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Cet ouvrage étudie les effets de la technologie éducative sur une discipline, l'histoire. À partir des besoins de la formation, l'histoire est vue sous différents aspects complémentaires, par une filière qui remonte des programmes de l'enseignement, jusqu'à la recherche sur la science historique.
Le traitement de l'information - par les machines audiovisuelles ou par l'ordinateur - aboutit à une rationalisation des tâches.
Ainsi est posé le problème épistémologique ; on découvre deux histoires, l'une qui est à la source de la documentation livrée par le passé et garantie par les chercheurs, et l'autre, l'histoire appliquée à l'éducation. Cette dernière entre alors comme composante (avec les autres disciplines de formation) dans un système des sciences de l'éducation, où interviennent les autres sciences de l'homme : psychologie, biologie, sociologie, etc.
Mais ceci remet en cause la définition des langages technologiques, et réclame - notamment à celui de l'audiovisuel - une nouvelle précision.
L'auteur élabore en fait un système de communication, où l'histoire comme contenu, où les techniques comme médias, tentent de répondre aux besoins des apprenants.
