Sport, colonisation et communautarisme : l'Ile Maurice. 1945-1985
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- Nombre de pages336
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-21705-8
- EAN9782296217058
- Date de parution01/03/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille16 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierEvelyne Combeau-Mari
Résumé
Dans l'île Maurice des années 1940, la structuration de la société sur des bases communautaires a permis à la minorité franco-mauricienne d'acquérir une position dominante très proche du colonisateur britannique. Que ce groupe social fonde une fédération sportive, concomitamment de la révision constitutionnelle octroyant le droit de vote à l'immense majorité d'origine indienne, ne peut qu'interpeller ! Comment et pourquoi cet organisme évolue vers la gestion du sport national et international ? Quels enjeux politiques, économiques ou sociaux expliquent la croissance de ce mouvement sportif, limité à quelques privilégiés ? Quelles ont été les réactions ? Cet ouvrage souligne la spécificité de l'île Maurice.
Le sport n'y est pas un outil d'acculturation mais un élément de positionnement dominant. Pendant les périodes pré et post Indépendance, il devient le miroir de la construction identitaire et des luttes de pouvoir. Le communautarisme, omniprésent, sert chaque communauté au gré de ses intérêts du moment. Mais, il sait aussi s'effacer, comme dans les secteurs industriel et scolaire et présenter une autre image des relations sociales.
Bousculant quelques non-dits, cette histoire du mouvement sportif, par son regard novateur, participe à une compréhension plus fine de l'édification de la nation mauricienne.
Le sport n'y est pas un outil d'acculturation mais un élément de positionnement dominant. Pendant les périodes pré et post Indépendance, il devient le miroir de la construction identitaire et des luttes de pouvoir. Le communautarisme, omniprésent, sert chaque communauté au gré de ses intérêts du moment. Mais, il sait aussi s'effacer, comme dans les secteurs industriel et scolaire et présenter une autre image des relations sociales.
Bousculant quelques non-dits, cette histoire du mouvement sportif, par son regard novateur, participe à une compréhension plus fine de l'édification de la nation mauricienne.
Dans l'île Maurice des années 1940, la structuration de la société sur des bases communautaires a permis à la minorité franco-mauricienne d'acquérir une position dominante très proche du colonisateur britannique. Que ce groupe social fonde une fédération sportive, concomitamment de la révision constitutionnelle octroyant le droit de vote à l'immense majorité d'origine indienne, ne peut qu'interpeller ! Comment et pourquoi cet organisme évolue vers la gestion du sport national et international ? Quels enjeux politiques, économiques ou sociaux expliquent la croissance de ce mouvement sportif, limité à quelques privilégiés ? Quelles ont été les réactions ? Cet ouvrage souligne la spécificité de l'île Maurice.
Le sport n'y est pas un outil d'acculturation mais un élément de positionnement dominant. Pendant les périodes pré et post Indépendance, il devient le miroir de la construction identitaire et des luttes de pouvoir. Le communautarisme, omniprésent, sert chaque communauté au gré de ses intérêts du moment. Mais, il sait aussi s'effacer, comme dans les secteurs industriel et scolaire et présenter une autre image des relations sociales.
Bousculant quelques non-dits, cette histoire du mouvement sportif, par son regard novateur, participe à une compréhension plus fine de l'édification de la nation mauricienne.
Le sport n'y est pas un outil d'acculturation mais un élément de positionnement dominant. Pendant les périodes pré et post Indépendance, il devient le miroir de la construction identitaire et des luttes de pouvoir. Le communautarisme, omniprésent, sert chaque communauté au gré de ses intérêts du moment. Mais, il sait aussi s'effacer, comme dans les secteurs industriel et scolaire et présenter une autre image des relations sociales.
Bousculant quelques non-dits, cette histoire du mouvement sportif, par son regard novateur, participe à une compréhension plus fine de l'édification de la nation mauricienne.