Sékou Touré, l'ange exterminateur. Un passé à dépasser

Par : Charles-E Sorry

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  • Nombre de pages162
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-40361-1
  • EAN9782296403611
  • Date de parution01/10/2000
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le 28 septembre 1958, avec son NON retentissant à De Gaulle représentant la France néo-coloniale, le Guinéen Sékou Touré entrait dans l'Histoire comme " rebelle ", libérateur de son peuple, nationaliste à l'égal du Ghanéen N'Krumah et des autres dirigeants panafricanistes de cette époque prometteuse. Le 3 avril 1984, le peuple de Conakry osait croire la nouvelle : le tyran Sékou Touré était mort et son régime honni allait le suivre dans la tombe ! Entre ces deux dates, 26 ans se sont écoulés qui ont vu s'établir et sévir en Guinée l'une des dictatures les plus destructives, les plus féroces, les plus systématiques du continent Noir.
La violence tous azimuts, déchaînée par le régime à travers son parti unique - le PDG -, a forcé à l'exil nombre de Guinéens ; beaucoup d'autres ont fini dans les infâmes geôles des multiples " camps Boiro " parsemant le pays ; le reste de la population urbaine et rurale s'est enfoncé année après année dans une misère globale, terrorisé par les représailles collectives qui succédaient à la découverte de faux complots de l'ère Sékou. L'ange Sékou s'est transformé en démon exterminateur.
Excellent orateur, le madré Sékou Touré a captivé les foules - militaires, syndicalistes, intellectuels, jeunes et vieux - avant de les réduire à sa merci ; seules les femmes qui l'on adulé lui ont fait perdre la face, un certain mois d'août 1977... L'auteur a vécu la période enchanteresse des " lendemains qui chantent ", avant de sombrer comme ses compatriotes dans le marasme des années de braise " révolutionnaire ".
Il raconte, analyse, cerne les contradictions flagrantes du régime déchu, en demandant à ses compatriotes de tirer les leçons de ce " passé à dépasser ".
Le 28 septembre 1958, avec son NON retentissant à De Gaulle représentant la France néo-coloniale, le Guinéen Sékou Touré entrait dans l'Histoire comme " rebelle ", libérateur de son peuple, nationaliste à l'égal du Ghanéen N'Krumah et des autres dirigeants panafricanistes de cette époque prometteuse. Le 3 avril 1984, le peuple de Conakry osait croire la nouvelle : le tyran Sékou Touré était mort et son régime honni allait le suivre dans la tombe ! Entre ces deux dates, 26 ans se sont écoulés qui ont vu s'établir et sévir en Guinée l'une des dictatures les plus destructives, les plus féroces, les plus systématiques du continent Noir.
La violence tous azimuts, déchaînée par le régime à travers son parti unique - le PDG -, a forcé à l'exil nombre de Guinéens ; beaucoup d'autres ont fini dans les infâmes geôles des multiples " camps Boiro " parsemant le pays ; le reste de la population urbaine et rurale s'est enfoncé année après année dans une misère globale, terrorisé par les représailles collectives qui succédaient à la découverte de faux complots de l'ère Sékou. L'ange Sékou s'est transformé en démon exterminateur.
Excellent orateur, le madré Sékou Touré a captivé les foules - militaires, syndicalistes, intellectuels, jeunes et vieux - avant de les réduire à sa merci ; seules les femmes qui l'on adulé lui ont fait perdre la face, un certain mois d'août 1977... L'auteur a vécu la période enchanteresse des " lendemains qui chantent ", avant de sombrer comme ses compatriotes dans le marasme des années de braise " révolutionnaire ".
Il raconte, analyse, cerne les contradictions flagrantes du régime déchu, en demandant à ses compatriotes de tirer les leçons de ce " passé à dépasser ".