Terreur sur le campus. Extrait du recueil : Le Fantôme de Lady Margaret

Par : Mary Higgins Clark
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages148
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-42461-7
  • EAN9782226424617
  • Date de parution20/04/2017
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel
  • TraducteurAnne Damour
  • TraducteurAnne Damour

Résumé

Donny a le béguin depuis huit ans pour Kay, son ancienne prof. Il profite du pique-nique de retrouvailles au lycée pour la séquestrer, sans se douter que le mari de Kay, écartant l'hypothèse d'une rupture amoureuse, va se lancer dans l'enquête... Une histoire qui vous fera frissonner d'angoisse ! Cette nouvelle est extraite du livre Le fantôme de Lady Margaret. Temps de lecture estimé : à partir de 1 heure 30.
Donny a le béguin depuis huit ans pour Kay, son ancienne prof. Il profite du pique-nique de retrouvailles au lycée pour la séquestrer, sans se douter que le mari de Kay, écartant l'hypothèse d'une rupture amoureuse, va se lancer dans l'enquête... Une histoire qui vous fera frissonner d'angoisse ! Cette nouvelle est extraite du livre Le fantôme de Lady Margaret. Temps de lecture estimé : à partir de 1 heure 30.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.9/5
sur 9 notes dont 1 avis lecteur
Le fantôme de Lady Margaret et autres histoires
Des lieux variés, différents personnages, des crimes de toute sorte, plusieurs enquêteurs chevronnés ou amateurs, du suspense… Voici les ingrédients réunis dans les cinq nouvelles du roman de Mary Higgins Clark. « Le fantôme de Lady Margaret » est le premier des cinq récits et également les plus développé d’entre eux. Plusieurs histoires s’y entremêlent et nous plongent dans la guerre civile anglaise et la politique. Judith est une historienne qui cherche à découvrir son passé dont la route a croisé celle de Sir Stephen, prétendant au titre de premier ministre. Mais lors de recherches effectuées en vue de son prochain livre historique, il s’avère que la découverte de Lady Margaret pourrait bien mettre en péril sa relation. Surtout que plusieurs attentats dirigés contre des monuments auxquels Judith s’intéresse ont lieu et que la résolution de leur mystère presse. Comme vous le remarquerez sans doute à la lecture de ce bref résumé, la trame narrative n’est pas des plus simples. En effet, les histoires et les époques se confondent, laissant parfois le lecteur dans une confusion habile qui contribue à garder le suspense. Le personnage principal est Judith Chase, qui se concentre d’une part sur l’écriture de son roman historique et d’autre part sur la recherche de sa véritable famille, disparue alors qu’elle n’avait que deux ans. Le lecteur entre donc dans son quotidien, partagé entre ces deux tâches, qui comprennent chacun en récit enchâssé. Nous découvrons ainsi l’histoire de Cromwell, Charles Ier et Charles II ainsi que celle de la mystérieuse Lady Margaret, et plusieurs flashbacks nous plongent dans les souvenirs de Judith – des flashbacks effrayants datant de la guerre. Hormis ces deux « enquêtes », Judith rencontre deux personnages d’importance. Le premier, Sir Stephen, est extrêmement important car il est son fiancé. Toutefois, son travail lui prend beaucoup de temps car il espère succéder au premier ministre. Bien que moins important que Judith, il nous permet de découvrir un autre aspect important de la vie anglaise, à savoir la politique. Ce personnage est un peu cliché avec son grand manoir, ses serviteurs et ses titres prouvant qu’il descend d’une grande famille, mais il n’en est pas moins doux et gentil malgré ses lourdes responsabilités. On en vient rapidement à espérer que son mariage et sa carrière iront pour le mieux, ce qui est loin d’être gagné. En effet, en raison d’attentats