Un arbre, un jour

Par : Karine Lambert
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  • Nombre de pages220
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7021-6268-2
  • EAN9782702162682
  • Date de parution02/05/2018
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille673 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCalmann-Lévy

Résumé

Du haut de mes trente-deux mètres, je les regarde vivre sur la place du village. Depuis cent trois ans, je partage leurs nuits et leurs jours, j'effeuille leurs amours et parfois j'envie leurs cris de joie.  En ce matin de printemps, un avis d'abattage est cloué sur le platane centenaire qui ombrage ce village de Provence. Entraînés par un petit garçon effronté, sept habitants s'unissent pour découvrir qui souhaite la mort du géant.
Ensemble, ils combattent cette sentence absurde, tandis que l'arbre les observe et vibre avec humour et philosophie au rythme de leurs émotions et de leurs conflits. Qui l'emportera. le pouvoir ou la solidarité ? Aux premiers jours de l'été, Clément, Suzanne, Fanny et les autres ne seront plus les mêmes.  « LE ROMAN QUI CACHE UNE FORÊT D'ÉMOTIONS. » Pascal Laurent, librairie Filigranes Corner
Du haut de mes trente-deux mètres, je les regarde vivre sur la place du village. Depuis cent trois ans, je partage leurs nuits et leurs jours, j'effeuille leurs amours et parfois j'envie leurs cris de joie.  En ce matin de printemps, un avis d'abattage est cloué sur le platane centenaire qui ombrage ce village de Provence. Entraînés par un petit garçon effronté, sept habitants s'unissent pour découvrir qui souhaite la mort du géant.
Ensemble, ils combattent cette sentence absurde, tandis que l'arbre les observe et vibre avec humour et philosophie au rythme de leurs émotions et de leurs conflits. Qui l'emportera. le pouvoir ou la solidarité ? Aux premiers jours de l'été, Clément, Suzanne, Fanny et les autres ne seront plus les mêmes.  « LE ROMAN QUI CACHE UNE FORÊT D'ÉMOTIONS. » Pascal Laurent, librairie Filigranes Corner

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 2 notes dont 3 avis lecteurs
Une déception...
Un livre qui me tentait beaucoup et qui est pourtant une déception. Voici mon avis sur Un arbre, un jour... de Karine Lambert : http://www.leslecturesdelily.com/2018/07/un-arbre-un-jour-ecrit-par-karine.html#more Mon blog : Les lectures de Lily (www.leslecturesdelily.com)
Un livre qui me tentait beaucoup et qui est pourtant une déception. Voici mon avis sur Un arbre, un jour... de Karine Lambert : http://www.leslecturesdelily.com/2018/07/un-arbre-un-jour-ecrit-par-karine.html#more Mon blog : Les lectures de Lily (www.leslecturesdelily.com)
Un arbre, un jour...
La chronique d’une mort annoncée : le 21 mars, le début de printemps, on abattra le platane sur la place centrale du village. Ordre par le maire. Il faut cela pour que les gens se rendent compte du platane, de son histoire, de son importance pour eux. Lui, à 103 ans, il a tout vu : deux guerres mondiales, il a regardé les gens grandir, il a subi des canicules et des hivers froids. Mais ils sont là pour lui : le jeune Clément, âgé de 10 ans seulement, Suzanne la patronne du café, les deux sœurs Bonnafay qui ont perdu leurs fiancés dans la guerre et qui ont passés toutes leurs vies ensemble, Fanny la jeune artiste, Raphaël Costes qui n’a plus besoin de son psy après avoir trouvé une chose pour laquelle il vaut bien lutter. Un comité se forme, on écrit même au Président de la République. Il faut sauver le platane – mais leur combat n’est pas trop promettant. C’est le maire qui décide et il ne voit pas pourquoi changer d’avis. Pour un arbre. Encore une fois Karine Lambert a trouvé un sujet extraordinaire, un sujet tout à fait ordinaire duquel elle arrive à faire quelque chose de spécial et d’original. C’est un arbre, oui, il est vieux et majestueux, mais quand même, pas un être vivant. Elle lui donne une voix et elle dirige l’intérêt de ses personnages à lui. J’ai surtout adoré les passages dans lesquels le platane parle. Ce qui est vraiment étonnant, c’est, d’un côté, on ne se rend pas du tout compte des arbres dans notre vie quotidienne. Ils sont là, ils nous donnent de l’ombre quand il fait chaud et on les admire parfois pour leur force et leur âge. Mais, contrairement aux animaux, on ne les croit pas vraiment « vivant ». Quand l’arbre parle dans le roman, c’est tout à fait normal, on veut bien croire qu’il a des sentiments, qu’il éprouve quelque chose quand on le touche et qu’il réfléchisse à ce qui peut bien se passer avec lui. C’est de la vraie poésie que Karine Lambert nous offre ici. J’adore son ton narratif depuis le premier roman que j’ai lu d’elle. C’est gai et mélancolique en même temps, mais avant tout, elle traite ses personnages doucement, elle ne les exhibe jamais, elle les montre vulnérable et elle s’approche d’eux calmement et toujours avec du respect. Ils ne sont pas des super-héros, mais des gens comme toi et moi, avec des faiblesses et des défauts. « Un arbre, un jour… » est un petit bijou parmi les masses des livres publiés chaque année.
