Troyes, une ville en ses archives (XIIIe-début XVIe siècle)
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- Nombre de pages408
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-351-1073-4
- EAN9791035110734
- Date de parution08/05/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
- PréfacierOlivier Mattéoni
Résumé
En portant un éclairage nouveau sur l'histoire des pouvoirs municipaux à la fin du Moyen Âge, grâce à l'étude du riche fonds archivistique de Troyes, ce livre permet d'approfondir le rôle des configurations politiques et sociales dans la production de l'écrit, et de comprendre ce que représente le poids d'une « bonne ville » dans le royaume de France, au temps de la guerre de Cent Ans et de la mise au pas des grandes principautés.
La mémoire écrite et archivistique construite par les principales institutions gouvernant la « bonne ville » de Troyes - officiers royaux et conseil de ville remplacé par un échevinage en 1470 - forme la trame discursive du récit de l'union sans accrocs des Troyens avec la monarchie. Pourtant, loin de cet irénique discours du pouvoir, certains documents conservés témoignent de fortes périodes d'oppositions au sein de la ville.
La mainmise royale n'entrave pas l'expression d'une vie municipale où les hommes d'un même quartier, d'un même métier, d'une même lignée tissent des liens. On y découvre en filigrane une vie communautaire, autour de l'assemblée des habitants, avec des lieux, des moments et des institutions qui leur sont propres et qui ouvrent à la recherche du bien public.
La mémoire écrite et archivistique construite par les principales institutions gouvernant la « bonne ville » de Troyes - officiers royaux et conseil de ville remplacé par un échevinage en 1470 - forme la trame discursive du récit de l'union sans accrocs des Troyens avec la monarchie. Pourtant, loin de cet irénique discours du pouvoir, certains documents conservés témoignent de fortes périodes d'oppositions au sein de la ville.
La mainmise royale n'entrave pas l'expression d'une vie municipale où les hommes d'un même quartier, d'un même métier, d'une même lignée tissent des liens. On y découvre en filigrane une vie communautaire, autour de l'assemblée des habitants, avec des lieux, des moments et des institutions qui leur sont propres et qui ouvrent à la recherche du bien public.
En portant un éclairage nouveau sur l'histoire des pouvoirs municipaux à la fin du Moyen Âge, grâce à l'étude du riche fonds archivistique de Troyes, ce livre permet d'approfondir le rôle des configurations politiques et sociales dans la production de l'écrit, et de comprendre ce que représente le poids d'une « bonne ville » dans le royaume de France, au temps de la guerre de Cent Ans et de la mise au pas des grandes principautés.
La mémoire écrite et archivistique construite par les principales institutions gouvernant la « bonne ville » de Troyes - officiers royaux et conseil de ville remplacé par un échevinage en 1470 - forme la trame discursive du récit de l'union sans accrocs des Troyens avec la monarchie. Pourtant, loin de cet irénique discours du pouvoir, certains documents conservés témoignent de fortes périodes d'oppositions au sein de la ville.
La mainmise royale n'entrave pas l'expression d'une vie municipale où les hommes d'un même quartier, d'un même métier, d'une même lignée tissent des liens. On y découvre en filigrane une vie communautaire, autour de l'assemblée des habitants, avec des lieux, des moments et des institutions qui leur sont propres et qui ouvrent à la recherche du bien public.
La mémoire écrite et archivistique construite par les principales institutions gouvernant la « bonne ville » de Troyes - officiers royaux et conseil de ville remplacé par un échevinage en 1470 - forme la trame discursive du récit de l'union sans accrocs des Troyens avec la monarchie. Pourtant, loin de cet irénique discours du pouvoir, certains documents conservés témoignent de fortes périodes d'oppositions au sein de la ville.
La mainmise royale n'entrave pas l'expression d'une vie municipale où les hommes d'un même quartier, d'un même métier, d'une même lignée tissent des liens. On y découvre en filigrane une vie communautaire, autour de l'assemblée des habitants, avec des lieux, des moments et des institutions qui leur sont propres et qui ouvrent à la recherche du bien public.