Né en 1953 à Batoumi, sur la côte de la mer Noire, Levan Berdzenichvili est un homme politique, traducteur et spécialiste de littérature et de langues anciennes. Dissident très actif en Géorgie pendant la période soviétique, il fonde en secret avec son frère le parti Républicain en 1978. En 1983, il est incarcéré pour antisoviétisme pendant plusieurs années dans un camp de Mordovie. Il siège au parlement de Géorgie de 2012 à 2016, en tant que membre du parti "Rêve géorgien ¿ Géorgie démocratique" .
Ténèbres sacrées. Les derniers jours du goulag
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- FormatePub
- ISBN978-2-88250-717-4
- EAN9782882507174
- Date de parution10/02/2022
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurNoir sur Blanc
- TraducteurMaïa Varsimashvili-Raphael
- TraducteurIsabelle Ribadeau Dumas
Résumé
Basé sur des faits réels, mélange de reportage et de fiction, Ténèbres sacrées est sans doute le seul livre sur le Goulag qu'il est impossible de lire sans éclater de rire. L'auteur, Levan Berdzenichvili, semble avoir vécu dix vies : traducteur, spécialiste de langues anciennes, il a été un dissident très actif en Géorgie. En 1983, il est envoyé dans un camp de Mordovie pour activités antisoviétiques.
Il décrit ces années comme « les plus belles de sa vie » : en effet, « où d'autre aurais-je pu côtoyer tous ces hommes, si soigneusement rassemblés par le KGB ? » C'est dans cette tonalité que se déploie son livre, avec humour, ironie et optimisme. L'auteur dresse une galerie de portraits de ses codétenus : scientifiques, intellectuels, citoyens de tous horizons - chaque chapitre est consacré à l'un d'eux.
Ils constituent ensemble un tableau vivant de la société soviétique, qui devient un vaste théâtre de l'absurde juste avant son effondrement. « Ce n'est pas un livre sur moi, mais sur les gens que j'ai rencontrés et aimés en prison. Certains d'entre eux ne se reconnaîtront pas, parce que j'y décris une vérité plus grande qu'eux-mêmes, une vérité sur eux-mêmes qu'ils ne connaissent pas. »
Il décrit ces années comme « les plus belles de sa vie » : en effet, « où d'autre aurais-je pu côtoyer tous ces hommes, si soigneusement rassemblés par le KGB ? » C'est dans cette tonalité que se déploie son livre, avec humour, ironie et optimisme. L'auteur dresse une galerie de portraits de ses codétenus : scientifiques, intellectuels, citoyens de tous horizons - chaque chapitre est consacré à l'un d'eux.
Ils constituent ensemble un tableau vivant de la société soviétique, qui devient un vaste théâtre de l'absurde juste avant son effondrement. « Ce n'est pas un livre sur moi, mais sur les gens que j'ai rencontrés et aimés en prison. Certains d'entre eux ne se reconnaîtront pas, parce que j'y décris une vérité plus grande qu'eux-mêmes, une vérité sur eux-mêmes qu'ils ne connaissent pas. »
Basé sur des faits réels, mélange de reportage et de fiction, Ténèbres sacrées est sans doute le seul livre sur le Goulag qu'il est impossible de lire sans éclater de rire. L'auteur, Levan Berdzenichvili, semble avoir vécu dix vies : traducteur, spécialiste de langues anciennes, il a été un dissident très actif en Géorgie. En 1983, il est envoyé dans un camp de Mordovie pour activités antisoviétiques.
Il décrit ces années comme « les plus belles de sa vie » : en effet, « où d'autre aurais-je pu côtoyer tous ces hommes, si soigneusement rassemblés par le KGB ? » C'est dans cette tonalité que se déploie son livre, avec humour, ironie et optimisme. L'auteur dresse une galerie de portraits de ses codétenus : scientifiques, intellectuels, citoyens de tous horizons - chaque chapitre est consacré à l'un d'eux.
Ils constituent ensemble un tableau vivant de la société soviétique, qui devient un vaste théâtre de l'absurde juste avant son effondrement. « Ce n'est pas un livre sur moi, mais sur les gens que j'ai rencontrés et aimés en prison. Certains d'entre eux ne se reconnaîtront pas, parce que j'y décris une vérité plus grande qu'eux-mêmes, une vérité sur eux-mêmes qu'ils ne connaissent pas. »
Il décrit ces années comme « les plus belles de sa vie » : en effet, « où d'autre aurais-je pu côtoyer tous ces hommes, si soigneusement rassemblés par le KGB ? » C'est dans cette tonalité que se déploie son livre, avec humour, ironie et optimisme. L'auteur dresse une galerie de portraits de ses codétenus : scientifiques, intellectuels, citoyens de tous horizons - chaque chapitre est consacré à l'un d'eux.
Ils constituent ensemble un tableau vivant de la société soviétique, qui devient un vaste théâtre de l'absurde juste avant son effondrement. « Ce n'est pas un livre sur moi, mais sur les gens que j'ai rencontrés et aimés en prison. Certains d'entre eux ne se reconnaîtront pas, parce que j'y décris une vérité plus grande qu'eux-mêmes, une vérité sur eux-mêmes qu'ils ne connaissent pas. »