La chronique d’une mort annoncée : le 21 mars, le début de printemps, on abattra le platane sur la place centrale du village. Ordre par le maire. Il faut cela pour que les gens se rendent compte du platane, de son histoire, de son importance pour eux. Lui, à 103 ans, il a tout vu : deux guerres mondiales, il a regardé les gens grandir, il a subi des canicules et des hivers froids. Mais ils sont là pour lui : le jeune Clément, âgé de 10 ans seulement, Suzanne la patronne du café, les deux sœurs Bonnafay qui ont perdu leurs fiancés dans la guerre et qui ont passés toutes leurs vies ensemble, Fanny la jeune artiste, Raphaël Costes qui n’a plus besoin de son psy après avoir trouvé une chose pour laquelle il vaut bien lutter. Un comité se forme, on écrit même au Président de la République. Il faut sauver le platane – mais leur combat n’est pas trop promettant. C’est le maire qui décide et il ne voit pas pourquoi changer d’avis. Pour un arbre. Encore une fois Karine Lambert a trouvé un sujet extraordinaire, un sujet tout à fait ordinaire duquel elle arrive à faire quelque chose de spécial et d’original. C’est un arbre, oui, il est vieux et majestueux, mais quand même, pas un être vivant. Elle lui donne une voix et elle dirige l’intérêt de ses personnages à lui. J’ai surtout adoré les passages dans lesquels le platane parle. Ce qui est vraiment étonnant, c’est, d’un côté, on ne se rend pas du tout compte des arbres dans notre vie quotidienne. Ils sont là, ils nous donnent de l’ombre quand il fait chaud et on les admire parfois pour leur force et leur âge. Mais, contrairement aux animaux, on ne les croit pas vraiment « vivant ». Quand l’arbre parle dans le roman, c’est tout à fait normal, on veut bien croire qu’il a des sentiments, qu’il éprouve quelque chose quand on le touche et qu’il réfléchisse à ce qui peut bien se passer avec lui. C’est de la vraie poésie que Karine Lambert nous offre ici. J’adore son ton narratif depuis le premier roman que j’ai lu d’elle. C’est gai et mélancolique en même temps, mais avant tout, elle traite ses personnages doucement, elle ne les exhibe jamais, elle les montre vulnérable et elle s’approche d’eux calmement et toujours avec du respect. Ils ne sont pas des super-héros, mais des gens comme toi et moi, avec des faiblesses et des défauts. « Un arbre, un jour… » est un petit bijou parmi les masses des livres publiés chaque année.
Un arbre, un jour...
