Pour Yves Keradec, le quatrième pouvoir n'était plus une sinécure. La grande machine à étouffer les scandales s'était mise en marche. Elle avançait maintenant, comme un rouleau compresseur, nettoyant tout sur son passage.
Pour Yves Keradec, le quatrième pouvoir n'était plus une sinécure. La grande machine à étouffer les scandales s'était mise en marche. Elle avançait maintenant, comme un rouleau compresseur, nettoyant tout sur son passage.