Souvenirs d'un Français d'Algérie (3). Le temps des sirènes

Par : Aimé Baldacci

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  • Nombre de pages290
  • FormatePub
  • ISBN2-402-13171-3
  • EAN9782402131711
  • Date de parution01/01/1985
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille778 Ko
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (F. Lanore)

Résumé

Après « La porte de la rivière » et « Tirailleur algérien », Aimé Baldacci publie le troisième tome de ses souvenirs. (Préface du Colonel L. Pagès). Démobilisé en août 1940, l'auteur entre dans la fonction publique. Affecté à la préfecture d'Oran, au service du contrôle des prix, il s'attache à une cité pittoresque, diverse, active et chaleureuse. Mais il garde la nostalgie d'Alger où il retourne, en septembre 1941, au bureau des Mines du Gouvernement Général.
Il observe ainsi les rouages de l'administration centrale de l'Algérie. En contact avec le monde des mineurs, il peut mesurer l'étendue des ressources minérales et thermales du pays, parfois dans un climat psychologique alourdi. Les conventions qui lient l'Algérie à la société de l'Ouenza pour l'exploitation du plus grand gisement de fer de l'Afrique du Nord absorbent beaucoup de son temps. Le débarquement du 8 novembre 1942 provoque de nouvelles séparations.
Rappelé comme chef de section au II/29e R. T. A., l'auteur rejoint la 7e Cie détachée à Boghar. Après une courte mission de protection des ouvrages d'art dans les gorges de Palestro, il part en Tunisie. Au-delà du Kef, les tirailleurs escaladent avec leurs mulets les pitons rocheux de l'Ousselat, sur la dorsale tunisienne. Dotée d'un matériel vétuste, la 7e Cie prend possession, dans la froidure de l'hiver, d'une zone immense où elle s'initie aux patrouilles.
Alors qu'elle tient le sommet convoité du Tahourit, lui arrive l'ordre de décrocher pour échapper à l'encerclement, car Rommel a percé vers Kasserine et Pichon : repli nocturne dramatique, sous une pluie battante, jusqu'au col du Kef el Garia, pour revenir, dès la nuit suivante, aux avant-postes : Puis le bataillon, intégré dans la division marocaine, monte vers le nord jusqu'au djebel Bargou. L'auteur s'évade du front pour aller se marier à Alger : bref et bienheureux intermède avant le retour en ligne pour l'offensive générale du printemps 1943.
À travers la plaine de Pont du Fahs, le bataillon s'engage dans une attaque meurtrière et s'accroche au terrain. La reprise de la progression le conduira sur le Zaghouan pour une dernière offensive : les troupes de l'Afrika Korps se rendent en masse. Les tirailleurs gardent les prisonniers à Pont-du-Fahs, alors que partout explosent les mines. La 7e Cie prend part au défilé de la victoire à Tunis.
Enfin, au bout d'une longue attente à Ouenza, le bataillon termine à Koléa une inoubliable campagne.
Après « La porte de la rivière » et « Tirailleur algérien », Aimé Baldacci publie le troisième tome de ses souvenirs. (Préface du Colonel L. Pagès). Démobilisé en août 1940, l'auteur entre dans la fonction publique. Affecté à la préfecture d'Oran, au service du contrôle des prix, il s'attache à une cité pittoresque, diverse, active et chaleureuse. Mais il garde la nostalgie d'Alger où il retourne, en septembre 1941, au bureau des Mines du Gouvernement Général.
Il observe ainsi les rouages de l'administration centrale de l'Algérie. En contact avec le monde des mineurs, il peut mesurer l'étendue des ressources minérales et thermales du pays, parfois dans un climat psychologique alourdi. Les conventions qui lient l'Algérie à la société de l'Ouenza pour l'exploitation du plus grand gisement de fer de l'Afrique du Nord absorbent beaucoup de son temps. Le débarquement du 8 novembre 1942 provoque de nouvelles séparations.
Rappelé comme chef de section au II/29e R. T. A., l'auteur rejoint la 7e Cie détachée à Boghar. Après une courte mission de protection des ouvrages d'art dans les gorges de Palestro, il part en Tunisie. Au-delà du Kef, les tirailleurs escaladent avec leurs mulets les pitons rocheux de l'Ousselat, sur la dorsale tunisienne. Dotée d'un matériel vétuste, la 7e Cie prend possession, dans la froidure de l'hiver, d'une zone immense où elle s'initie aux patrouilles.
Alors qu'elle tient le sommet convoité du Tahourit, lui arrive l'ordre de décrocher pour échapper à l'encerclement, car Rommel a percé vers Kasserine et Pichon : repli nocturne dramatique, sous une pluie battante, jusqu'au col du Kef el Garia, pour revenir, dès la nuit suivante, aux avant-postes : Puis le bataillon, intégré dans la division marocaine, monte vers le nord jusqu'au djebel Bargou. L'auteur s'évade du front pour aller se marier à Alger : bref et bienheureux intermède avant le retour en ligne pour l'offensive générale du printemps 1943.
À travers la plaine de Pont du Fahs, le bataillon s'engage dans une attaque meurtrière et s'accroche au terrain. La reprise de la progression le conduira sur le Zaghouan pour une dernière offensive : les troupes de l'Afrika Korps se rendent en masse. Les tirailleurs gardent les prisonniers à Pont-du-Fahs, alors que partout explosent les mines. La 7e Cie prend part au défilé de la victoire à Tunis.
Enfin, au bout d'une longue attente à Ouenza, le bataillon termine à Koléa une inoubliable campagne.