Un bout d'air - Autobiographie
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- Nombre de pages81
- FormatePub
- ISBN978-2-7556-4925-3
- EAN9782755649253
- Date de parution03/09/2020
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurHugo Document
Résumé
Tout le monde connaît Booder. Humoriste, comédien, il est sur tous les plateaux de télévision. Il est surtout un homme qui a eu plusieurs vies dans sa vie grâce ou à cause de son physique atypique.« Les bébés croient que j'ai un visage en pâte à modeler ! » dit-il. Né au Maroc, arrivé en France à peine âgé d'un an en raison de problèmes de santé, Mohammed Benyamna a mis des années à trouver sa voie.
Bon footballeur et fan du joueur marocain Aziz Bouderbala, il n'avait pas les moyens de s'acheter un maillot fl oqué à son nom. Il s'amusait donc à l'écrire dans le dos d'un T-shirt vierge. « Bouderbala » étant bien trop long pour la largeur de son dos, il l'a réduit en « Bouder », ce quilui a valu ce surnom dans son quartier. Tout le monde le connaissait, très blagueur, souriant et plein d'entrain, il s'est servi de ces qualités pour devenir éducateur pour les jeunes, sa vie tournait autour du football.
Découragé par le manque d'intérêt porté aux enfants de ces quartiers, il a tenté de changer de chemin. Il a passé son BAC, fait des études de comptabilité, il s'est donné les moyens de réussir mais son physique, son nom, son adresse semblent lui avoir fermé les portes. Jusqu'au jour où le directeur de son école l'a menacé de le virer trois jours après une grosse bêtise. Il lui a proposé un deal : « Je ne te vire pas si tu t'inscris au cours de théâtre du soir ».
Sans conviction, Booder a accepté et sa vie a changé. Sa passion, il l'avait trouvée. C'était la scène, l'humour, le jeu. Il pensait qu'il était impossible de gagner sa vie en faisant des blagues mais il a persévéré. Et après quelques années, quelques salles vides ou avec seulement trois ou quatre personnes assises dans le public, il ne s'est jamais découragé et le succès estarrivé. Il ne gagnait pas beaucoup d'argent mais les gens commençaient à le reconnaître, il les faisait rire.
Il écrit son premier spectacle en 2000, joue dans plusieurs films puis, c'est la traversée du désert. Booder a eu le bonheur de devenir papa mais sa carrière se met à stagner. Pendant un an et demi, on n'entend plus beaucoup parler de lui. Le téléphone sonne moins et il se retrouve au RSA. Pour autant, il ne se laisse pas aller. Sa force de caractère, son amour pour la famille, le pousse àrebondir, à faire un come-back et ça marche.
Son sourire, sa bienveillance et son humour ont manqué au public qui lui réserve un accueil chaleureux. Booder, très aimé des enfants et des jeunes, comprend alors qu'il doit raconter son histoire. Il doit dire qu'il ne faut jamais se décourager, s'accepter tel que l'on est, coûte que coûte, et se donner les moyens d'atteindre ses objectifs. Tout est possible. Dans les moments difficiles, il existe toujours une clé, une bouffée d'oxygène.
La vie nous offre toujours des « bouts... d'air » pour continuer à espérer.
Bon footballeur et fan du joueur marocain Aziz Bouderbala, il n'avait pas les moyens de s'acheter un maillot fl oqué à son nom. Il s'amusait donc à l'écrire dans le dos d'un T-shirt vierge. « Bouderbala » étant bien trop long pour la largeur de son dos, il l'a réduit en « Bouder », ce quilui a valu ce surnom dans son quartier. Tout le monde le connaissait, très blagueur, souriant et plein d'entrain, il s'est servi de ces qualités pour devenir éducateur pour les jeunes, sa vie tournait autour du football.
Découragé par le manque d'intérêt porté aux enfants de ces quartiers, il a tenté de changer de chemin. Il a passé son BAC, fait des études de comptabilité, il s'est donné les moyens de réussir mais son physique, son nom, son adresse semblent lui avoir fermé les portes. Jusqu'au jour où le directeur de son école l'a menacé de le virer trois jours après une grosse bêtise. Il lui a proposé un deal : « Je ne te vire pas si tu t'inscris au cours de théâtre du soir ».
Sans conviction, Booder a accepté et sa vie a changé. Sa passion, il l'avait trouvée. C'était la scène, l'humour, le jeu. Il pensait qu'il était impossible de gagner sa vie en faisant des blagues mais il a persévéré. Et après quelques années, quelques salles vides ou avec seulement trois ou quatre personnes assises dans le public, il ne s'est jamais découragé et le succès estarrivé. Il ne gagnait pas beaucoup d'argent mais les gens commençaient à le reconnaître, il les faisait rire.
Il écrit son premier spectacle en 2000, joue dans plusieurs films puis, c'est la traversée du désert. Booder a eu le bonheur de devenir papa mais sa carrière se met à stagner. Pendant un an et demi, on n'entend plus beaucoup parler de lui. Le téléphone sonne moins et il se retrouve au RSA. Pour autant, il ne se laisse pas aller. Sa force de caractère, son amour pour la famille, le pousse àrebondir, à faire un come-back et ça marche.
Son sourire, sa bienveillance et son humour ont manqué au public qui lui réserve un accueil chaleureux. Booder, très aimé des enfants et des jeunes, comprend alors qu'il doit raconter son histoire. Il doit dire qu'il ne faut jamais se décourager, s'accepter tel que l'on est, coûte que coûte, et se donner les moyens d'atteindre ses objectifs. Tout est possible. Dans les moments difficiles, il existe toujours une clé, une bouffée d'oxygène.
