Usant de toute la verve qu'on lui connaît, Pierre Chatillon nous présente ses réflexions sur la vie et sur la mort. De ses poèmes naissent des univers où l'imagination débridée et les points de vue de l'auteur sur la société et la religion fabriquent une espèce de nouvel Éden où se retirer après son décès :
À quoi s'occupent les mortspour chasser l'ennui?Jouent-ils aux cartes aux dominos?Assis sur les nuagesB12 M14organisent-ilsde nébuleuses parties de bingo?
Poursuivant dans la lignée de son recueil de 2020, Un voyage d'hiver, Chatillon se questionne sur le temps qui passe et sur ce qui reste lorsque disparaissent les gens, le monde que l'on a connus.
Serein, le poète accumule les observations sur ce qui l'entoure et sur les humains qui peuplent les décors qui l'entourent.
le poète invite à toujours continuer de rêver, à poursuivre l'énumération des plaisirs, petits ou grands, qu'offre, au moins à travers le poème, le quotidien qui, telle une rivière court vers la beauté
fugitive et toujours recommencéequi me regardepassermoi qui ne reviendrai jamais sur ses bordsmoi sans rives à quoi m'accrocher
Usant de toute la verve qu'on lui connaît, Pierre Chatillon nous présente ses réflexions sur la vie et sur la mort. De ses poèmes naissent des univers où l'imagination débridée et les points de vue de l'auteur sur la société et la religion fabriquent une espèce de nouvel Éden où se retirer après son décès :
À quoi s'occupent les mortspour chasser l'ennui?Jouent-ils aux cartes aux dominos?Assis sur les nuagesB12 M14organisent-ilsde nébuleuses parties de bingo?
Poursuivant dans la lignée de son recueil de 2020, Un voyage d'hiver, Chatillon se questionne sur le temps qui passe et sur ce qui reste lorsque disparaissent les gens, le monde que l'on a connus.
Serein, le poète accumule les observations sur ce qui l'entoure et sur les humains qui peuplent les décors qui l'entourent.
le poète invite à toujours continuer de rêver, à poursuivre l'énumération des plaisirs, petits ou grands, qu'offre, au moins à travers le poème, le quotidien qui, telle une rivière court vers la beauté
fugitive et toujours recommencéequi me regardepassermoi qui ne reviendrai jamais sur ses bordsmoi sans rives à quoi m'accrocher