Sciences de la vie, mathesis, infini. Nouvelles études d'archéologie des savoirs
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages212
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-3549-3
- EAN9791037035493
- Date de parution29/06/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
La connaissance de la vie pourrait-elle nous instruire sur la rationalité générale ? Cela ne saurait se produire sans élaborer les valeurs rationnelles propres au savoir biologique, par-delà les bricolages empiriques et l'emprise des métaphores mécanistes. Mais la vision dominante des sciences, orientée par le culte des données et de l'utilité pragmatique, fait obstacle à cette élaboration. C'est par une régression archéologique vers des strates oubliées de la pensée antique et moderne qu'il faudra saisir l'exigence de penser la vie comme un questionnement de la raison elle-même.
Des mathématiques « romantiques » à la querelle du vitalisme, de Hegel et Grassmann à Georges Canguilhem et Gilles Deleuze, du Néoplatonisme à la Naturphilosophie, autant de moments où la réflexion sur le vivant a impliqué une (auto-)réflexion sur l'Absolu contingent qu'est l'essence de l'animal rationnel.
Des mathématiques « romantiques » à la querelle du vitalisme, de Hegel et Grassmann à Georges Canguilhem et Gilles Deleuze, du Néoplatonisme à la Naturphilosophie, autant de moments où la réflexion sur le vivant a impliqué une (auto-)réflexion sur l'Absolu contingent qu'est l'essence de l'animal rationnel.
La connaissance de la vie pourrait-elle nous instruire sur la rationalité générale ? Cela ne saurait se produire sans élaborer les valeurs rationnelles propres au savoir biologique, par-delà les bricolages empiriques et l'emprise des métaphores mécanistes. Mais la vision dominante des sciences, orientée par le culte des données et de l'utilité pragmatique, fait obstacle à cette élaboration. C'est par une régression archéologique vers des strates oubliées de la pensée antique et moderne qu'il faudra saisir l'exigence de penser la vie comme un questionnement de la raison elle-même.
Des mathématiques « romantiques » à la querelle du vitalisme, de Hegel et Grassmann à Georges Canguilhem et Gilles Deleuze, du Néoplatonisme à la Naturphilosophie, autant de moments où la réflexion sur le vivant a impliqué une (auto-)réflexion sur l'Absolu contingent qu'est l'essence de l'animal rationnel.
Des mathématiques « romantiques » à la querelle du vitalisme, de Hegel et Grassmann à Georges Canguilhem et Gilles Deleuze, du Néoplatonisme à la Naturphilosophie, autant de moments où la réflexion sur le vivant a impliqué une (auto-)réflexion sur l'Absolu contingent qu'est l'essence de l'animal rationnel.