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The Numbers don't lead the dance. Les pouvoirs de la littérature
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-36753-066-6
- EAN9782367530666
- Date de parution03/06/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurKinoscript
Résumé
La littérature, je le crois, n'est pas un luxe pour rêveurs désouvrés. Elle est une technologie intérieure. Une alchimie lente qui transforme les lecteurs en êtres plus profonds, plus libres, plus humains. Lire Balzac, Racine ou Quignard n'est pas une fuite du réel : c'est une manière de le voir plus clairement. C'est décoller la peau du visible pour sentir battre, dessous, la pulsation du sens. Et cette capacité-là - voir autrement, sentir plus loin, nommer l'indicible - est plus utile que jamais.
À l'heure où les récits se démultiplient, se falsifient, se marchandent, nous avons besoin d'un autre rapport au langage.
Un rapport où la parole est encore habitée, où les mots ne sont pas des slogans mais des souffles. Un rapport où l'on lit pour comprendre, et non pour juger ; pour vibrer, et non pour dominer. Ce rapport, la littérature le rend possible. À condition qu'on l'aborde non comme une discipline scolaire, mais comme une expérience vivante. C'est ce que nous essayons de faire, à notre échelle, avec les élèves et les professeurs d'OFALycée (Lien -> https://ofalycee.org/en/home/).
Un rapport où la parole est encore habitée, où les mots ne sont pas des slogans mais des souffles. Un rapport où l'on lit pour comprendre, et non pour juger ; pour vibrer, et non pour dominer. Ce rapport, la littérature le rend possible. À condition qu'on l'aborde non comme une discipline scolaire, mais comme une expérience vivante. C'est ce que nous essayons de faire, à notre échelle, avec les élèves et les professeurs d'OFALycée (Lien -> https://ofalycee.org/en/home/).
La littérature, je le crois, n'est pas un luxe pour rêveurs désouvrés. Elle est une technologie intérieure. Une alchimie lente qui transforme les lecteurs en êtres plus profonds, plus libres, plus humains. Lire Balzac, Racine ou Quignard n'est pas une fuite du réel : c'est une manière de le voir plus clairement. C'est décoller la peau du visible pour sentir battre, dessous, la pulsation du sens. Et cette capacité-là - voir autrement, sentir plus loin, nommer l'indicible - est plus utile que jamais.
À l'heure où les récits se démultiplient, se falsifient, se marchandent, nous avons besoin d'un autre rapport au langage.
Un rapport où la parole est encore habitée, où les mots ne sont pas des slogans mais des souffles. Un rapport où l'on lit pour comprendre, et non pour juger ; pour vibrer, et non pour dominer. Ce rapport, la littérature le rend possible. À condition qu'on l'aborde non comme une discipline scolaire, mais comme une expérience vivante. C'est ce que nous essayons de faire, à notre échelle, avec les élèves et les professeurs d'OFALycée (Lien -> https://ofalycee.org/en/home/).
Un rapport où la parole est encore habitée, où les mots ne sont pas des slogans mais des souffles. Un rapport où l'on lit pour comprendre, et non pour juger ; pour vibrer, et non pour dominer. Ce rapport, la littérature le rend possible. À condition qu'on l'aborde non comme une discipline scolaire, mais comme une expérience vivante. C'est ce que nous essayons de faire, à notre échelle, avec les élèves et les professeurs d'OFALycée (Lien -> https://ofalycee.org/en/home/).