Sur des chemins de traverse. L'itinéraire d'un prêtre-ouvrier
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages196
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-16289-1
- EAN9782296162891
- Date de parution01/03/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille96 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
On peut préférer les chemins vicinaux aux routes nationales, les départementales aux autoroutes. On peut même choisir d'emprunter des chemins de traverse, qui ne sont pas seulement des sentiers ou des pistes sur lesquels on s'engagerait par simple esprit d'aventure ou pour le plaisir de musarder loin du flot des voyageurs pressés. S'écartant des voies déjà tracées, connues, directes, ils permettent de traverser des contrées oubliées que les grands axes ignorent ou négligent.
C'est là qu'on peut rencontrer tous ceux qui, innombrables, égarés ou rejetés, laissés pour compte sur les bas-côtés, ne fréquentent plus guère les itinéraires balisés. Tous les voyageurs le savent : la route vaut mieux que l'étape. D'ailleurs, qui peut affirmer, au soir d'une vie, qu'il a atteint le but qu'il s'était fixé, réalisé l'idéal qu'il avait poursuivi, qu'il est parvenu à destination ? Ce qui demeure, ce sur quoi on peut tenter de porter un regard, sinon un jugement, c'est le chemin parcouru, jour après jour, vers un horizon qui, sans cesse, recule à mesure qu'on avance.
Ce sont bien des chemins de traverse que l'auteur de ce témoignage a empruntés, à ses risques et périls, sans toujours être sûr de sa mission, mais sans jamais mettre sac à terre ni renoncer au voyage, malgré l'incompréhension, parfois, la fatigue, souvent, et la solitude. Plus que la seule opiniâtreté, plus que le simple courage, c'est la force des convictions, la vigueur de la foi qui peuvent expliquer le choix de cet itinéraire hors des sentiers battus.
C'est là qu'on peut rencontrer tous ceux qui, innombrables, égarés ou rejetés, laissés pour compte sur les bas-côtés, ne fréquentent plus guère les itinéraires balisés. Tous les voyageurs le savent : la route vaut mieux que l'étape. D'ailleurs, qui peut affirmer, au soir d'une vie, qu'il a atteint le but qu'il s'était fixé, réalisé l'idéal qu'il avait poursuivi, qu'il est parvenu à destination ? Ce qui demeure, ce sur quoi on peut tenter de porter un regard, sinon un jugement, c'est le chemin parcouru, jour après jour, vers un horizon qui, sans cesse, recule à mesure qu'on avance.
Ce sont bien des chemins de traverse que l'auteur de ce témoignage a empruntés, à ses risques et périls, sans toujours être sûr de sa mission, mais sans jamais mettre sac à terre ni renoncer au voyage, malgré l'incompréhension, parfois, la fatigue, souvent, et la solitude. Plus que la seule opiniâtreté, plus que le simple courage, c'est la force des convictions, la vigueur de la foi qui peuvent expliquer le choix de cet itinéraire hors des sentiers battus.
On peut préférer les chemins vicinaux aux routes nationales, les départementales aux autoroutes. On peut même choisir d'emprunter des chemins de traverse, qui ne sont pas seulement des sentiers ou des pistes sur lesquels on s'engagerait par simple esprit d'aventure ou pour le plaisir de musarder loin du flot des voyageurs pressés. S'écartant des voies déjà tracées, connues, directes, ils permettent de traverser des contrées oubliées que les grands axes ignorent ou négligent.
C'est là qu'on peut rencontrer tous ceux qui, innombrables, égarés ou rejetés, laissés pour compte sur les bas-côtés, ne fréquentent plus guère les itinéraires balisés. Tous les voyageurs le savent : la route vaut mieux que l'étape. D'ailleurs, qui peut affirmer, au soir d'une vie, qu'il a atteint le but qu'il s'était fixé, réalisé l'idéal qu'il avait poursuivi, qu'il est parvenu à destination ? Ce qui demeure, ce sur quoi on peut tenter de porter un regard, sinon un jugement, c'est le chemin parcouru, jour après jour, vers un horizon qui, sans cesse, recule à mesure qu'on avance.
Ce sont bien des chemins de traverse que l'auteur de ce témoignage a empruntés, à ses risques et périls, sans toujours être sûr de sa mission, mais sans jamais mettre sac à terre ni renoncer au voyage, malgré l'incompréhension, parfois, la fatigue, souvent, et la solitude. Plus que la seule opiniâtreté, plus que le simple courage, c'est la force des convictions, la vigueur de la foi qui peuvent expliquer le choix de cet itinéraire hors des sentiers battus.
C'est là qu'on peut rencontrer tous ceux qui, innombrables, égarés ou rejetés, laissés pour compte sur les bas-côtés, ne fréquentent plus guère les itinéraires balisés. Tous les voyageurs le savent : la route vaut mieux que l'étape. D'ailleurs, qui peut affirmer, au soir d'une vie, qu'il a atteint le but qu'il s'était fixé, réalisé l'idéal qu'il avait poursuivi, qu'il est parvenu à destination ? Ce qui demeure, ce sur quoi on peut tenter de porter un regard, sinon un jugement, c'est le chemin parcouru, jour après jour, vers un horizon qui, sans cesse, recule à mesure qu'on avance.
Ce sont bien des chemins de traverse que l'auteur de ce témoignage a empruntés, à ses risques et périls, sans toujours être sûr de sa mission, mais sans jamais mettre sac à terre ni renoncer au voyage, malgré l'incompréhension, parfois, la fatigue, souvent, et la solitude. Plus que la seule opiniâtreté, plus que le simple courage, c'est la force des convictions, la vigueur de la foi qui peuvent expliquer le choix de cet itinéraire hors des sentiers battus.