La vie nous offre toujours des « bouts... d'air » pour continuer à espérer.
Tout le monde connaît Booder. Humoriste, comédien, il est sur tous les plateaux de télévision. Il est surtout un homme qui a eu plusieurs vies dans sa vie grâce ou à cause de son physique atypique.« Les bébés croient que j'ai un visage en pâte à modeler ! » dit-il. Né au Maroc, arrivé en France à peine âgé d'un an en raison de problèmes de santé, Mohammed Benyamna a mis des années à trouver sa voie.
Bon footballeur et fan du joueur marocain Aziz Bouderbala, il n'avait pas les moyens de s'acheter un maillot fl oqué à son nom. Il s'amusait donc à l'écrire dans le dos d'un T-shirt vierge. « Bouderbala » étant bien trop long pour la largeur de son dos, il l'a réduit en « Bouder », ce quilui a valu ce surnom dans son quartier. Tout le monde le connaissait, très blagueur, souriant et plein d'entrain, il s'est servi de ces qualités pour devenir éducateur pour les jeunes, sa vie tournait autour du football.
Découragé par le manque d'intérêt porté aux enfants de ces quartiers, il a tenté de changer de chemin. Il a passé son BAC, fait des études de comptabilité, il s'est donné les moyens de réussir mais son physique, son nom, son adresse semblent lui avoir fermé les portes. Jusqu'au jour où le directeur de son école l'a menacé de le virer trois jours après une grosse bêtise. Il lui a proposé un deal : « Je ne te vire pas si tu t'inscris au cours de théâtre du soir ».
Sans conviction, Booder a accepté et sa vie a changé. Sa passion, il l'avait trouvée. C'était la scène, l'humour, le jeu. Il pensait qu'il était impossible de gagner sa vie en faisant des blagues mais il a persévéré. Et après quelques années, quelques salles vides ou avec seulement trois ou quatre personnes assises dans le public, il ne s'est jamais découragé et le succès estarrivé. Il ne gagnait pas beaucoup d'argent mais les gens commençaient à le reconnaître, il les faisait rire.
Il écrit son premier spectacle en 2000, joue dans plusieurs films puis, c'est la traversée du désert. Booder a eu le bonheur de devenir papa mais sa carrière se met à stagner. Pendant un an et demi, on n'entend plus beaucoup parler de lui. Le téléphone sonne moins et il se retrouve au RSA. Pour autant, il ne se laisse pas aller. Sa force de caractère, son amour pour la famille, le pousse àrebondir, à faire un come-back et ça marche.
Son sourire, sa bienveillance et son humour ont manqué au public qui lui réserve un accueil chaleureux. Booder, très aimé des enfants et des jeunes, comprend alors qu'il doit raconter son histoire. Il doit dire qu'il ne faut jamais se décourager, s'accepter tel que l'on est, coûte que coûte, et se donner les moyens d'atteindre ses objectifs. Tout est possible. Dans les moments difficiles, il existe toujours une clé, une bouffée d'oxygène.
La vie nous offre toujours des « bouts... d'air » pour continuer à espérer.
Bon footballeur et fan du joueur marocain Aziz Bouderbala, il n'avait pas les moyens de s'acheter un maillot fl oqué à son nom. Il s'amusait donc à l'écrire dans le dos d'un T-shirt vierge. « Bouderbala » étant bien trop long pour la largeur de son dos, il l'a réduit en « Bouder », ce quilui a valu ce surnom dans son quartier. Tout le monde le connaissait, très blagueur, souriant et plein d'entrain, il s'est servi de ces qualités pour devenir éducateur pour les jeunes, sa vie tournait autour du football.
Découragé par le manque d'intérêt porté aux enfants de ces quartiers, il a tenté de changer de chemin. Il a passé son BAC, fait des études de comptabilité, il s'est donné les moyens de réussir mais son physique, son nom, son adresse semblent lui avoir fermé les portes. Jusqu'au jour où le directeur de son école l'a menacé de le virer trois jours après une grosse bêtise. Il lui a proposé un deal : « Je ne te vire pas si tu t'inscris au cours de théâtre du soir ».
Sans conviction, Booder a accepté et sa vie a changé. Sa passion, il l'avait trouvée. C'était la scène, l'humour, le jeu. Il pensait qu'il était impossible de gagner sa vie en faisant des blagues mais il a persévéré. Et après quelques années, quelques salles vides ou avec seulement trois ou quatre personnes assises dans le public, il ne s'est jamais découragé et le succès estarrivé. Il ne gagnait pas beaucoup d'argent mais les gens commençaient à le reconnaître, il les faisait rire.
Il écrit son premier spectacle en 2000, joue dans plusieurs films puis, c'est la traversée du désert. Booder a eu le bonheur de devenir papa mais sa carrière se met à stagner. Pendant un an et demi, on n'entend plus beaucoup parler de lui. Le téléphone sonne moins et il se retrouve au RSA. Pour autant, il ne se laisse pas aller. Sa force de caractère, son amour pour la famille, le pousse àrebondir, à faire un come-back et ça marche.
Son sourire, sa bienveillance et son humour ont manqué au public qui lui réserve un accueil chaleureux. Booder, très aimé des enfants et des jeunes, comprend alors qu'il doit raconter son histoire. Il doit dire qu'il ne faut jamais se décourager, s'accepter tel que l'on est, coûte que coûte, et se donner les moyens d'atteindre ses objectifs. Tout est possible. Dans les moments difficiles, il existe toujours une clé, une bouffée d'oxygène.
La vie nous offre toujours des « bouts... d'air » pour continuer à espérer.