Seuls les vivants créent le monde

Par : Stefan Zweig
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  • Nombre de pages120
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-25151-5
  • EAN9782221251515
  • Date de parution08/10/2020
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1005 Ko
  • ÉditeurRobert Laffont
  • TraducteurDavid Sanson
  • Directeur de publicationBertrand Dermoncourt

Résumé

" Il faut lire ce texte inédit, magnifique de nostalgie. " François-Guillaume Lorrain, Le Point. Publiés dans la presse allemande entre août 1914 et août 1918, les textes réunis ici - articles, manifestes et reportages - montrent l'évolution de la pensée de Stefan Zweig. On y découvre que ses positions pendant la Grande Guerre sont mouvantes : elles ont changé l'homme et transformé l'artiste, lui donnant une épaisseur qu'il n'avait pas.
D'abord humaniste, il se laisse emporter, comme bien d'autres, par un élan patriotique quasi mystique. Puis il rejoint peu à peu les idées pacifistes de son ami Romain Rolland, après avoir constaté les horreurs " réelles " de la guerre. En 1918, Zweig signe un texte saisissant, " Éloge du défaitisme ", où il cherche à résister au " bourrage de crâne " qui s'exerce sans relâche sur les consciences individuelles. Un siècle après, son appel à la résurrection de l'esprit et de l'Europe retentit avec plus de force que jamais.
" Il faut lire ce texte inédit, magnifique de nostalgie. " François-Guillaume Lorrain, Le Point. Publiés dans la presse allemande entre août 1914 et août 1918, les textes réunis ici - articles, manifestes et reportages - montrent l'évolution de la pensée de Stefan Zweig. On y découvre que ses positions pendant la Grande Guerre sont mouvantes : elles ont changé l'homme et transformé l'artiste, lui donnant une épaisseur qu'il n'avait pas.
D'abord humaniste, il se laisse emporter, comme bien d'autres, par un élan patriotique quasi mystique. Puis il rejoint peu à peu les idées pacifistes de son ami Romain Rolland, après avoir constaté les horreurs " réelles " de la guerre. En 1918, Zweig signe un texte saisissant, " Éloge du défaitisme ", où il cherche à résister au " bourrage de crâne " qui s'exerce sans relâche sur les consciences individuelles. Un siècle après, son appel à la résurrection de l'esprit et de l'Europe retentit avec plus de force que jamais.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Excellente lecture
Tout le monde connaît l’excellent auteur du Joueur d’Échecs et de Vingt-quatre Heures de la Vie d’une Femme. Le talentueux biographe de Balzac, de Fouché ou de Marie Stuart. Mais qu’en est-il de l’homme derrière le nom ? Bien sûr, il avait lui-même écrit une très bonne autobiographie (Le Monde d’Hier), mais passée par le tamis de son expérience, elle gagnait en maturité ce qu’elle perdait un peu en spontanéité sur ses « jeunes années ». Ce recueil inédit de textes nous donne, lui, accès à un Stefan Zweig qui traverse la Grande Guerre avec autant de fougue dans la plume que de chagrin dans le cœur. Ce grand amoureux des Lettres et de la Philosophie fait ici le constat de la faiblesse des hommes et de leur goût immodéré pour la violence et la destruction. Ces textes nous font voyager avec lui dans une Europe à feu et à sang, passant par les villes ravagées et les campagnes meurtries. Nous le voyons attendre des nouvelles, toujours trop longues à arriver, parfois erronées, et bien trop souvent mauvaises. Nous assistons à la lente perte d’espoir de cet humaniste qui, avec une prose magnifique et confondante de clairvoyance, essaie de faire comprendre à ses semblables ce qu’il pressent déjà : cette guerre n’est que le début de ce qui, par la haine des hommes, mènera l’Europe à sa perte. La lecture (superbe) sur la Galicie nous montre l’empathie, quasiment pathologique, d’un Zweig en proie à l’horreur du monde, et laisse déjà présager de ce