Socio-anthropologie de l'erreur judiciaire
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- Nombre de pages254
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25193-9
- EAN9782296251939
- Date de parution01/03/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille27 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierPhilippe Combessie
Résumé
" Errare humanum est ". Si, comme le dit l'adage, l'erreur est humaine, son étude relève bien évidemment du domaine de l'anthropologie. L'étude de l'erreur judiciaire, présentée ici à travers l'analyse des cas Roland Agret et Patrick fils, constitue un vecteur fécond pour appréhender le fonctionnement d'une institution fondamentale de la société - la justice - dans ses modalités de production et de gestion des normes et des déviances.
Une telle approche permet de pénétrer au coeur du système, de porter au jour ses mécanismes, ses différents rouages et leurs interactions, d'observer les éléments multiples et complexes qui le constituent. Paradoxalement, c'est le fonctionnement " normal " du système judiciaire qui se révèle : observer le " dysfonctionnement " d'une institution nous montre, par l'exemple négatif, ses modes habituels de fonctionnement.
L'analyse du processus de construction/ déconstruction/reconstruction d'une identité judiciaire dévoile les échafaudages sociaux-logiques qui ont permis l'édification, la corrosion et la recomposition des masques successifs du " coupable " puis de I'" innocent ". L'étude de l'erreur judiciaire permet in fine de saisir une modalité spécifique de la construction sociale de la " vérité ".
Une telle approche permet de pénétrer au coeur du système, de porter au jour ses mécanismes, ses différents rouages et leurs interactions, d'observer les éléments multiples et complexes qui le constituent. Paradoxalement, c'est le fonctionnement " normal " du système judiciaire qui se révèle : observer le " dysfonctionnement " d'une institution nous montre, par l'exemple négatif, ses modes habituels de fonctionnement.
L'analyse du processus de construction/ déconstruction/reconstruction d'une identité judiciaire dévoile les échafaudages sociaux-logiques qui ont permis l'édification, la corrosion et la recomposition des masques successifs du " coupable " puis de I'" innocent ". L'étude de l'erreur judiciaire permet in fine de saisir une modalité spécifique de la construction sociale de la " vérité ".
" Errare humanum est ". Si, comme le dit l'adage, l'erreur est humaine, son étude relève bien évidemment du domaine de l'anthropologie. L'étude de l'erreur judiciaire, présentée ici à travers l'analyse des cas Roland Agret et Patrick fils, constitue un vecteur fécond pour appréhender le fonctionnement d'une institution fondamentale de la société - la justice - dans ses modalités de production et de gestion des normes et des déviances.
Une telle approche permet de pénétrer au coeur du système, de porter au jour ses mécanismes, ses différents rouages et leurs interactions, d'observer les éléments multiples et complexes qui le constituent. Paradoxalement, c'est le fonctionnement " normal " du système judiciaire qui se révèle : observer le " dysfonctionnement " d'une institution nous montre, par l'exemple négatif, ses modes habituels de fonctionnement.
L'analyse du processus de construction/ déconstruction/reconstruction d'une identité judiciaire dévoile les échafaudages sociaux-logiques qui ont permis l'édification, la corrosion et la recomposition des masques successifs du " coupable " puis de I'" innocent ". L'étude de l'erreur judiciaire permet in fine de saisir une modalité spécifique de la construction sociale de la " vérité ".
Une telle approche permet de pénétrer au coeur du système, de porter au jour ses mécanismes, ses différents rouages et leurs interactions, d'observer les éléments multiples et complexes qui le constituent. Paradoxalement, c'est le fonctionnement " normal " du système judiciaire qui se révèle : observer le " dysfonctionnement " d'une institution nous montre, par l'exemple négatif, ses modes habituels de fonctionnement.
L'analyse du processus de construction/ déconstruction/reconstruction d'une identité judiciaire dévoile les échafaudages sociaux-logiques qui ont permis l'édification, la corrosion et la recomposition des masques successifs du " coupable " puis de I'" innocent ". L'étude de l'erreur judiciaire permet in fine de saisir une modalité spécifique de la construction sociale de la " vérité ".