Théorie de la régulation. Un nouvel état des savoirs
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- Nombre de pages656
- FormatePub
- ISBN978-2-10-086296-2
- EAN9782100862962
- Date de parution06/09/2023
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille7 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurDunod
Résumé
Constituée dans les années 1970 à partir des pensées marxistes et keynésiennes, la théorie de la régulation est devenue uneapproche économique cruciale qui offre une alternativerobuste à la théorie néoclassique. Depuis l'« état des savoirs » publié en 1995, la théorie de la régulation a beaucoup évolué. Elle n'est plus seulement identifiée à unerecherche de type macroéconomique (modes de régulation des économiesnationales et du capitalisme mondial).
Elle traite aussi désormais desentreprises et de champs sectoriels classiques (automobile, agroalimentaire.)comme plus originaux (éducation, santé, ESS, RSE.) ainsique de problématiques transversales fondamentales (écologie, genre, connaissances.). Faisant intervenir une centaine d'universitaires spécialistes de diverschamps de la socio-économie et prenant en compte cette extension deschamps de recherche régulationnistes, cet ouvrage s'impose comme le « nouvel état des savoirs ».
Il sera un outil de travail efficace et durable pourla communauté étudiante - du master au doctorat - comme pour leschercheurs et chercheuses avancés et constituera une référence pourintégrer les transformations structurelles de la société à une économie politique renouvelée. Ouvrage coordonné par Robert Boyer, chercheur associé à l'Institut desAmériques à Paris, Jean-Pierre Chanteau, maître de conférences HDR enSciences économiques à l'université Grenoble Alpes, Agnès Labrousse, professeure en sciences économiques à Sciences-Po Lyon et ThomasLamarche, professeur en sciences économiques à l'université Paris Cité etdirecteur du laboratoire LADYSS (UMR CNRS, Universités Paris Cité, Paris 1, Paris 8, Paris 10).
Elle traite aussi désormais desentreprises et de champs sectoriels classiques (automobile, agroalimentaire.)comme plus originaux (éducation, santé, ESS, RSE.) ainsique de problématiques transversales fondamentales (écologie, genre, connaissances.). Faisant intervenir une centaine d'universitaires spécialistes de diverschamps de la socio-économie et prenant en compte cette extension deschamps de recherche régulationnistes, cet ouvrage s'impose comme le « nouvel état des savoirs ».
Il sera un outil de travail efficace et durable pourla communauté étudiante - du master au doctorat - comme pour leschercheurs et chercheuses avancés et constituera une référence pourintégrer les transformations structurelles de la société à une économie politique renouvelée. Ouvrage coordonné par Robert Boyer, chercheur associé à l'Institut desAmériques à Paris, Jean-Pierre Chanteau, maître de conférences HDR enSciences économiques à l'université Grenoble Alpes, Agnès Labrousse, professeure en sciences économiques à Sciences-Po Lyon et ThomasLamarche, professeur en sciences économiques à l'université Paris Cité etdirecteur du laboratoire LADYSS (UMR CNRS, Universités Paris Cité, Paris 1, Paris 8, Paris 10).
Constituée dans les années 1970 à partir des pensées marxistes et keynésiennes, la théorie de la régulation est devenue uneapproche économique cruciale qui offre une alternativerobuste à la théorie néoclassique. Depuis l'« état des savoirs » publié en 1995, la théorie de la régulation a beaucoup évolué. Elle n'est plus seulement identifiée à unerecherche de type macroéconomique (modes de régulation des économiesnationales et du capitalisme mondial).
Elle traite aussi désormais desentreprises et de champs sectoriels classiques (automobile, agroalimentaire.)comme plus originaux (éducation, santé, ESS, RSE.) ainsique de problématiques transversales fondamentales (écologie, genre, connaissances.). Faisant intervenir une centaine d'universitaires spécialistes de diverschamps de la socio-économie et prenant en compte cette extension deschamps de recherche régulationnistes, cet ouvrage s'impose comme le « nouvel état des savoirs ».
Il sera un outil de travail efficace et durable pourla communauté étudiante - du master au doctorat - comme pour leschercheurs et chercheuses avancés et constituera une référence pourintégrer les transformations structurelles de la société à une économie politique renouvelée. Ouvrage coordonné par Robert Boyer, chercheur associé à l'Institut desAmériques à Paris, Jean-Pierre Chanteau, maître de conférences HDR enSciences économiques à l'université Grenoble Alpes, Agnès Labrousse, professeure en sciences économiques à Sciences-Po Lyon et ThomasLamarche, professeur en sciences économiques à l'université Paris Cité etdirecteur du laboratoire LADYSS (UMR CNRS, Universités Paris Cité, Paris 1, Paris 8, Paris 10).
Elle traite aussi désormais desentreprises et de champs sectoriels classiques (automobile, agroalimentaire.)comme plus originaux (éducation, santé, ESS, RSE.) ainsique de problématiques transversales fondamentales (écologie, genre, connaissances.). Faisant intervenir une centaine d'universitaires spécialistes de diverschamps de la socio-économie et prenant en compte cette extension deschamps de recherche régulationnistes, cet ouvrage s'impose comme le « nouvel état des savoirs ».
Il sera un outil de travail efficace et durable pourla communauté étudiante - du master au doctorat - comme pour leschercheurs et chercheuses avancés et constituera une référence pourintégrer les transformations structurelles de la société à une économie politique renouvelée. Ouvrage coordonné par Robert Boyer, chercheur associé à l'Institut desAmériques à Paris, Jean-Pierre Chanteau, maître de conférences HDR enSciences économiques à l'université Grenoble Alpes, Agnès Labrousse, professeure en sciences économiques à Sciences-Po Lyon et ThomasLamarche, professeur en sciences économiques à l'université Paris Cité etdirecteur du laboratoire LADYSS (UMR CNRS, Universités Paris Cité, Paris 1, Paris 8, Paris 10).