Sortie d'usine
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages173
- FormatePub
- ISBN978-2-7073-2212-8
- EAN9782707322128
- Date de parution15/09/2011
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille358 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurMinuit (Les Editions de)
Résumé
'C'est d'abord un livre, Sortie d'usine, qui, en 1982, « s'impose comme un coup de force » selon le mot de Pierre Bergounioux. Le roman faisait en quatre semaines le tour d'une aliénation vécue de l'intérieur, évoquant le plus terrible - accident, mutilation, aliénation au travail - et surtout le plus profond des existences ouvrières : mort à soi-même, enfermement dans une vie parallèle qui ne croise jamais le chemin de son destin.
François Bon dressait ainsi, dans une langue rare, heurtée, l'inventaire des abandons et des oublis, au premier rang desquels celui de vivre. Il affichait la mécanisation de l'homme amputé de ses sensations, rendu sourd, indifférent au monde par l'agression trop forte d'un univers réglé, minuté, totalitaire. (Dominique Viart, François Bon. Étude de l'ouvre, Bordas, 2008).
François Bon dressait ainsi, dans une langue rare, heurtée, l'inventaire des abandons et des oublis, au premier rang desquels celui de vivre. Il affichait la mécanisation de l'homme amputé de ses sensations, rendu sourd, indifférent au monde par l'agression trop forte d'un univers réglé, minuté, totalitaire. (Dominique Viart, François Bon. Étude de l'ouvre, Bordas, 2008).
'C'est d'abord un livre, Sortie d'usine, qui, en 1982, « s'impose comme un coup de force » selon le mot de Pierre Bergounioux. Le roman faisait en quatre semaines le tour d'une aliénation vécue de l'intérieur, évoquant le plus terrible - accident, mutilation, aliénation au travail - et surtout le plus profond des existences ouvrières : mort à soi-même, enfermement dans une vie parallèle qui ne croise jamais le chemin de son destin.
François Bon dressait ainsi, dans une langue rare, heurtée, l'inventaire des abandons et des oublis, au premier rang desquels celui de vivre. Il affichait la mécanisation de l'homme amputé de ses sensations, rendu sourd, indifférent au monde par l'agression trop forte d'un univers réglé, minuté, totalitaire. (Dominique Viart, François Bon. Étude de l'ouvre, Bordas, 2008).
François Bon dressait ainsi, dans une langue rare, heurtée, l'inventaire des abandons et des oublis, au premier rang desquels celui de vivre. Il affichait la mécanisation de l'homme amputé de ses sensations, rendu sourd, indifférent au monde par l'agression trop forte d'un univers réglé, minuté, totalitaire. (Dominique Viart, François Bon. Étude de l'ouvre, Bordas, 2008).

