terroristes meurtriers organisés dans des lieux touristiques de Londres, la pression est plus forte encore et il n’a pas le droit à l’erreur. L’autre personnage d’importance rencontré par Judith est le Dr Patel, un spécialiste de l’hypnose qui tentera de l’aider à retrouver ses anciens souvenirs. Mais cette science recèle plus d’un danger, comme l’apprendra Judith à ses dépens. L’intrique très prenante de ce récit est organisée avec talent pour faire douter le lecteur. Tout en découvrant l’Angleterre – ses légendes, un chapitre important de son histoire, sa politique, … - on se demande constamment où se cache la vérité. Judith est-elle vraiment celle que l’on croit ? Quel rapport y a-t-il entre ses recherches et les attentats ? Sir Stephen deviendra-t-il premier ministre malgré son passé ? A peine obtient-on une réponse à l’une de ces questions qu’une autre interrogation surgit. Une histoire pleine de détails intéressants et variés qui met en scène des personnages attachants et pleins de personnalité. La seconde histoire, « Terreur dans le campus » se déroule aux Etats-Unis, lors d’une fête où se retrouvent d’anciens élèves et professeurs d’un lycée. Sur le chemin du retour, Kay disparaît et, malgré sa récente dispute avec son mari, ce dernier ne peut croire qu’elle l’a quitté. Il lui est arrivé quelque chose, il en est sûr, et il la retrouvera, avec ou sans aide. L’intérêt principal de ce récit tient au fait que nous voyons tout à tour Kay – et ce qui lui arrive – et son mari, entouré d’une équipe qui l’aide dans son enquête. Nous découvrons petit à petit ce qui s’est passé, mais aussi les tentatives de Kay pour rejoindre son mari et l’enquête pour la sauver. L’intrigue se déroulant dans une seule ville, on voit les personnages se croiser sans se reconnaître mutuellement et s’occuper chacun de ses petites affaires, sans l’ombre d’un soupçon, ce qui fera battre notre cœur à tout rompre plus d’une fois. La nouvelle suivant s’appelle « Un jour de chance » et est très courte (une trentaine de pages seulement). C’est celle des cinq histoires qui m’a le moins plu, malgré un magnifique coup de théâtre à la fin. On rencontre trois personnages – un couple et une de leurs connaissances – qui ont une vie plutôt grise jusqu’à ce jour qui, selon Bill, sera leur jour de chance. Mais Bill disparaît. Que lui est-il arrivé ? L’intrigue de base est intéressante, mais je trouve qu’elle aurait mérité d’être plus développée. Le début est relativement lent et contient peut d’action, ce qui constitue un véritable contraste avec une fin extrêmement réussie. C’est toutefois une nouvelle quelque peu différente des autres qui présentées dans cet ouvrage, ce qui m’a sans doute déstabilisée : pas de véritable enquête, pas vraiment de suspense, des personnages trop ordinaires pour être attachants ou pour qu’on s’identifie à eux… Heureusement que la chute vient sauver le tout ! « L’une pour l’autre » conte la confrontation entre un assassin et sa victime. Victime qu’il pensait avoir tuée quelques années auparavant, mais il avait alors fait erreur sur la personne. Ce récit très bien ficelé se penche plutôt sur l’aspect psychologique des personnages, ce qui m’a beaucoup plu. On découvre la rencontre entre les deux protagonistes, ainsi que les méthodes utilisées par la victime pour tenter de sauver sa peau. Mais y parviendra-t-elle finalement ? La dernière histoire est courte mais très touchante. « L’ange perdu » raconte comment une mère part à la recherche de son enfant, enlevé par son ex-mari, un criminel recherché par la police. Là aussi, nous avons deux points de vue différents : celui de la fillette et celui de sa mère. Toutes deux sont très émouvantes et leurs sentiments réciproques sont très bien analysés. L’enquête passe un peu au second plan, ce