Sécurité européenne, frontières, glacis et zones d'influence. De l'Europe des alliances à l'Europe des blocs (fin XIXe siècle - milieu XXe siècle)
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- Nombre de pages257
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-4928-9
- EAN9782753549289
- Date de parution22/06/2016
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
- EditeurFrédéric Thebault
- EditeurFrédéric Dessberg
Résumé
Cet ouvrage est le fruit d'une journée d'étude organisée aux Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan le 15 décembre 2005, autour de la notion de frontière, vue dans ses aspects les plus variés. Séparation stricte ou voie de passage, la frontière reste le point de contact entre deux États, mais elle peut prendre l'aspect plus large et moins clairement défini d'un espace conçu comme base de rayonnement ou comme glacis protecteur.
Les questions abordées s'inscrivent donc au cour des relations diplomatiques et militaires européennes. Des pistes de réflexions sont ouvertes sur les rapports entre frontières et opérations militaires, en temps de guerre comme en temps de paix, par l'étude de la défense des frontières, de leur utilisation dans le cadre d'une guerre offensive, ainsi que des mesures prises pour les équiper (fortifications, glacis, routes et voies ferrées, etc.).
Césure symbolique de l'espace, la frontière a besoin d'être matérialisée d'autant plus nettement que le pouvoir politique entend la rendre imperméable aux échanges économiques, aux influences intellectuelles ou à la circulation des personnes. Le pouvoir politique peut également chercher à l'estomper ou la faire disparaître pour satisfaire des motivations expansionnistes. Un autre axe d'étude retenu est celui des zones contestées et/ou occupées qui attirent la convoitise des puissances et bouleversent des équilibres territoriaux souvent précaires.
Chaque État a, pour des raisons stratégiques (frontières « naturelles », accès à la mer), économiques, idéologiques ou culturelles, la volonté de redéfinir ou tout au moins de préciser le tracé de ses frontières. Plus largement, la notion d'aire d'influence intervient en ce qu'elle diffère profondément de l'aire étatique, théoriquement délimitée par une frontière au sein de laquelle l'État jouit d'un monopole juridique et administratif.
La stratégie culturelle est ici étudiée comme l'ensemble des décisions par lesquelles un État fédère ses divers modes de rayonnement afin de créer, de maintenir ou d'étendre une zone d'influence.
Les questions abordées s'inscrivent donc au cour des relations diplomatiques et militaires européennes. Des pistes de réflexions sont ouvertes sur les rapports entre frontières et opérations militaires, en temps de guerre comme en temps de paix, par l'étude de la défense des frontières, de leur utilisation dans le cadre d'une guerre offensive, ainsi que des mesures prises pour les équiper (fortifications, glacis, routes et voies ferrées, etc.).
Césure symbolique de l'espace, la frontière a besoin d'être matérialisée d'autant plus nettement que le pouvoir politique entend la rendre imperméable aux échanges économiques, aux influences intellectuelles ou à la circulation des personnes. Le pouvoir politique peut également chercher à l'estomper ou la faire disparaître pour satisfaire des motivations expansionnistes. Un autre axe d'étude retenu est celui des zones contestées et/ou occupées qui attirent la convoitise des puissances et bouleversent des équilibres territoriaux souvent précaires.
Chaque État a, pour des raisons stratégiques (frontières « naturelles », accès à la mer), économiques, idéologiques ou culturelles, la volonté de redéfinir ou tout au moins de préciser le tracé de ses frontières. Plus largement, la notion d'aire d'influence intervient en ce qu'elle diffère profondément de l'aire étatique, théoriquement délimitée par une frontière au sein de laquelle l'État jouit d'un monopole juridique et administratif.
La stratégie culturelle est ici étudiée comme l'ensemble des décisions par lesquelles un État fédère ses divers modes de rayonnement afin de créer, de maintenir ou d'étendre une zone d'influence.
Cet ouvrage est le fruit d'une journée d'étude organisée aux Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan le 15 décembre 2005, autour de la notion de frontière, vue dans ses aspects les plus variés. Séparation stricte ou voie de passage, la frontière reste le point de contact entre deux États, mais elle peut prendre l'aspect plus large et moins clairement défini d'un espace conçu comme base de rayonnement ou comme glacis protecteur.
Les questions abordées s'inscrivent donc au cour des relations diplomatiques et militaires européennes. Des pistes de réflexions sont ouvertes sur les rapports entre frontières et opérations militaires, en temps de guerre comme en temps de paix, par l'étude de la défense des frontières, de leur utilisation dans le cadre d'une guerre offensive, ainsi que des mesures prises pour les équiper (fortifications, glacis, routes et voies ferrées, etc.).
Césure symbolique de l'espace, la frontière a besoin d'être matérialisée d'autant plus nettement que le pouvoir politique entend la rendre imperméable aux échanges économiques, aux influences intellectuelles ou à la circulation des personnes. Le pouvoir politique peut également chercher à l'estomper ou la faire disparaître pour satisfaire des motivations expansionnistes. Un autre axe d'étude retenu est celui des zones contestées et/ou occupées qui attirent la convoitise des puissances et bouleversent des équilibres territoriaux souvent précaires.
Chaque État a, pour des raisons stratégiques (frontières « naturelles », accès à la mer), économiques, idéologiques ou culturelles, la volonté de redéfinir ou tout au moins de préciser le tracé de ses frontières. Plus largement, la notion d'aire d'influence intervient en ce qu'elle diffère profondément de l'aire étatique, théoriquement délimitée par une frontière au sein de laquelle l'État jouit d'un monopole juridique et administratif.
La stratégie culturelle est ici étudiée comme l'ensemble des décisions par lesquelles un État fédère ses divers modes de rayonnement afin de créer, de maintenir ou d'étendre une zone d'influence.
Les questions abordées s'inscrivent donc au cour des relations diplomatiques et militaires européennes. Des pistes de réflexions sont ouvertes sur les rapports entre frontières et opérations militaires, en temps de guerre comme en temps de paix, par l'étude de la défense des frontières, de leur utilisation dans le cadre d'une guerre offensive, ainsi que des mesures prises pour les équiper (fortifications, glacis, routes et voies ferrées, etc.).
Césure symbolique de l'espace, la frontière a besoin d'être matérialisée d'autant plus nettement que le pouvoir politique entend la rendre imperméable aux échanges économiques, aux influences intellectuelles ou à la circulation des personnes. Le pouvoir politique peut également chercher à l'estomper ou la faire disparaître pour satisfaire des motivations expansionnistes. Un autre axe d'étude retenu est celui des zones contestées et/ou occupées qui attirent la convoitise des puissances et bouleversent des équilibres territoriaux souvent précaires.
Chaque État a, pour des raisons stratégiques (frontières « naturelles », accès à la mer), économiques, idéologiques ou culturelles, la volonté de redéfinir ou tout au moins de préciser le tracé de ses frontières. Plus largement, la notion d'aire d'influence intervient en ce qu'elle diffère profondément de l'aire étatique, théoriquement délimitée par une frontière au sein de laquelle l'État jouit d'un monopole juridique et administratif.
La stratégie culturelle est ici étudiée comme l'ensemble des décisions par lesquelles un État fédère ses divers modes de rayonnement afin de créer, de maintenir ou d'étendre une zone d'influence.