Figure majeure de la poésie américaine, Anne Sexton (1928-1974) est l'autrice d'une oeuvre poétique composée de plus d'une dizaine de recueils précurseurs. Récompensée par le prix Pulitzer en 1967, elle se voit décerner des titres honorifiques dans de nombreuses universités, telles que Harvard, Colgate ou encore Boston. Rattrapée par ses maux, elle met fin à ses jours en 1974.
Tu vis ou tu meurs. Oeuvres poétiques (1960-1969)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages400
- FormatePub
- ISBN978-2-7210-0940-1
- EAN9782721009401
- Date de parution04/05/2023
- Protection num.Adobe DRM
- Taille5 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurDes Femmes
- TraducteurSabine Huynh
- PréfacierPatricia Godi
Résumé
« Chaque être en moi est un oiseau.
Je bats toutes mes ailes.
Ils voulaient te retrancher de moi
mais ils ne le feront pas.
Ils disaient que tu étais infiniment vide
mais tu ne l'es pas.
Ils disaient que tu étais si malade que tu agonisais
mais ils avaient tort.
Tu chantes comme une écolière.
Tu n'es pas déchirée. »
A. S., Pour fêter ma matrice
« Voici enfin accessibles en français les ouvres poétiques
d'Anne Sexton, qui figurent parmi les plus marquantes
et reconnues de la littérature américaine au XXe siècle.
On ne peut que se réjouir de cet événement littéraire,
rendu possible grâce aux éditions des femmes-Antoinette
Fouque [.].
Comment s'expliquer, jusqu'à ce jour, le peu d'écho reçu en France par une voix dont la puissante originalité s'est imposée outre-Atlantique dès le début des années 1960, qui fut récompensée par toutes les distinctions littéraires auxquelles les poètes américains peuvent prétendre, si ce n'est par une certaine lenteur à s'ouvrir à la poésie venue des États-Unis ? » P. G.
Comment s'expliquer, jusqu'à ce jour, le peu d'écho reçu en France par une voix dont la puissante originalité s'est imposée outre-Atlantique dès le début des années 1960, qui fut récompensée par toutes les distinctions littéraires auxquelles les poètes américains peuvent prétendre, si ce n'est par une certaine lenteur à s'ouvrir à la poésie venue des États-Unis ? » P. G.
« Chaque être en moi est un oiseau.
Je bats toutes mes ailes.
Ils voulaient te retrancher de moi
mais ils ne le feront pas.
Ils disaient que tu étais infiniment vide
mais tu ne l'es pas.
Ils disaient que tu étais si malade que tu agonisais
mais ils avaient tort.
Tu chantes comme une écolière.
Tu n'es pas déchirée. »
A. S., Pour fêter ma matrice
« Voici enfin accessibles en français les ouvres poétiques
d'Anne Sexton, qui figurent parmi les plus marquantes
et reconnues de la littérature américaine au XXe siècle.
On ne peut que se réjouir de cet événement littéraire,
rendu possible grâce aux éditions des femmes-Antoinette
Fouque [.].
Comment s'expliquer, jusqu'à ce jour, le peu d'écho reçu en France par une voix dont la puissante originalité s'est imposée outre-Atlantique dès le début des années 1960, qui fut récompensée par toutes les distinctions littéraires auxquelles les poètes américains peuvent prétendre, si ce n'est par une certaine lenteur à s'ouvrir à la poésie venue des États-Unis ? » P. G.
Comment s'expliquer, jusqu'à ce jour, le peu d'écho reçu en France par une voix dont la puissante originalité s'est imposée outre-Atlantique dès le début des années 1960, qui fut récompensée par toutes les distinctions littéraires auxquelles les poètes américains peuvent prétendre, si ce n'est par une certaine lenteur à s'ouvrir à la poésie venue des États-Unis ? » P. G.