Sormiou, les contes de ma calanque. Préface du Prince Albert II de Monaco
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- Nombre de pages322
- FormatePub
- ISBN978-2-312-14984-4
- EAN9782312149844
- Date de parution04/12/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Éditions du Net
Résumé
En 2024, l'auteur constate l'état de dégradation dû au surtourisme de sa chère calanque : Sormiou. En est issu un état des lieux au sein du Parc national des calanques. Dans la première partie, est évoqué un monde que nous avons perdu, le microcosme des plongeurs de Sormiou autour du premier des moniteurs de plongée du Club de la mer : Jean Pernet (1922-1987), parrain de l'auteur. Sur un ton ludique, il s'agit d'une approche à la fois ethnographique et historique, en retraçant un mode de vie dans l'inconfort, sans eau courante, électricité ou téléphone pour 130 cabanons.
Un certain nombre de rites, de savoir-faire caractérisaient cette communauté. La beauté de la côte des calanques ressort du récit alerte, sous forme de contes vécus, des plongées où la liberté se conjuguait avec une première prise de conscience de la fragilité du milieu. Évoquer Sormiou, c'est aussi, en livre II, redonner toute son importance à un pionnier qui y fit ses premières armes et qui retrouva sa calanque en fin de vie : Albert Falco (1927-2012).
Premier océanaute de l'histoire, en compagnie de Claude Wesly, en septembre 1962, au Frioul, lors de l'expérience de Précontinent I, cet homme-océan totalisait 20 000 heures sous les mers. L'auteur fit avec lui une série de plongées mémorables, en 1979 sur divers sites de la côte des calanques, puis entre 1990 et 1993 lorsqu'Albert Falco prit sa retraite de capitaine de la « Calypso ». À l'automne 1996, le fantôme du plus célèbre des navires français, après son chavirage à Singapour, hantait le quai de l'oubli à Marseille.
Albert Falco y raconta alors des épisodes peu connus de sa vie extraordinaire au sein de l'équipe du commandant Jacques-Yves Cousteau.
Un certain nombre de rites, de savoir-faire caractérisaient cette communauté. La beauté de la côte des calanques ressort du récit alerte, sous forme de contes vécus, des plongées où la liberté se conjuguait avec une première prise de conscience de la fragilité du milieu. Évoquer Sormiou, c'est aussi, en livre II, redonner toute son importance à un pionnier qui y fit ses premières armes et qui retrouva sa calanque en fin de vie : Albert Falco (1927-2012).
Premier océanaute de l'histoire, en compagnie de Claude Wesly, en septembre 1962, au Frioul, lors de l'expérience de Précontinent I, cet homme-océan totalisait 20 000 heures sous les mers. L'auteur fit avec lui une série de plongées mémorables, en 1979 sur divers sites de la côte des calanques, puis entre 1990 et 1993 lorsqu'Albert Falco prit sa retraite de capitaine de la « Calypso ». À l'automne 1996, le fantôme du plus célèbre des navires français, après son chavirage à Singapour, hantait le quai de l'oubli à Marseille.
Albert Falco y raconta alors des épisodes peu connus de sa vie extraordinaire au sein de l'équipe du commandant Jacques-Yves Cousteau.
En 2024, l'auteur constate l'état de dégradation dû au surtourisme de sa chère calanque : Sormiou. En est issu un état des lieux au sein du Parc national des calanques. Dans la première partie, est évoqué un monde que nous avons perdu, le microcosme des plongeurs de Sormiou autour du premier des moniteurs de plongée du Club de la mer : Jean Pernet (1922-1987), parrain de l'auteur. Sur un ton ludique, il s'agit d'une approche à la fois ethnographique et historique, en retraçant un mode de vie dans l'inconfort, sans eau courante, électricité ou téléphone pour 130 cabanons.
Un certain nombre de rites, de savoir-faire caractérisaient cette communauté. La beauté de la côte des calanques ressort du récit alerte, sous forme de contes vécus, des plongées où la liberté se conjuguait avec une première prise de conscience de la fragilité du milieu. Évoquer Sormiou, c'est aussi, en livre II, redonner toute son importance à un pionnier qui y fit ses premières armes et qui retrouva sa calanque en fin de vie : Albert Falco (1927-2012).
Premier océanaute de l'histoire, en compagnie de Claude Wesly, en septembre 1962, au Frioul, lors de l'expérience de Précontinent I, cet homme-océan totalisait 20 000 heures sous les mers. L'auteur fit avec lui une série de plongées mémorables, en 1979 sur divers sites de la côte des calanques, puis entre 1990 et 1993 lorsqu'Albert Falco prit sa retraite de capitaine de la « Calypso ». À l'automne 1996, le fantôme du plus célèbre des navires français, après son chavirage à Singapour, hantait le quai de l'oubli à Marseille.
Albert Falco y raconta alors des épisodes peu connus de sa vie extraordinaire au sein de l'équipe du commandant Jacques-Yves Cousteau.
Un certain nombre de rites, de savoir-faire caractérisaient cette communauté. La beauté de la côte des calanques ressort du récit alerte, sous forme de contes vécus, des plongées où la liberté se conjuguait avec une première prise de conscience de la fragilité du milieu. Évoquer Sormiou, c'est aussi, en livre II, redonner toute son importance à un pionnier qui y fit ses premières armes et qui retrouva sa calanque en fin de vie : Albert Falco (1927-2012).
Premier océanaute de l'histoire, en compagnie de Claude Wesly, en septembre 1962, au Frioul, lors de l'expérience de Précontinent I, cet homme-océan totalisait 20 000 heures sous les mers. L'auteur fit avec lui une série de plongées mémorables, en 1979 sur divers sites de la côte des calanques, puis entre 1990 et 1993 lorsqu'Albert Falco prit sa retraite de capitaine de la « Calypso ». À l'automne 1996, le fantôme du plus célèbre des navires français, après son chavirage à Singapour, hantait le quai de l'oubli à Marseille.
Albert Falco y raconta alors des épisodes peu connus de sa vie extraordinaire au sein de l'équipe du commandant Jacques-Yves Cousteau.