qui l’amènera à mettre fin à ses jours 24 ans plus tard. Une phrase splendide, de Barbusse, qu’il reprend, résume ce qui le mine à chaque instant : « On est des machines à oublier. Les hommes, c’est des choses qui pensent peu, et qui, surtout, oublient. ». À la fois chroniques de guerre, journal intime et lettre ouverte à l’humanité, ce recueil permet de découvrir le jeune homme qu’il a été et tout ce qui fait qu’il deviendra le grand écrivain que nous savons. • Je remercie les Editions Robert Laffont pour cette excellente lecture et la conseille vivement à tous les amoureux de Zweig, ou des Belles Lettres en général ! https://annesophiebooks.wordpress.com/
Tout le monde connaît l’excellent auteur du Joueur d’Échecs et de Vingt-quatre Heures de la Vie d’une Femme. Le talentueux biographe de Balzac, de Fouché ou de Marie Stuart. Mais qu’en est-il de l’homme derrière le nom ? Bien sûr, il avait lui-même écrit une très bonne autobiographie (Le Monde d’Hier), mais passée par le tamis de son expérience, elle gagnait en maturité ce qu’elle perdait un peu en spontanéité sur ses « jeunes années ». Ce recueil inédit de textes nous donne, lui, accès à un Stefan Zweig qui traverse la Grande Guerre avec autant de fougue dans la plume que de chagrin dans le cœur. Ce grand amoureux des Lettres et de la Philosophie fait ici le constat de la faiblesse des hommes et de leur goût immodéré pour la violence et la destruction. Ces textes nous font voyager avec lui dans une Europe à feu et à sang, passant par les villes ravagées et les campagnes meurtries. Nous le voyons attendre des nouvelles, toujours trop longues à arriver, parfois erronées, et bien trop souvent mauvaises. Nous assistons à la lente perte d’espoir de cet humaniste qui, avec une prose magnifique et confondante de clairvoyance, essaie de faire comprendre à ses semblables ce qu’il pressent déjà : cette guerre n’est que le début de ce qui, par la haine des hommes, mènera l’Europe à sa perte. La lecture (superbe) sur la Galicie nous montre l’empathie, quasiment pathologique, d’un Zweig en proie à l’horreur du monde, et laisse déjà présager de ce qui l’amènera à mettre fin à ses jours 24 ans plus tard. Une phrase splendide, de Barbusse, qu’il reprend, résume ce qui le mine à chaque instant : « On est des machines à oublier. Les hommes, c’est des choses qui pensent peu, et qui, surtout, oublient. ». À la fois chroniques de guerre, journal intime et lettre ouverte à l’humanité, ce recueil permet de découvrir le jeune homme qu’il a été et tout ce qui fait qu’il deviendra le grand écrivain que nous savons. • Je remercie les Editions Robert Laffont pour cette excellente lecture et la conseille vivement à tous les amoureux de Zweig, ou des Belles Lettres en général ! https://annesophiebooks.wordpress.com/
  • Stefan Zweig
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Stefan Zweig
Stefan Zweig voit le jour le 28 novembre 1881 dans une famille juive à Vienne. Après des études de philosophie et de littérature, le jeune homme part à la découverte du monde, lors de voyages au cours desquels il se lie avec le milieu des artistes et des intellectuels. Il parcourt l'Europe, l'Amérique, l'Afrique et s'emploie dès cette période à des activités rédactionnelles très variées (poésies, théâtre, nouvelles, traductions et biographies) qui le rendent vite réputé parmi les écrivains. L'accession d'Hitler au pouvoir et la propagation de l'antisémitisme en Autriche forcent Zweig à l'exil en 1934, retrouvant sa vie d'errance et de voyages. Désespéré par la situation politique et morale en Europe, Zweig se suicide le 22 février 1942 au Brésil, laissant derrière lui une oeuvre prolifique et inestimable dont on retiendra notamment " Vingt-quatre heures de la vie d'une femme ", " La Confusion des sentiments " ou encore " Le Joueur d'échecs ".
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