Suicide au coeur des paysans
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- Nombre de pages66
- FormatPDF
- ISBN979-10-428-0684-2
- EAN9791042806842
- Date de parution20/02/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurIMPLIQUES
Résumé
Paysans est le mot propre. Cour est le mot acceptable par tous : esprit, âme, être. cultivateurs, céréaliers, viticulteurs, arboriculteurs, éleveurs, maraîchers, polyculteurs, pépiniéristes, agronomes... chacune et chacun s'y retrouvent.
La « souffrance au travail » existe depuis la nuit des temps. Elle mixe la soumission aux plus forts, aux plus puissants, mais aussi à un patron despote, à un syndicaliste totalitariste, à un riche, à un des siens, avec sa passion.
On abuse de sa passion. Voilà où peut se nicher la pensée suicidaire. La soumission est aussi à l'économie, au marché, aux normes ; elle est encore à nos habitudes, à notre origine, aux intempéries, au relief, à la nature des terres, aux incompréhensions familiales, aux jalousies d'amour et de succès. Elle se promène dans nos gênes psychologiques, par descendance et héritage, ou nécessité, ou choix plus ou moins imposé, ou passion exprimée et réalisée.
Nous n'avons pas par hasard une « âme de paysan », un « travail d'agriculteur » !
On abuse de sa passion. Voilà où peut se nicher la pensée suicidaire. La soumission est aussi à l'économie, au marché, aux normes ; elle est encore à nos habitudes, à notre origine, aux intempéries, au relief, à la nature des terres, aux incompréhensions familiales, aux jalousies d'amour et de succès. Elle se promène dans nos gênes psychologiques, par descendance et héritage, ou nécessité, ou choix plus ou moins imposé, ou passion exprimée et réalisée.
Nous n'avons pas par hasard une « âme de paysan », un « travail d'agriculteur » !
Paysans est le mot propre. Cour est le mot acceptable par tous : esprit, âme, être. cultivateurs, céréaliers, viticulteurs, arboriculteurs, éleveurs, maraîchers, polyculteurs, pépiniéristes, agronomes... chacune et chacun s'y retrouvent.
La « souffrance au travail » existe depuis la nuit des temps. Elle mixe la soumission aux plus forts, aux plus puissants, mais aussi à un patron despote, à un syndicaliste totalitariste, à un riche, à un des siens, avec sa passion.
On abuse de sa passion. Voilà où peut se nicher la pensée suicidaire. La soumission est aussi à l'économie, au marché, aux normes ; elle est encore à nos habitudes, à notre origine, aux intempéries, au relief, à la nature des terres, aux incompréhensions familiales, aux jalousies d'amour et de succès. Elle se promène dans nos gênes psychologiques, par descendance et héritage, ou nécessité, ou choix plus ou moins imposé, ou passion exprimée et réalisée.
Nous n'avons pas par hasard une « âme de paysan », un « travail d'agriculteur » !
On abuse de sa passion. Voilà où peut se nicher la pensée suicidaire. La soumission est aussi à l'économie, au marché, aux normes ; elle est encore à nos habitudes, à notre origine, aux intempéries, au relief, à la nature des terres, aux incompréhensions familiales, aux jalousies d'amour et de succès. Elle se promène dans nos gênes psychologiques, par descendance et héritage, ou nécessité, ou choix plus ou moins imposé, ou passion exprimée et réalisée.
Nous n'avons pas par hasard une « âme de paysan », un « travail d'agriculteur » !