qui ne nuit en aucun cas au suspense. Parviendront-elles à se retrouver avant que quelque chose de terrible n’arrive ? Les cinq nouvelles qui composent Le fantôme de Lady Margaret montrent une fois de plus le talent de Mary Higgins Clark pour l’écriture de romans policiers, mais dans un style un peu différent de celui dont on a l’habitude. Son jeu avec le suspense et les nerfs des lecteurs n’en est pas moins superbe, tout comme la grande variété des intrigues. J’ai apprécié le style courant et léger dans lequel les histoires sont racontées. J’ai toutefois repéré quelques fautes de français… mais rien à reprocher à l’auteur, puisqu’il s’agit d’une traduction.
Des lieux variés, différents personnages, des crimes de toute sorte, plusieurs enquêteurs chevronnés ou amateurs, du suspense… Voici les ingrédients réunis dans les cinq nouvelles du roman de Mary Higgins Clark. « Le fantôme de Lady Margaret » est le premier des cinq récits et également les plus développé d’entre eux. Plusieurs histoires s’y entremêlent et nous plongent dans la guerre civile anglaise et la politique. Judith est une historienne qui cherche à découvrir son passé dont la route a croisé celle de Sir Stephen, prétendant au titre de premier ministre. Mais lors de recherches effectuées en vue de son prochain livre historique, il s’avère que la découverte de Lady Margaret pourrait bien mettre en péril sa relation. Surtout que plusieurs attentats dirigés contre des monuments auxquels Judith s’intéresse ont lieu et que la résolution de leur mystère presse. Comme vous le remarquerez sans doute à la lecture de ce bref résumé, la trame narrative n’est pas des plus simples. En effet, les histoires et les époques se confondent, laissant parfois le lecteur dans une confusion habile qui contribue à garder le suspense. Le personnage principal est Judith Chase, qui se concentre d’une part sur l’écriture de son roman historique et d’autre part sur la recherche de sa véritable famille, disparue alors qu’elle n’avait que deux ans. Le lecteur entre donc dans son quotidien, partagé entre ces deux tâches, qui comprennent chacun en récit enchâssé. Nous découvrons ainsi l’histoire de Cromwell, Charles Ier et Charles II ainsi que celle de la mystérieuse Lady Margaret, et plusieurs flashbacks nous plongent dans les souvenirs de Judith – des flashbacks effrayants datant de la guerre. Hormis ces deux « enquêtes », Judith rencontre deux personnages d’importance. Le premier, Sir Stephen, est extrêmement important car il est son fiancé. Toutefois, son travail lui prend beaucoup de temps car il espère succéder au premier ministre. Bien que moins important que Judith, il nous permet de découvrir un autre aspect important de la vie anglaise, à savoir la politique. Ce personnage est un peu cliché avec son grand manoir, ses serviteurs et ses titres prouvant qu’il descend d’une grande famille, mais il n’en est pas moins doux et gentil malgré ses lourdes responsabilités. On en vient rapidement à espérer que son mariage et sa carrière iront pour le mieux, ce qui est loin d’être gagné. En effet, en raison d’attentats terroristes meurtriers organisés dans des lieux touristiques de Londres, la pression est plus forte encore et il n’a pas le droit à l’erreur. L’autre personnage d’importance rencontré par Judith est le Dr Patel, un spécialiste de l’hypnose qui tentera de l’aider à retrouver ses anciens souvenirs. Mais cette science recèle plus d’un danger, comme l’apprendra Judith à ses dépens. L’intrique très prenante de ce récit est organisée avec talent pour faire douter le lecteur. Tout en découvrant l’Angleterre – ses légendes, un chapitre important de son histoire, sa politique, … - on se demande constamment où se cache la vérité. Judith est-elle vraiment celle que l’on croit ? Quel rapport