Théories et nature du son dans l’Antiquité grecque. Histoire de l’acoustique physique dans les textes grecs (du Ve au Ier siècle avant notre ère)

Par : Francois Baskevitch

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  • Nombre de pages254
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-336-45475-7
  • EAN9782336454757
  • Date de parution04/07/2024
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Jusqu'au IVe siècle avant l'ère commune, la littérature grecque décrit les sons et les nomme en créant un vocabulaire abondant et souvent expressif. Des philosophes de la nature et quelques anatomistes s'intéressent à l'ouïe et parfois à son objet : le son. Avec Aristote (mort en -324), les savants tentent de comprendre comment le son se produit, comment il se propage, s'il se réfléchit comme la lumière.
Ils écrivent que le son est produit par un choc, puis s'interrogent : le son est-il corporel, subit-il un déplacement ? Pour les atomistes, c'est un flux de corpuscules, pour les stoïciens, le son se propage comme les ronds dans l'eau. Mais comment expliquer le grave et l'aigu ? Et l'écho ? Les philosophes grecs, qui tentaient de comprendre les phénomènes naturels et leurs causes, éprouvent des difficultés à aborder cette entité si commune et pourtant impalpable et fugitive.
Jusqu'au IVe siècle avant l'ère commune, la littérature grecque décrit les sons et les nomme en créant un vocabulaire abondant et souvent expressif. Des philosophes de la nature et quelques anatomistes s'intéressent à l'ouïe et parfois à son objet : le son. Avec Aristote (mort en -324), les savants tentent de comprendre comment le son se produit, comment il se propage, s'il se réfléchit comme la lumière.
Ils écrivent que le son est produit par un choc, puis s'interrogent : le son est-il corporel, subit-il un déplacement ? Pour les atomistes, c'est un flux de corpuscules, pour les stoïciens, le son se propage comme les ronds dans l'eau. Mais comment expliquer le grave et l'aigu ? Et l'écho ? Les philosophes grecs, qui tentaient de comprendre les phénomènes naturels et leurs causes, éprouvent des difficultés à aborder cette entité si commune et pourtant impalpable et fugitive.