Toujours c'est presque l'aube

Par : Louchaert Regis

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  • Nombre de pages69
  • FormatePub
  • ISBN2-402-01896-8
  • EAN9782402018968
  • Date de parution01/01/1999
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille860 Ko
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Éditinter)

Résumé

« La poésie est à la vie ce qu'est le feu au bois », écrivait Pierre Reverdy en une équation significative. Nous qui lisons, nous qui écrivons, nous attendons du poème qu'il soit un plus-être, un mieux vivre. Loin de nous éloigner du réel, la vision poétique communique aux visages et aux paysages de notre quotidien, une lumière qui retient l'attention trop souvent distraite, une chaleur qui attise l'élan, la ferveur d'exister en ce monde.
Le beau titre, emprunté par Régis Louchaert à Marguerite Duras, peut se lire de cent manières. Serait-ce l'espérance modeste, obstinée (toujours) d'une aube ou de presque l'aube, la promesse - en partie - tenue ? (...) Nous ne le savons que trop : devant une ouvre d'art, il s'agit de se tenir en silence plutôt que de commenter ; entrouvrir la porte et s'effacer sur la pointe des pieds, confiants parce que toujours c'est presque l'aube.
Colette Nys-Mazure
« La poésie est à la vie ce qu'est le feu au bois », écrivait Pierre Reverdy en une équation significative. Nous qui lisons, nous qui écrivons, nous attendons du poème qu'il soit un plus-être, un mieux vivre. Loin de nous éloigner du réel, la vision poétique communique aux visages et aux paysages de notre quotidien, une lumière qui retient l'attention trop souvent distraite, une chaleur qui attise l'élan, la ferveur d'exister en ce monde.
Le beau titre, emprunté par Régis Louchaert à Marguerite Duras, peut se lire de cent manières. Serait-ce l'espérance modeste, obstinée (toujours) d'une aube ou de presque l'aube, la promesse - en partie - tenue ? (...) Nous ne le savons que trop : devant une ouvre d'art, il s'agit de se tenir en silence plutôt que de commenter ; entrouvrir la porte et s'effacer sur la pointe des pieds, confiants parce que toujours c'est presque l'aube.
Colette Nys-Mazure