y a-t-il entre ses recherches et les attentats ? Sir Stephen deviendra-t-il premier ministre malgré son passé ? A peine obtient-on une réponse à l’une de ces questions qu’une autre interrogation surgit. Une histoire pleine de détails intéressants et variés qui met en scène des personnages attachants et pleins de personnalité. La seconde histoire, « Terreur dans le campus » se déroule aux Etats-Unis, lors d’une fête où se retrouvent d’anciens élèves et professeurs d’un lycée. Sur le chemin du retour, Kay disparaît et, malgré sa récente dispute avec son mari, ce dernier ne peut croire qu’elle l’a quitté. Il lui est arrivé quelque chose, il en est sûr, et il la retrouvera, avec ou sans aide. L’intérêt principal de ce récit tient au fait que nous voyons tout à tour Kay – et ce qui lui arrive – et son mari, entouré d’une équipe qui l’aide dans son enquête. Nous découvrons petit à petit ce qui s’est passé, mais aussi les tentatives de Kay pour rejoindre son mari et l’enquête pour la sauver. L’intrigue se déroulant dans une seule ville, on voit les personnages se croiser sans se reconnaître mutuellement et s’occuper chacun de ses petites affaires, sans l’ombre d’un soupçon, ce qui fera battre notre cœur à tout rompre plus d’une fois. La nouvelle suivant s’appelle « Un jour de chance » et est très courte (une trentaine de pages seulement). C’est celle des cinq histoires qui m’a le moins plu, malgré un magnifique coup de théâtre à la fin. On rencontre trois personnages – un couple et une de leurs connaissances – qui ont une vie plutôt grise jusqu’à ce jour qui, selon Bill, sera leur jour de chance. Mais Bill disparaît. Que lui est-il arrivé ? L’intrigue de base est intéressante, mais je trouve qu’elle aurait mérité d’être plus développée. Le début est relativement lent et contient peut d’action, ce qui constitue un véritable contraste avec une fin extrêmement réussie. C’est toutefois une nouvelle quelque peu différente des autres qui présentées dans cet ouvrage, ce qui m’a sans doute déstabilisée : pas de véritable enquête, pas vraiment de suspense, des personnages trop ordinaires pour être attachants ou pour qu’on s’identifie à eux… Heureusement que la chute vient sauver le tout ! « L’une pour l’autre » conte la confrontation entre un assassin et sa victime. Victime qu’il pensait avoir tuée quelques années auparavant, mais il avait alors fait erreur sur la personne. Ce récit très bien ficelé se penche plutôt sur l’aspect psychologique des personnages, ce qui m’a beaucoup plu. On découvre la rencontre entre les deux protagonistes, ainsi que les méthodes utilisées par la victime pour tenter de sauver sa peau. Mais y parviendra-t-elle finalement ? La dernière histoire est courte mais très touchante. « L’ange perdu » raconte comment une mère part à la recherche de son enfant, enlevé par son ex-mari, un criminel recherché par la police. Là aussi, nous avons deux points de vue différents : celui de la fillette et celui de sa mère. Toutes deux sont très émouvantes et leurs sentiments réciproques sont très bien analysés. L’enquête passe un peu au second plan, ce qui ne nuit en aucun cas au suspense. Parviendront-elles à se retrouver avant que quelque chose de terrible n’arrive ? Les cinq nouvelles qui composent Le fantôme de Lady Margaret montrent une fois de plus le talent de Mary Higgins Clark pour l’écriture de romans policiers, mais dans un style un peu différent de celui dont on a l’habitude. Son jeu avec le suspense et les nerfs des lecteurs n’en est pas moins superbe, tout comme la grande variété des intrigues. J’ai apprécié le style courant et léger dans lequel les histoires sont racontées. J’ai toutefois repéré quelques fautes de français… mais rien à reprocher à l’auteur, puisqu’il s’agit d’une traduction.
Mary Higgins Clark

