Terres oubliées, l'ouvre de Seyfettin Araç, dresse les portraits humains d'une époque (de 1986 à 2018), d'un territoire?; celui du Sud-est anatolien en Turquie?; et plus précisément de la ville de Mardin qui a toujours symbolisé une diversité de langues, de convictions et de types d'appartenance depuis des siècles.
Il s'agit du récit de quatre enfants issus de quatre familles villageoises qui se réunissent à l'internat de Mazidagi, établi à une hauteur de 1030 à 1090 mètres dans la plaine nichée au cour des montagnes en cercle, à 47 km de Mardin.
Ces récits entrelacés exposent une variété de thèmes tels que l'assassinat, la trahison, l'isolement, l'amitié, le mutisme amoureux, le viol, le suicide et la mort.
Cette narration polyphonique qui entremêle plusieurs récits à la première personne illustre l'image de l'enfance souffrante de quatre enfants, orphelins de père (trois garçons et une fille, issus de quatre foyers), venus des contrées délaissées, dépouillés de tout sauf de leurs rêves, tentant d'assurer leur survie et de maintenir leur existence.
Terres oubliées, l'ouvre de Seyfettin Araç, dresse les portraits humains d'une époque (de 1986 à 2018), d'un territoire?; celui du Sud-est anatolien en Turquie?; et plus précisément de la ville de Mardin qui a toujours symbolisé une diversité de langues, de convictions et de types d'appartenance depuis des siècles.
Il s'agit du récit de quatre enfants issus de quatre familles villageoises qui se réunissent à l'internat de Mazidagi, établi à une hauteur de 1030 à 1090 mètres dans la plaine nichée au cour des montagnes en cercle, à 47 km de Mardin.
Ces récits entrelacés exposent une variété de thèmes tels que l'assassinat, la trahison, l'isolement, l'amitié, le mutisme amoureux, le viol, le suicide et la mort.
Cette narration polyphonique qui entremêle plusieurs récits à la première personne illustre l'image de l'enfance souffrante de quatre enfants, orphelins de père (trois garçons et une fille, issus de quatre foyers), venus des contrées délaissées, dépouillés de tout sauf de leurs rêves, tentant d'assurer leur survie et de maintenir leur existence.