Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages473
  • FormatePub
  • ISBN978-2-258-09320-1
  • EAN9782258093201
  • Date de parution06/09/2012
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurPresses de la Cité
  • TraducteurAnaïs Bokobza

Résumé

L'Italie en noir : une enquête parmi des politiciens cyniques, des cardinaux pratiquant l'omerta, des assassins cruels, de belles femmes insondables. Rome, juillet 1982, la nuit de la victoire de l'Italie lors de la Coupe du monde de football, la très belle Elisa Sordi, employée du cardinal Alessandrini, disparaît. Elle sera retrouvée sur les berges du Tibre, et son meurtre ne sera jamais élucidé.
Rome, juillet 2006, alors que l'équipe nationale italienne bat la France, la mère d'Elisa se suicide. Balistreri, le policier chargé du dossier de sa fille n'est plus que l'ombre de lui-même. Alcoolique, cardiaque et dépressif, celui qui, dans sa jeunesse, était un don Juan flirtant avec les mouvements d'extrême droite est désormais l'ombre de lui-même mais reste incorruptible. Devenu chef de la Section spéciale Étrangers de Rome, il découvre que des meurtres ont été commis dans des circonstances semblables à celui d'Elisa et décide de rouvrir l'affaire qui le hante depuis plus de vingt ans.
L'Italie en noir : une enquête parmi des politiciens cyniques, des cardinaux pratiquant l'omerta, des assassins cruels, de belles femmes insondables. Rome, juillet 1982, la nuit de la victoire de l'Italie lors de la Coupe du monde de football, la très belle Elisa Sordi, employée du cardinal Alessandrini, disparaît. Elle sera retrouvée sur les berges du Tibre, et son meurtre ne sera jamais élucidé.
Rome, juillet 2006, alors que l'équipe nationale italienne bat la France, la mère d'Elisa se suicide. Balistreri, le policier chargé du dossier de sa fille n'est plus que l'ombre de lui-même. Alcoolique, cardiaque et dépressif, celui qui, dans sa jeunesse, était un don Juan flirtant avec les mouvements d'extrême droite est désormais l'ombre de lui-même mais reste incorruptible. Devenu chef de la Section spéciale Étrangers de Rome, il découvre que des meurtres ont été commis dans des circonstances semblables à celui d'Elisa et décide de rouvrir l'affaire qui le hante depuis plus de vingt ans.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Réussite magistrale, un polar époustouflant d'une intensité rare. À découvrir absolument !
Enorme coup de coeur, voici une pépite noire qui m'a été conseillée par un ami libraire alors que je ne l'avais pas repéré à sa sortie, je l'ai littéralement dévoré et j'ai été littéralement immergé dans cette sombre histoire en même temps que ses protagonistes. Et quel plaisir de lecture !! Roberto Costantini a vraiment bâti ici une intrigue vertigineuse et ambitieuse, et celle-ci est d'autant plus crédible que l'un de ses gros points forts, c'est d'avoir réussi à bâtir une formidable galerie de personnages aussi fascinants qu'intrigants, et plus vrais que nature. Tous sont troubles et ambigus et participent à cette incroyable atmosphère de secrets enfouis, de drames mystérieux passés sous silence à travers la vingtaine d'années qui sépare le début de l'intrigue jusqu'à ses répercussions sanglantes et sa résolution. Un tel talent pour dresser toute une série de portraits aussi réussis est assez rare mais, comme pour la progression de son enquête et de cette ambiance bien particulière qui semble plomber cette Rome de plus en plus crépusculaire, à la fois sombre, tendue et mystérieuse qui plane tout au long du récit, l'auteur y va par petites touches successives, sans jamais s'appesantir. Ici, on est loin des thrillers formatés avec pseudo-rebondisements capillotractés à chaque fin de chapitres de deux pages (si vous voyez ce que je veux dire...). Au contraire, l'auteur donne de la chair à ses personnages comme à son récit, distillant le doute, la suspicion chez son lecteur, l'air de rien. Et puis j'ai été en totale empathie avec ce commissaire Balistreri, formidable personnage hanté par le passé et ses erreurs, miné par un amour impossible comme par les profondes blessures liées à son passé et à son adolescence. Un être en souffrance, bien que cela ne l'empêche pas de s'user au maximum pour la résolution de son enquête et pour découvrir la sombre vérité, jusqu'à devoir se sacrifier s'il le faut. Et c'est peu dire que l'enquête est mouvementée : entre fausses pistes, indices impossibles (apparemment) à relier, rebondissements inattendus, tout cela au sein des arcanes du pouvoir italien, à travers les politiciens et le Vatican omniprésent, et sans même parler de l'ombre des services secrets qui semblent planer quelque part, le lecteur vit totalement ce drame et cette traque du (ou des) tueur(s). Jusqu'à la dernière page et l'ultime révélation d'un dénouement à double détente, en forme de coup de poing, on ressort du livre lessivé, marqué et... heureux ! Heureux d'avoir lu un roman aussi formidable, mais aussi avec la furieuse envie de se jeter immédiatement sur une autre enquête de cette trilogie Balistreri ! Ce roman est unique et totalement addictif et, franchement, je le recommande vivement à tous, car il en surprendra plus d'un, tellement il est à la fois différent et plus profond que ce que l'on peut s'imaginer de prime abord. Roberto Costantini est vraiment un auteur talentueux, qui dans ce premier roman en forme de coup de maître se hisse d'emblée au panthéons des grands auteurs de polars, car justement il propose un univers unique et envoûtant, une vision de l'Italie en noir aussi fascinante que pertinente. Ne manquez surtout pas ce magnifique polar ! En attendant, même si le roman se suffit à lui seul, il est le premier d'une trilogie qui a rencontré un gros succès public et critique en Italie, j'espère donc vivement pouvoir lire la suite en France au plus vite !