Mary Higgins Clark est une écrivaine américaine née le 24 décembre 1927 à New York et décédée le 31 janvier 2020 à Naples en Floride.

Mary Higgins Clark a commencé à écrire des poèmes dès l’âge de 6 ans et, une fois adulte, après avoir travaillé en tant qu’hôtesse de l’air, elle écrit des scripts pour la radio de 1956 à 1970.

C’est en 1969 qu’elle publie son premier livre Le Roman de George et Martha (Aspire to the Heavens), une biographie romancée de George Washington destinée à la jeunesse. Ce premier roman ne connaîtra cependant aucun succès.

En 1971, Mary Higgins Clark reprend ses études à l’Université Fordham au Lincoln Center for the Performing Arts et obtient, en 1979, un Bachelor of Arts option Philosophie.

En 1975, elle s’essaie à un autre genre, le suspens, avec La Maison du Guet (Where are the children), le récit d’une mère accusée d’avoir assassiné ses deux premiers enfants. Ce roman devient très vite un best-seller.

C’est en 1977 qu’elle se fait découvrir en France avec La Nuit du Renard, qui sera sacré Grand Prix de la Littérature Policière en 1980. Ce roman est acclamé pour son intrigue explosive : un jeune de 19 ans, Ronald, est condamné à la chaise électrique pour le meurtre d’une femme, dont le fils dit l’avoir reconnu. Mais juste avant que Ronald ne soit exécuté, le fils de la victime est kidnappé, et son ravisseur menace de faire sautrer la gare centrale de New-York... Les Editions Albin Michel inaugurent avec ce roman la Collection Spécial Suspense qui compte aujourd’hui 22 de ses ouvrages.

Parmi les ouvrages incontournables de Mary Higgins Clark se trouve également La Clinique du Docteur H., paru en 1980, un roman glaçant qui a fait l’objet de plusieurs adaptations télévisuelles.

Nous pouvons également citer Nous n’irons plus au bois, sorti en 1992. Mary Higgins Clark tient le lecteur en haleine en faisant peser des soupçons sur une jeune fille accusée du meurtre de son professeur dont elle n’a aucun souvenir. Alors qu’elle est dans la tourmente, des morceaux inquiétants de son passé réapparaissent et la submergent. La romancière floute la frontière entre la folie et la raison.

Son roman Une Chanson Douce paru en 2013 a également marqué les esprits. Mary Higgins Clark continue d’explorer les drames familiaux dans cette histoire qui, au fil des chapitres, devient de plus en plus intense. Tout commence par l’explosion d’une fabrique familiale de copies de meubles anciens. Kate, la fille qui était sur place, est soupçonnée ; sa soeur ne croit pas en sa culpabilité et cherche à l’innocenter. En parallèle, une série de meurtres de femmes pourrait bien avoir des liens insoupçonnés avec la fabrique.

En 2000, elle co-écrit, avec sa fille Carol Higgins Clark, Trois Jours avant Noël, expérience qu’elles renouvelleront 4 fois par la suite.

C’est en 2019 que Mary Higgins Clark publie ce qui sera son dernier roman En Secret (Kiss the Girls and Make Them Cry) qui a pour thème l’enquête d’un journaliste sur le harcèlement sexuel pratiqué dans une chaîne de télévision.

Aux USA, ses livres se sont vendus à plus de 100 millions d’exemplaires et, en France, à plus de 20 millions. Parmi la cinquantaine d’ouvrages signés par la romancière surnommée “La Reine du Suspense”, 37 ont rejoint la catégorie “best-sellers”.

Si c'était toi
Mary Higgins Clark, Alafair Burke
Grand Format
21,90 €
Si c'était toi
Mary Higgins Clark, Alafair Burke
E-book
14,99 €
Les enfants du guet
Mary Higgins Clark, Alafair Burke
E-book
8,49 €
Les enfants du guet
Mary Higgins Clark, Alafair Burke
Grand Format
21,90 €
La Nuit du Renard
4/5
3.8/5
Mary Higgins Clark
Poche
7,90 €
La Nuit du renard
4/5
3.8/5
Mary Higgins Clark
E-book
5,99 €
La Maison du guet
4/5
3.8/5
Mary Higgins Clark
Poche
7,90 €
La Maison du Guet
4/5
3.8/5
Mary Higgins Clark
E-book
7,49 €
A la vie, à la mort
Mary Higgins Clark, Alafair Burke
E-book
8,49 €
Meurtre à Cape Cod
Mary Higgins Clark
E-book
7,99 €
La Nuit du renard
4/5
3.8/5
Mary Higgins Clark
Poche
6,20 €
En secret
Mary Higgins Clark
E-book
9,49 €
En secret
Mary Higgins Clark
Poche
9,40 €
La Clinique du docteur H
4/5
Mary Higgins Clark
E-book
7,49 €