Un AVC et devoir tout recommencer. Le temps de l'autre

Par : Guillaume Robic
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  • Nombre de pages144
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-336-46053-6
  • EAN9782336460536
  • Date de parution05/09/2024
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Un soir chez moi avec des amis, j'ai soudain mal à la tête et envie de vomir, je ne tiens plus debout. Je crois être ivre. Je vais aller me coucher alors qu'il s'agit d'un AVC, mortel. En un quart de seconde, ma vie bascule, et arrivent aussitôt les premiers rebondissements d'une longue histoire (SAMU en retard, aiguillage dans le mauvais hôpital, opération 30 heures après). Si je suis sauvé, je commence une longue descente aux enfers qui se terminera à « l'EHPAD » de la Pitié-Salpêtrière (j'ai 42 ans).
Un transfert en Bretagne dans un centre où « on pense à l'autre en face avant de penser à soi » vient stopper une inexorable chute vers la mort. Je vais tout réapprendre, puisque je ne tiens pratiquement plus debout : de marcher à conduire, de nager à faire du vélo. En plus de rendre hommage aux équipes exceptionnelles qui m'ont sauvé la vie, aux patients altruistes qui m'ont donné leur énergie, je veux témoigner qu'il faut toujours persévérer, même lorsque « les dés sont jetés ».
J'aborde aussi des questions liées au corps, au désir, au regard des autres, au rythme de la vie, à notre rapport à la nature, à la dépendance aussi.
Un soir chez moi avec des amis, j'ai soudain mal à la tête et envie de vomir, je ne tiens plus debout. Je crois être ivre. Je vais aller me coucher alors qu'il s'agit d'un AVC, mortel. En un quart de seconde, ma vie bascule, et arrivent aussitôt les premiers rebondissements d'une longue histoire (SAMU en retard, aiguillage dans le mauvais hôpital, opération 30 heures après). Si je suis sauvé, je commence une longue descente aux enfers qui se terminera à « l'EHPAD » de la Pitié-Salpêtrière (j'ai 42 ans).
Un transfert en Bretagne dans un centre où « on pense à l'autre en face avant de penser à soi » vient stopper une inexorable chute vers la mort. Je vais tout réapprendre, puisque je ne tiens pratiquement plus debout : de marcher à conduire, de nager à faire du vélo. En plus de rendre hommage aux équipes exceptionnelles qui m'ont sauvé la vie, aux patients altruistes qui m'ont donné leur énergie, je veux témoigner qu'il faut toujours persévérer, même lorsque « les dés sont jetés ».
J'aborde aussi des questions liées au corps, au désir, au regard des autres, au rythme de la vie, à notre rapport à la nature, à la dépendance aussi.