Si j'avais la seule possession dessus le jugement dernier
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages101
- FormatPDF
- ISBN978-2-89419-659-5
- EAN9782894196595
- Date de parution06/03/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurÉditions Les Herbes rouges
Résumé
Un village côtier du golfe du Mexique où les « défunts créoles » partagent la scène avec des
macaques errants, dans l'esprit des Mardis gras de l'arrière-pays cajun. C'est là qu'Erik
Charpentier, de son propre aveu, « agite les molécules dans l'air ». Ainsi Classie, éternel
voyageur qui a une huître à la place du coeur, annonce : « Les étoiles sont toujours très lentes, aussi lentes que la lumière de ma peine.
Mais je peux voir le jour qui point à l'horizon. Quand l'interprète nous a laissés dans le lobby, Kina et moi, il s'est retourné vers nous une dernière fois pour nous dire que "quand la nuit va finir dans le jour, le ciel sera bleu d'émotions". Je me sers souvent de cette phrase quand je sens le besoin de dire quelque chose qui semble être important. »
Mais je peux voir le jour qui point à l'horizon. Quand l'interprète nous a laissés dans le lobby, Kina et moi, il s'est retourné vers nous une dernière fois pour nous dire que "quand la nuit va finir dans le jour, le ciel sera bleu d'émotions". Je me sers souvent de cette phrase quand je sens le besoin de dire quelque chose qui semble être important. »
Un village côtier du golfe du Mexique où les « défunts créoles » partagent la scène avec des
macaques errants, dans l'esprit des Mardis gras de l'arrière-pays cajun. C'est là qu'Erik
Charpentier, de son propre aveu, « agite les molécules dans l'air ». Ainsi Classie, éternel
voyageur qui a une huître à la place du coeur, annonce : « Les étoiles sont toujours très lentes, aussi lentes que la lumière de ma peine.
Mais je peux voir le jour qui point à l'horizon. Quand l'interprète nous a laissés dans le lobby, Kina et moi, il s'est retourné vers nous une dernière fois pour nous dire que "quand la nuit va finir dans le jour, le ciel sera bleu d'émotions". Je me sers souvent de cette phrase quand je sens le besoin de dire quelque chose qui semble être important. »
Mais je peux voir le jour qui point à l'horizon. Quand l'interprète nous a laissés dans le lobby, Kina et moi, il s'est retourné vers nous une dernière fois pour nous dire que "quand la nuit va finir dans le jour, le ciel sera bleu d'émotions". Je me sers souvent de cette phrase quand je sens le besoin de dire quelque chose qui semble être important. »