou d'Uruguay. Le récit de la collaboration de ces hommes, au cour des ténèbres, est une des lumières de ce livre.
Un casque bleu chez les Khmers rouges est aussi un témoignage sans concessions, comme les précédents ouvrages de l'auteur sur ses missions en ex-Yougoslavie ou au Rwanda. Guillaume Ancel ne tait ici ni les travers ni les dérives, parfois terribles, de ceux qui sont venus faire la paix.
Le tiers de sa population a disparu, en grande partie durant le génocide perpétré par les Khmers rouges. Sa mission : rencontrer certains de leurs chefs pour les amener à déposer les armes. Lui, en tant que négociateur n'en porte pas. Chef de patrouille, il est à la tête de soldats de « l'armée du monde » venus de Chine, d'Amérique, du Népal, d'Italie ou d'Uruguay. Le récit de la collaboration de ces hommes, au cour des ténèbres, est une des lumières de ce livre.
Un casque bleu chez les Khmers rouges est aussi un témoignage sans concessions, comme les précédents ouvrages de l'auteur sur ses missions en ex-Yougoslavie ou au Rwanda. Guillaume Ancel ne tait ici ni les travers ni les dérives, parfois terribles, de ceux qui sont venus faire la paix.
Pour sa première mission extérieure, le capitaine Guillaume Ancel, 27 ans, débarque en mai 1992 au Cambodge, pays ravagé par vingt années de guerre. Avec les soldats de la mission de paix de l'APRONUC (Autorité Provisoire des Nations Unies au Cambodge), il s'agit de faire appliquer les accords de Paris, en commençant par désarmer les factions. Plus facile à dire qu'à faire. Guillaume Ancel découvre un pays semé de mines et plongé dans le chaos.
Le tiers de sa population a disparu, en grande partie durant le génocide perpétré par les Khmers rouges. Sa mission : rencontrer certains de leurs chefs pour les amener à déposer les armes. Lui, en tant que négociateur n'en porte pas. Chef de patrouille, il est à la tête de soldats de « l'armée du monde » venus de Chine, d'Amérique, du Népal, d'Italie ou d'Uruguay. Le récit de la collaboration de ces hommes, au cour des ténèbres, est une des lumières de ce livre.
Un casque bleu chez les Khmers rouges est aussi un témoignage sans concessions, comme les précédents ouvrages de l'auteur sur ses missions en ex-Yougoslavie ou au Rwanda. Guillaume Ancel ne tait ici ni les travers ni les dérives, parfois terribles, de ceux qui sont venus faire la paix.
Le tiers de sa population a disparu, en grande partie durant le génocide perpétré par les Khmers rouges. Sa mission : rencontrer certains de leurs chefs pour les amener à déposer les armes. Lui, en tant que négociateur n'en porte pas. Chef de patrouille, il est à la tête de soldats de « l'armée du monde » venus de Chine, d'Amérique, du Népal, d'Italie ou d'Uruguay. Le récit de la collaboration de ces hommes, au cour des ténèbres, est une des lumières de ce livre.
Un casque bleu chez les Khmers rouges est aussi un témoignage sans concessions, comme les précédents ouvrages de l'auteur sur ses missions en ex-Yougoslavie ou au Rwanda. Guillaume Ancel ne tait ici ni les travers ni les dérives, parfois terribles, de ceux qui sont venus faire la paix.