La chronique d’une mort annoncée : le 21 mars, le début de printemps, on abattra le platane sur la place centrale du village. Ordre par le maire. Il faut cela pour que les gens se rendent compte du platane, de son histoire, de son importance pour eux. Lui, à 103 ans, il a tout vu : deux guerres mondiales, il a regardé les gens grandir, il a subi des canicules et des hivers froids. Mais ils sont là pour lui : le jeune Clément, âgé de 10 ans seulement, Suzanne la patronne du café, les deux sœurs Bonnafay qui ont perdu leurs fiancés dans la guerre et qui ont passés toutes leurs vies ensemble, Fanny la jeune artiste, Raphaël Costes qui n’a plus besoin de son psy après avoir trouvé une chose pour laquelle il vaut bien lutter. Un comité se forme, on écrit même au Président de la République. Il faut sauver le platane – mais leur combat n’est pas trop promettant. C’est le maire qui décide et il ne voit pas pourquoi changer d’avis. Pour un arbre. Encore une fois Karine Lambert a trouvé un sujet extraordinaire, un sujet tout à fait ordinaire duquel elle arrive à faire quelque chose de spécial et d’original. C’est un arbre, oui, il est vieux et majestueux, mais quand même, pas un être vivant. Elle lui donne une voix et elle dirige l’intérêt de ses personnages à lui. J’ai surtout adoré les passages dans lesquels le platane parle. Ce qui est vraiment étonnant, c’est, d’un côté, on ne se rend pas du tout compte des arbres dans notre vie quotidienne. Ils sont là, ils nous donnent de l’ombre quand il fait chaud et on les admire parfois pour leur force et leur âge. Mais, contrairement aux animaux, on ne les croit pas vraiment « vivant ». Quand l’arbre parle dans le roman, c’est tout à fait normal, on veut bien croire qu’il a des sentiments, qu’il éprouve quelque chose quand on le touche et qu’il réfléchisse à ce qui peut bien se passer avec lui. C’est de la vraie poésie que Karine Lambert nous offre ici. J’adore son ton narratif depuis le premier roman que j’ai lu d’elle. C’est gai et mélancolique en même temps, mais avant tout, elle traite ses personnages doucement, elle ne les exhibe jamais, elle les montre vulnérable et elle s’approche d’eux calmement et toujours avec du respect. Ils ne sont pas des super-héros, mais des gens comme toi et moi, avec des faiblesses et des défauts. « Un arbre, un jour… » est un petit bijou parmi les masses des livres publiés chaque année.
La chronique d’une mort annoncée : le 21 mars, le début de printemps, on abattra le platane sur la place centrale du village. Ordre par le maire. Il faut cela pour que les gens se rendent compte du platane, de son histoire, de son importance pour eux. Lui, à 103 ans, il a tout vu : deux guerres mondiales, il a regardé les gens grandir, il a subi des canicules et des hivers froids. Mais ils sont là pour lui : le jeune Clément, âgé de 10 ans seulement, Suzanne la patronne du café, les deux sœurs Bonnafay qui ont perdu leurs fiancés dans la guerre et qui ont passés toutes leurs vies ensemble, Fanny la jeune artiste, Raphaël Costes qui n’a plus besoin de son psy après avoir trouvé une chose pour laquelle il vaut bien lutter. Un comité se forme, on écrit même au Président de la République. Il faut sauver le platane – mais leur combat n’est pas trop promettant. C’est le maire qui décide et il ne voit pas pourquoi changer d’avis. Pour un arbre. Encore une fois Karine Lambert a trouvé un sujet extraordinaire, un sujet tout à fait ordinaire duquel elle arrive à faire quelque chose de spécial et d’original. C’est un arbre, oui, il est vieux et majestueux, mais quand même, pas un être vivant. Elle lui donne une voix et elle dirige l’intérêt de ses personnages à lui. J’ai surtout adoré les passages dans lesquels le platane parle. Ce qui est vraiment étonnant, c’est, d’un côté, on ne se rend pas du tout compte des arbres dans notre vie quotidienne. Ils sont là, ils nous donnent de l’ombre quand il fait chaud et on les admire parfois pour leur force et leur âge. Mais, contrairement aux animaux, on ne les croit pas vraiment « vivant ». Quand l’arbre parle dans le roman, c’est tout à fait normal, on veut bien croire qu’il a des sentiments, qu’il éprouve quelque chose quand on le touche et qu’il réfléchisse à ce qui peut bien se passer avec lui. C’est de la vraie poésie que Karine Lambert nous offre ici. J’adore son ton narratif depuis le premier roman que j’ai lu d’elle. C’est gai et mélancolique en même temps, mais avant tout, elle traite ses personnages doucement, elle ne les exhibe jamais, elle les montre vulnérable et elle s’approche d’eux calmement et toujours avec du respect. Ils ne sont pas des super-héros, mais des gens comme toi et moi, avec des faiblesses et des défauts. « Un arbre, un jour… » est un petit bijou parmi les masses des livres publiés chaque année.
Eh bien dansons maintenant !
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