Thomas d'Aquin, Aristote même combat
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages202
- FormatePub
- ISBN978-2-310-03605-4
- EAN9782310036054
- Date de parution11/10/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions Amalthée
Résumé
Deux grands hommes, à des siècles de distance, nous ont guidés sur le chemin de la croyance :
Aristote et sa foi en le savoir de l'homme, en sa sagesse, susceptible d'accéder, en ce faire, à des moments de béatitude ;
Thomas d'Aquin qui enjoint à l'homme de croire en Dieu s'il veut prétendre à quelque transcendance, et par là même à son salut, l'homme créé « à » l'image de Dieu.
Il est de notoriété dans les cercles religieux de prétendre, avec quelque malice, que Thomas d'Aquin aurait pu baptiser Aristote et, d'autre part, qu'Aristote se trouvait déjà bon chrétien vis-à-vis de Thomas.
Quand Aristote parle de « l'âme végétative » de la nature et que Thomas sent vibrer l'âme de son Seigneur dans le plus petit brin d'herbe, on peut bien en conclure que ces deux grands hommes avaient quelque chose à se dire. Transcendance inhérente à l'homme, quel qu'en soit le chemin ?
Quand Aristote parle de « l'âme végétative » de la nature et que Thomas sent vibrer l'âme de son Seigneur dans le plus petit brin d'herbe, on peut bien en conclure que ces deux grands hommes avaient quelque chose à se dire. Transcendance inhérente à l'homme, quel qu'en soit le chemin ?
Deux grands hommes, à des siècles de distance, nous ont guidés sur le chemin de la croyance :
Aristote et sa foi en le savoir de l'homme, en sa sagesse, susceptible d'accéder, en ce faire, à des moments de béatitude ;
Thomas d'Aquin qui enjoint à l'homme de croire en Dieu s'il veut prétendre à quelque transcendance, et par là même à son salut, l'homme créé « à » l'image de Dieu.
Il est de notoriété dans les cercles religieux de prétendre, avec quelque malice, que Thomas d'Aquin aurait pu baptiser Aristote et, d'autre part, qu'Aristote se trouvait déjà bon chrétien vis-à-vis de Thomas.
Quand Aristote parle de « l'âme végétative » de la nature et que Thomas sent vibrer l'âme de son Seigneur dans le plus petit brin d'herbe, on peut bien en conclure que ces deux grands hommes avaient quelque chose à se dire. Transcendance inhérente à l'homme, quel qu'en soit le chemin ?
Quand Aristote parle de « l'âme végétative » de la nature et que Thomas sent vibrer l'âme de son Seigneur dans le plus petit brin d'herbe, on peut bien en conclure que ces deux grands hommes avaient quelque chose à se dire. Transcendance inhérente à l'homme, quel qu'en soit le chemin ?