Sous le soleil de Big Brother. Précis sur " 1984 " à l'usage des années 2000, Une relecture d'Orwell
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- Nombre de pages168
- FormatPDF
- ISBN2-296-42088-5
- EAN9782296420885
- Date de parution01/10/2000
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'homme est un animal de pouvoir. Il se plait à discipliner (les corps), à normaliser (les consciences), à terroriser (les âmes). A séduire pour manipuler, à surveiller pour punir, à toujours réduire l'autre pour le mettre à la merci de soi.
L'homme est un animal de pouvoir collectif. C'est au sein de hiérarchies, de castes ou de classes qu'il légitime son désir d'écraser. C'est à l'abri d'identités collectives qu'il s'offre les sombres plaisirs de l'intolérance majoritaire.
C'est au cœur d'organisations, fussent-elles militantes, qu'il apprend la hiérarchie (au nom de l'Égalité) la répression (au nom de la Liberté) et la haine (au nom de la Fraternité). " On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution, on fait une révolution pour établir une dictature " (Orwell). Impérialismes et consensus se prêtent main-forte. La " servitude volontaire " a pour secrète jouissance de prendre part à l'oppression du système.
Le minoritaire qui rallie l'écrasante majorité justifie la tyrannie du nombre. Volonté de puissance et pulsion de soumission, inscrites au cœur de l'être humain, aboutissent toujours à la déshumanisation de l'homme. Face aux pouvoirs qui nous menacent, ou qui nous tentent, l'auteur de 1984 nous engage au devoir d'irréductibilité. Demeurer rebelle reste le seul moyen de demeurer humain. Relisons Orwell...
C'est au cœur d'organisations, fussent-elles militantes, qu'il apprend la hiérarchie (au nom de l'Égalité) la répression (au nom de la Liberté) et la haine (au nom de la Fraternité). " On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution, on fait une révolution pour établir une dictature " (Orwell). Impérialismes et consensus se prêtent main-forte. La " servitude volontaire " a pour secrète jouissance de prendre part à l'oppression du système.
Le minoritaire qui rallie l'écrasante majorité justifie la tyrannie du nombre. Volonté de puissance et pulsion de soumission, inscrites au cœur de l'être humain, aboutissent toujours à la déshumanisation de l'homme. Face aux pouvoirs qui nous menacent, ou qui nous tentent, l'auteur de 1984 nous engage au devoir d'irréductibilité. Demeurer rebelle reste le seul moyen de demeurer humain. Relisons Orwell...
L'homme est un animal de pouvoir. Il se plait à discipliner (les corps), à normaliser (les consciences), à terroriser (les âmes). A séduire pour manipuler, à surveiller pour punir, à toujours réduire l'autre pour le mettre à la merci de soi.
L'homme est un animal de pouvoir collectif. C'est au sein de hiérarchies, de castes ou de classes qu'il légitime son désir d'écraser. C'est à l'abri d'identités collectives qu'il s'offre les sombres plaisirs de l'intolérance majoritaire.
C'est au cœur d'organisations, fussent-elles militantes, qu'il apprend la hiérarchie (au nom de l'Égalité) la répression (au nom de la Liberté) et la haine (au nom de la Fraternité). " On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution, on fait une révolution pour établir une dictature " (Orwell). Impérialismes et consensus se prêtent main-forte. La " servitude volontaire " a pour secrète jouissance de prendre part à l'oppression du système.
Le minoritaire qui rallie l'écrasante majorité justifie la tyrannie du nombre. Volonté de puissance et pulsion de soumission, inscrites au cœur de l'être humain, aboutissent toujours à la déshumanisation de l'homme. Face aux pouvoirs qui nous menacent, ou qui nous tentent, l'auteur de 1984 nous engage au devoir d'irréductibilité. Demeurer rebelle reste le seul moyen de demeurer humain. Relisons Orwell...
C'est au cœur d'organisations, fussent-elles militantes, qu'il apprend la hiérarchie (au nom de l'Égalité) la répression (au nom de la Liberté) et la haine (au nom de la Fraternité). " On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution, on fait une révolution pour établir une dictature " (Orwell). Impérialismes et consensus se prêtent main-forte. La " servitude volontaire " a pour secrète jouissance de prendre part à l'oppression du système.
Le minoritaire qui rallie l'écrasante majorité justifie la tyrannie du nombre. Volonté de puissance et pulsion de soumission, inscrites au cœur de l'être humain, aboutissent toujours à la déshumanisation de l'homme. Face aux pouvoirs qui nous menacent, ou qui nous tentent, l'auteur de 1984 nous engage au devoir d'irréductibilité. Demeurer rebelle reste le seul moyen de demeurer humain. Relisons Orwell...