Ange. Il y a celle d’avant, la sauvageonne courant le maquis corse, et celle en devenir, déménageant entre les 4 murs d’un appartement d’une grande ville avec sa petite fille. Comment trouver sa place, se trouver, se retrouver quand on a appris à vivre, solitaire et qu’il y a tant de choses qu’on ne supporte pas ? Heureusement, il y a cette bande de voisines, de femmes, de copines, qui ont toutes leurs histoires, leurs vies, leurs combats, et toutes un cœur gros comme la main. Et peut-être est-ce justement de cela dont avait besoin Ange, cette ambiance un peu fo-folle, joyeuse, libre et décomplexée… pour guérir ses blessures.
Laure ENZA nous raconte une belle histoire. Elle nous montre, par l’utilisation de registres d’écriture variés entre l’enfance d’un chat sauvage et la mue d’une petite souris à la ville, la jolie diversité de son talent d’auteure.
Pour les hommes qui ont envie de savoir ce que les femmes peuvent bien se dire lorsqu’elles sont entre elles ! Et pour les femmes qui se disent qu’après tout, une bande de copines, c’est quand même sacrément sympa ! Merci Laure ENZA.
Ange. Il y a celle d’avant, la sauvageonne courant le maquis corse, et celle en devenir, déménageant entre les 4 murs d’un appartement d’une grande ville avec sa petite fille. Comment trouver sa place, se trouver, se retrouver quand on a appris à vivre, solitaire et qu’il y a tant de choses qu’on ne supporte pas ? Heureusement, il y a cette bande de voisines, de femmes, de copines, qui ont toutes leurs histoires, leurs vies, leurs combats, et toutes un cœur gros comme la main. Et peut-être est-ce justement de cela dont avait besoin Ange, cette ambiance un peu fo-folle, joyeuse, libre et décomplexée… pour guérir ses blessures.
Laure ENZA nous raconte une belle histoire. Elle nous montre, par l’utilisation de registres d’écriture variés entre l’enfance d’un chat sauvage et la mue d’une petite souris à la ville, la jolie diversité de son talent d’auteure.
Pour les hommes qui ont envie de savoir ce que les femmes peuvent bien se dire lorsqu’elles sont entre elles ! Et pour les femmes qui se disent qu’après tout, une bande de copines, c’est quand même sacrément sympa ! Merci Laure ENZA.