Service de surveillance des planètes primitives
Les hommes du Maître

Par : Jean-Pierre Garen

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages188
  • FormatePub
  • ISBN2-402-00964-0
  • EAN9782402009645
  • Date de parution01/01/1994
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille36 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Fleu...

Résumé

Chacun des bacs contenait une sphère verte prolongée de fines racines qui plongeaient dans une terre jaune. À la périphérie, une douzaine de filaments se mouvaient lentement. Au-dessus était suspendu un flacon muni d'une tubulure plastique. Quand une goutte rouge tombait, l'orifice de la plante se dilatait, l'absorbait, puis se contractait. Telle une bouche attendant sa provende. L'androïde préleva une goutte, l'étala sur son index qu'il porta à ses lèvres.
Le verdict ne se fit pas attendre : - C'est du sang, du sang humain dont se nourrissent ces plantes.
Chacun des bacs contenait une sphère verte prolongée de fines racines qui plongeaient dans une terre jaune. À la périphérie, une douzaine de filaments se mouvaient lentement. Au-dessus était suspendu un flacon muni d'une tubulure plastique. Quand une goutte rouge tombait, l'orifice de la plante se dilatait, l'absorbait, puis se contractait. Telle une bouche attendant sa provende. L'androïde préleva une goutte, l'étala sur son index qu'il porta à ses lèvres.
Le verdict ne se fit pas attendre : - C'est du sang, du sang humain dont se nourrissent ces plantes.