Tueuses
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- Nombre de pages179
- FormatePub
- ISBN978-2-7540-4048-8
- EAN9782754040488
- Date de parution26/04/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurFirst
Résumé
« Si les femmes sont de loin moins criminelles que les hommes, elles ne représentent que 10 % environ de la criminalité générale, elles n’en restent pas moins cruelles et déterminées. Lorsqu’elles décident de passer à l’acte, rien n’arrête leur imagination. Elles sont capables non seulement d’empoisonner, ce qui est leur arme millénaire, mais également de poignarder, d’étrangler ou de fusiller avant de découper le corps et de le répartir dans ces grands sacs-poubelle noirs devenus les ossuaires de notre époque.
Si la violence masculine a généralement pour vecteur l’alcool ou l’humiliation, celle de la femme a pour origine, la plupart du temps, la passion ou le rejet de celle-ci.
Elle tue par amour, pour s’emparer d’un homme ou d’une femme. Elle est capable de massacrer pour se débarrasser de celui ou de celle qui la gêne. Elle peut, durant des mois et parfois des années, ruminer un projet criminel alors que l’homme n’a souvent pas la patience d’attendre. Durant des centaines d’heures d’audience, dans toutes les cours d’assises de France, j’ai tenté de percer le secret de ces femmes, dont certaines, aujourd’hui libérées, pourraient lire ce que j’ai cru comprendre de leur geste de mort.
Parmi tous ces visages que j’ai observés et que je n’oublierai jamais, j’ai choisi ces récits qui racontent leurs crimes et leurs mensonges. Mais aussi mon horreur, parfois ma compassion… »
Elle tue par amour, pour s’emparer d’un homme ou d’une femme. Elle est capable de massacrer pour se débarrasser de celui ou de celle qui la gêne. Elle peut, durant des mois et parfois des années, ruminer un projet criminel alors que l’homme n’a souvent pas la patience d’attendre. Durant des centaines d’heures d’audience, dans toutes les cours d’assises de France, j’ai tenté de percer le secret de ces femmes, dont certaines, aujourd’hui libérées, pourraient lire ce que j’ai cru comprendre de leur geste de mort.
Parmi tous ces visages que j’ai observés et que je n’oublierai jamais, j’ai choisi ces récits qui racontent leurs crimes et leurs mensonges. Mais aussi mon horreur, parfois ma compassion… »
« Si les femmes sont de loin moins criminelles que les hommes, elles ne représentent que 10 % environ de la criminalité générale, elles n’en restent pas moins cruelles et déterminées. Lorsqu’elles décident de passer à l’acte, rien n’arrête leur imagination. Elles sont capables non seulement d’empoisonner, ce qui est leur arme millénaire, mais également de poignarder, d’étrangler ou de fusiller avant de découper le corps et de le répartir dans ces grands sacs-poubelle noirs devenus les ossuaires de notre époque.
Si la violence masculine a généralement pour vecteur l’alcool ou l’humiliation, celle de la femme a pour origine, la plupart du temps, la passion ou le rejet de celle-ci.
Elle tue par amour, pour s’emparer d’un homme ou d’une femme. Elle est capable de massacrer pour se débarrasser de celui ou de celle qui la gêne. Elle peut, durant des mois et parfois des années, ruminer un projet criminel alors que l’homme n’a souvent pas la patience d’attendre. Durant des centaines d’heures d’audience, dans toutes les cours d’assises de France, j’ai tenté de percer le secret de ces femmes, dont certaines, aujourd’hui libérées, pourraient lire ce que j’ai cru comprendre de leur geste de mort.
Parmi tous ces visages que j’ai observés et que je n’oublierai jamais, j’ai choisi ces récits qui racontent leurs crimes et leurs mensonges. Mais aussi mon horreur, parfois ma compassion… »
Elle tue par amour, pour s’emparer d’un homme ou d’une femme. Elle est capable de massacrer pour se débarrasser de celui ou de celle qui la gêne. Elle peut, durant des mois et parfois des années, ruminer un projet criminel alors que l’homme n’a souvent pas la patience d’attendre. Durant des centaines d’heures d’audience, dans toutes les cours d’assises de France, j’ai tenté de percer le secret de ces femmes, dont certaines, aujourd’hui libérées, pourraient lire ce que j’ai cru comprendre de leur geste de mort.
Parmi tous ces visages que j’ai observés et que je n’oublierai jamais, j’ai choisi ces récits qui racontent leurs crimes et leurs mensonges. Mais aussi mon horreur, parfois ma compassion… »