Enorme coup de coeur, voici une pépite noire qui m'a été conseillée par un ami libraire alors que je ne l'avais pas repéré à sa sortie, je l'ai littéralement dévoré et j'ai été littéralement immergé dans cette sombre histoire en même temps que ses protagonistes. Et quel plaisir de lecture !! Roberto Costantini a vraiment bâti ici une intrigue vertigineuse et ambitieuse, et celle-ci est d'autant plus crédible que l'un de ses gros points forts, c'est d'avoir réussi à bâtir une formidable galerie de personnages aussi fascinants qu'intrigants, et plus vrais que nature. Tous sont troubles et ambigus et participent à cette incroyable atmosphère de secrets enfouis, de drames mystérieux passés sous silence à travers la vingtaine d'années qui sépare le début de l'intrigue jusqu'à ses répercussions sanglantes et sa résolution. Un tel talent pour dresser toute une série de portraits aussi réussis est assez rare mais, comme pour la progression de son enquête et de cette ambiance bien particulière qui semble plomber cette Rome de plus en plus crépusculaire, à la fois sombre, tendue et mystérieuse qui plane tout au long du récit, l'auteur y va par petites touches successives, sans jamais s'appesantir. Ici, on est loin des thrillers formatés avec pseudo-rebondisements capillotractés à chaque fin de chapitres de deux pages (si vous voyez ce que je veux dire...). Au contraire, l'auteur donne de la chair à ses personnages comme à son récit, distillant le doute, la suspicion chez son lecteur, l'air de rien. Et puis j'ai été en totale empathie avec ce commissaire Balistreri, formidable personnage hanté par le passé et ses erreurs, miné par un amour impossible comme par les profondes blessures liées à son passé et à son adolescence. Un être en souffrance, bien que cela ne l'empêche pas de s'user au maximum pour la résolution de son enquête et pour découvrir la sombre vérité, jusqu'à devoir se sacrifier s'il le faut. Et c'est peu dire que l'enquête est mouvementée : entre fausses pistes, indices impossibles (apparemment) à relier, rebondissements inattendus, tout cela au sein des arcanes du pouvoir italien, à travers les politiciens et le Vatican omniprésent, et sans même parler de l'ombre des services secrets qui semblent planer quelque part, le lecteur vit totalement ce drame et cette traque du (ou des) tueur(s). Jusqu'à la dernière page et l'ultime révélation d'un dénouement à double détente, en forme de coup de poing, on ressort du livre lessivé, marqué et... heureux ! Heureux d'avoir lu un roman aussi formidable, mais aussi avec la furieuse envie de se jeter immédiatement sur une autre enquête de cette trilogie Balistreri ! Ce roman est unique et totalement addictif et, franchement, je le recommande vivement à tous, car il en surprendra plus d'un, tellement il est à la fois différent et plus profond que ce que l'on peut s'imaginer de prime abord. Roberto Costantini est vraiment un auteur talentueux, qui dans ce premier roman en forme de coup de maître se hisse d'emblée au panthéons des grands auteurs de polars, car justement il propose un univers unique et envoûtant, une vision de l'Italie en noir aussi fascinante que pertinente. Ne manquez surtout pas ce magnifique polar ! En attendant, même si le roman se suffit à lui seul, il est le premier d'une trilogie qui a rencontré un gros succès public et critique en Italie, j'espère donc vivement pouvoir lire la suite en France au plus vite !
