TOURISME ETHNIQUE EN OMBRES CHINOISES. La province du Guizhou

Par : Geneviève Clastres

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages224
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-37681-9
  • EAN9782296376816
  • Date de parution01/01/1999
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

"Au Guizhou, il n'y a pas trois jours sans pluie, trois "mou" sans montagne, trois sapèques dans la poche d'un habitant." Au Guizhou, il n'y avait pas beaucoup de voyageurs non plus quand, un rien lassés d'une Chine classique, les plus aventuriers ont commencé à s'intéresser à cette province. Nous sommes à la fin des années 80, la manne touristique apparaît comme une aubaine pour la région la plus pauvre de Chine.
Ici, routes et hôtels manquent, mais paysages grandioses et peuples hauts en couleur font oublier l'inconfort et cette pluie qui arrose régulièrement les ronds et bosses du relief. Très vite, quelques routes se dessinent. Les plus pressés se contentent des chutes de Huangguoshu et d'un village miao du côté de Kaili. Mais certains se passionnent, s'attachent à cette province. Dans les villages, on s'habitue peu à peu à ces visites éclairs, à ces appareils inquisiteurs, à ces regards bleutés.
A la spontanéité des débuts fait place une gestion plus réfléchie de l'autre. Témoin privilégié de l'évolution d'une province rurale dans son rapport au tourisme, l'auteur se pose et nous pose des questions quant à la justesse de ces échanges. Sinisation, modernité, tourisme, autant de facteurs qui jalonnent une transition du Guizhou vers un devenir incertain, pour le meilleur et pour le pire.
"Au Guizhou, il n'y a pas trois jours sans pluie, trois "mou" sans montagne, trois sapèques dans la poche d'un habitant." Au Guizhou, il n'y avait pas beaucoup de voyageurs non plus quand, un rien lassés d'une Chine classique, les plus aventuriers ont commencé à s'intéresser à cette province. Nous sommes à la fin des années 80, la manne touristique apparaît comme une aubaine pour la région la plus pauvre de Chine.
Ici, routes et hôtels manquent, mais paysages grandioses et peuples hauts en couleur font oublier l'inconfort et cette pluie qui arrose régulièrement les ronds et bosses du relief. Très vite, quelques routes se dessinent. Les plus pressés se contentent des chutes de Huangguoshu et d'un village miao du côté de Kaili. Mais certains se passionnent, s'attachent à cette province. Dans les villages, on s'habitue peu à peu à ces visites éclairs, à ces appareils inquisiteurs, à ces regards bleutés.
A la spontanéité des débuts fait place une gestion plus réfléchie de l'autre. Témoin privilégié de l'évolution d'une province rurale dans son rapport au tourisme, l'auteur se pose et nous pose des questions quant à la justesse de ces échanges. Sinisation, modernité, tourisme, autant de facteurs qui jalonnent une transition du Guizhou vers un devenir incertain, pour le meilleur et pour le pire.