Si crue que tu pourrais y mordre
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- Nombre de pages84
- FormatPDF
- ISBN978-2-89766-194-6
- EAN9782897661946
- Date de parution11/08/2019
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurÉditions du Noroît
Résumé
Que reste-t-il de nous quand les repères qui définissent notre existence tombent? Le temps a modifié le paysage, nous scrutons ce qui lui fait défaut sans pouvoir nommer l'absence. Le miroir ne nous rend plus une image si familière, l'autre revêt un visage étranger dont nous sommes contraints de parcourir la distance. Peut-être avons-nous toujours été cet inconnu dont les désirs nous échappent, ce corps qui, cédé à autrui, a cessé d'être soi.
Nous dénouons les promesses, laissons la marque de nos dents sur les jours d'attente. Osons l'effacement, la dérive, l'envol. Que faut-il mettre à mort pour retrouver un sol stable sous la neige et tenir dans nos mains le fil du retour vers un lieu habitable? Comment résister à notre propre éloignement?
Nous dénouons les promesses, laissons la marque de nos dents sur les jours d'attente. Osons l'effacement, la dérive, l'envol. Que faut-il mettre à mort pour retrouver un sol stable sous la neige et tenir dans nos mains le fil du retour vers un lieu habitable? Comment résister à notre propre éloignement?
Que reste-t-il de nous quand les repères qui définissent notre existence tombent? Le temps a modifié le paysage, nous scrutons ce qui lui fait défaut sans pouvoir nommer l'absence. Le miroir ne nous rend plus une image si familière, l'autre revêt un visage étranger dont nous sommes contraints de parcourir la distance. Peut-être avons-nous toujours été cet inconnu dont les désirs nous échappent, ce corps qui, cédé à autrui, a cessé d'être soi.
Nous dénouons les promesses, laissons la marque de nos dents sur les jours d'attente. Osons l'effacement, la dérive, l'envol. Que faut-il mettre à mort pour retrouver un sol stable sous la neige et tenir dans nos mains le fil du retour vers un lieu habitable? Comment résister à notre propre éloignement?
Nous dénouons les promesses, laissons la marque de nos dents sur les jours d'attente. Osons l'effacement, la dérive, l'envol. Que faut-il mettre à mort pour retrouver un sol stable sous la neige et tenir dans nos mains le fil du retour vers un lieu habitable? Comment résister à notre propre éloignement?