  • Passionnant
  • italie
  • rome
  • Intriguant
  • commissaire Balistreri
Premier roman réussi
« La limite entre un assassin et un justicier est le motif pour lequel il tue. » C’est ce que j’ai voulu montrer dans mon livre affirme Roberto Constantini. Ce roman pose en effet la question de la limite entre le bien et le mal, entre le défendable et l’indéfendable. Est-on différent si on tue pour sauver une vie ? Si on ment pour sauver une vie ? Si on laisse faire en espérant sauver une vie ? Toutes ces questions se posent à un moment ou à un autre dans ce roman noir qui nous plonge dans une Italie gangrénée par la corruption, les petits arrangements entre amis, les magouilles, les accointances entre politique, économie, monde des affaires, mafia et même Vatican… L’intrigue est dense, fouillée et les personnages nombreux. Mais Constantini prend le temps de les installer, de leur donner une consistance et par là même, de nous faire entrer en douceur dans les arcanes de son récit. Michele Balistreri, jeune policier sûr de lui et tombeur, est au cœur de l’histoire. Marqué par une affaire non résolue de son début de carrière, il va glisser peu à peu dans la dépression en raison du remord qui l’assaille. Seules son intégrité et sa volonté de faire la lumière sur une série de meurtres atroces, quoi qu’il remue, vont lui donner la force d’aller jusqu’au bout et de rouvrir ce dossier qui le hante. Rome joue également un grand rôle. Son ambiance, son cadre tantôt enchanteur tantôt misérable, ses habitants, son sens de la fête et de la démesure… concourent à l’atmosphère légère ou oppressante de l’histoire. Ainsi, la chaleur, la moiteur, la grève des éboueurs, les odeurs nauséabondes qui imprègnent les rues… rien ne nous sera épargné lors des passages noirs. La force de ce roman est aussi sa plongée au cœur de la réalité d’un pays et d’un peuple que l’auteur connaît bien et dont il parle sans ambages. Les situations politiques ou sociales évoquées rappelleront des faits précis, des personnages connus… C’est voulu… Pour un premier roman, premier volet d’une trilogie, ce policier nous offre une intrigue structurée et maîtrisée qui nous emmène dans un labyrinthe de possibles. La vérité se fait jour lentement mais l’on reste surpris jusqu’au bout. Je vous le conseille vivement.
« La limite entre un assassin et un justicier est le motif pour lequel il tue. » C’est ce que j’ai voulu montrer dans mon livre affirme Roberto Constantini. Ce roman pose en effet la question de la limite entre le bien et le mal, entre le défendable et l’indéfendable. Est-on différent si on tue pour sauver une vie ? Si on ment pour sauver une vie ? Si on laisse faire en espérant sauver une vie ? Toutes ces questions se posent à un moment ou à un autre dans ce roman noir qui nous plonge dans une Italie gangrénée par la corruption, les petits arrangements entre amis, les magouilles, les accointances entre politique, économie, monde des affaires, mafia et même Vatican… L’intrigue est dense, fouillée et les personnages nombreux. Mais Constantini prend le temps de les installer, de leur donner une consistance et par là même, de nous faire entrer en douceur dans les arcanes de son récit. Michele Balistreri, jeune policier sûr de lui et tombeur, est au cœur de l’histoire. Marqué par une affaire non résolue de son début de carrière, il va glisser peu à peu dans la dépression en raison du remord qui l’assaille. Seules son intégrité et sa volonté de faire la lumière sur une série de meurtres atroces, quoi qu’il remue, vont lui donner la force d’aller jusqu’au bout et de rouvrir ce dossier qui le hante. Rome joue également un grand rôle. Son ambiance, son cadre tantôt enchanteur tantôt misérable, ses habitants, son sens de la fête et de la démesure… concourent à l’atmosphère légère ou oppressante de l’histoire. Ainsi, la chaleur, la moiteur, la grève des éboueurs, les odeurs nauséabondes qui imprègnent les rues… rien ne nous sera épargné lors des passages noirs. La force de ce roman est aussi sa plongée au cœur de la réalité d’un pays et d’un peuple que l’auteur connaît bien et dont il parle sans ambages. Les situations politiques ou sociales évoquées rappelleront des faits précis, des personnages connus… C’est voulu… Pour un premier roman, premier volet d’une trilogie, ce policier nous offre une intrigue structurée et maîtrisée qui nous emmène dans un labyrinthe de possibles. La vérité se fait jour lentement mais l’on reste surpris jusqu’au bout. Je vous le conseille vivement.
  • XXe siècle
  • roman noir
  • corruption
The Root of All Evil
Roberto Costantini, N.S. Thompson
E-book
3,99 €
The Deliverance of Evil
Roberto Costantini, N.S. Thompson
E-book
3,99 €
Una donna normale
Roberto Costantini
Grand Format
15,80 €