
Sur la religion. (Paralipomena, paragraphes 174-182)
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- Nombre de pages226
- FormatePub
- ISBN978-2-08-023556-5
- EAN9782080235565
- Date de parution06/01/2021
- Protection num.Adobe DRM
- Taille604 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFlammarion
- TraducteurEtienne Osier
Résumé
Plus de trente ans après Le Monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer propose une reprise dispersée mais fidèle des thèses de son ouvre maîtresse avec Sur la religion et les Paralipomena (1851). En rapportant le cour même de sa métaphysique à la doctrine de la transmigration des âmes, Schopenhauer prend position contre tout dogme religieux d'un commencement absolu du monde et contre celui de l'existence d'un dieu personnel.
Il critique donc le judaïsme et le christianisme comme religions théistes, et c'est à la religion de l'Inde ancienne qu'il arrime définitivement sa théorie qui, comme elle, prône la soustraction au cycle des renaissances. Le bouddhisme, en particulier, représente pour Schopenhauer l'attestation la plus éclatante de sa métaphysique dans le champ religieux : il y rencontre une religion où chaque individu, à l'image du Bouddha, peut mettre un terme à l'affirmation de la volonté dans le monde, et atteindre par là à sa propre négation - le « nirvana ». Ce texte, qui devait enfin apporter un relatif succès à son auteur, est l'un des dialogues fondateurs entre les pensées occidentale et orientale.
Il critique donc le judaïsme et le christianisme comme religions théistes, et c'est à la religion de l'Inde ancienne qu'il arrime définitivement sa théorie qui, comme elle, prône la soustraction au cycle des renaissances. Le bouddhisme, en particulier, représente pour Schopenhauer l'attestation la plus éclatante de sa métaphysique dans le champ religieux : il y rencontre une religion où chaque individu, à l'image du Bouddha, peut mettre un terme à l'affirmation de la volonté dans le monde, et atteindre par là à sa propre négation - le « nirvana ». Ce texte, qui devait enfin apporter un relatif succès à son auteur, est l'un des dialogues fondateurs entre les pensées occidentale et orientale.
Plus de trente ans après Le Monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer propose une reprise dispersée mais fidèle des thèses de son ouvre maîtresse avec Sur la religion et les Paralipomena (1851). En rapportant le cour même de sa métaphysique à la doctrine de la transmigration des âmes, Schopenhauer prend position contre tout dogme religieux d'un commencement absolu du monde et contre celui de l'existence d'un dieu personnel.
Il critique donc le judaïsme et le christianisme comme religions théistes, et c'est à la religion de l'Inde ancienne qu'il arrime définitivement sa théorie qui, comme elle, prône la soustraction au cycle des renaissances. Le bouddhisme, en particulier, représente pour Schopenhauer l'attestation la plus éclatante de sa métaphysique dans le champ religieux : il y rencontre une religion où chaque individu, à l'image du Bouddha, peut mettre un terme à l'affirmation de la volonté dans le monde, et atteindre par là à sa propre négation - le « nirvana ». Ce texte, qui devait enfin apporter un relatif succès à son auteur, est l'un des dialogues fondateurs entre les pensées occidentale et orientale.
Il critique donc le judaïsme et le christianisme comme religions théistes, et c'est à la religion de l'Inde ancienne qu'il arrime définitivement sa théorie qui, comme elle, prône la soustraction au cycle des renaissances. Le bouddhisme, en particulier, représente pour Schopenhauer l'attestation la plus éclatante de sa métaphysique dans le champ religieux : il y rencontre une religion où chaque individu, à l'image du Bouddha, peut mettre un terme à l'affirmation de la volonté dans le monde, et atteindre par là à sa propre négation - le « nirvana ». Ce texte, qui devait enfin apporter un relatif succès à son auteur, est l'un des dialogues fondateurs entre les pensées occidentale et orientale.