Slow. Désir et désillusion
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- Nombre de pages122
- FormatePub
- ISBN978-2-336-93883-7
- EAN9782336938837
- Date de parution01/09/2021
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille674 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le slow apparaît à Chicago à la fin des années 1950 sur le plateau d'une émission de télévision. Avec le twist, il est l'un des marqueurs festifs de l'époque Yéyé. Des surprises-parties aux boums, sa gestuaire incontournable rythme l'éveil sensuel et sexuel des boomers. Il devient l'emblème d'une jeunesse allègre, consciente de son existence en tant que groupe influent. Mais, au tournant du siècle, le désamour l'étreint.
Sans justification autre que l'établissement d'une relation sensuelle, cette non-danse est devenue une étrangeté dans une époque où l'impératif pragmatique domine. Qu'est devenu le slow ? Sa fonction de rencontre est-elle détrônée par les applications numériques ? Est-il concurrencé par d'autres danses collées-serrées plus attractives ? La banalisation du sexe le rend-il caduc ? Même à moitié mort, le slow reste un révélateur d'enjeux liés au désir de se rencontrer, de s'enlacer et de se toucher, comme un moment pour éprouver l'expérience d'un plaisir au résultat incertain.
Sans justification autre que l'établissement d'une relation sensuelle, cette non-danse est devenue une étrangeté dans une époque où l'impératif pragmatique domine. Qu'est devenu le slow ? Sa fonction de rencontre est-elle détrônée par les applications numériques ? Est-il concurrencé par d'autres danses collées-serrées plus attractives ? La banalisation du sexe le rend-il caduc ? Même à moitié mort, le slow reste un révélateur d'enjeux liés au désir de se rencontrer, de s'enlacer et de se toucher, comme un moment pour éprouver l'expérience d'un plaisir au résultat incertain.
Le slow apparaît à Chicago à la fin des années 1950 sur le plateau d'une émission de télévision. Avec le twist, il est l'un des marqueurs festifs de l'époque Yéyé. Des surprises-parties aux boums, sa gestuaire incontournable rythme l'éveil sensuel et sexuel des boomers. Il devient l'emblème d'une jeunesse allègre, consciente de son existence en tant que groupe influent. Mais, au tournant du siècle, le désamour l'étreint.
Sans justification autre que l'établissement d'une relation sensuelle, cette non-danse est devenue une étrangeté dans une époque où l'impératif pragmatique domine. Qu'est devenu le slow ? Sa fonction de rencontre est-elle détrônée par les applications numériques ? Est-il concurrencé par d'autres danses collées-serrées plus attractives ? La banalisation du sexe le rend-il caduc ? Même à moitié mort, le slow reste un révélateur d'enjeux liés au désir de se rencontrer, de s'enlacer et de se toucher, comme un moment pour éprouver l'expérience d'un plaisir au résultat incertain.
Sans justification autre que l'établissement d'une relation sensuelle, cette non-danse est devenue une étrangeté dans une époque où l'impératif pragmatique domine. Qu'est devenu le slow ? Sa fonction de rencontre est-elle détrônée par les applications numériques ? Est-il concurrencé par d'autres danses collées-serrées plus attractives ? La banalisation du sexe le rend-il caduc ? Même à moitié mort, le slow reste un révélateur d'enjeux liés au désir de se rencontrer, de s'enlacer et de se toucher, comme un moment pour éprouver l'expérience d'un plaisir au résultat incertain.