Savoirs autochtones : quelle nature, quels apports ?
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- Nombre de pages64
- FormatePub
- ISBN978-2-213-67467-4
- EAN9782213674674
- Date de parution07/11/2012
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille255 Ko
- ÉditeurFayard
Résumé
En 1992, la convention de Rio sur la diversité biologique reconnaissait officiellement et pour la première fois l'importance des savoirs autochtones face aux grands défis écologiques et humanistes des décennies à venir. Si les peuples traditionnels sont désormais officiellement reconnus dans l'espace politique et les institutions internationales, les différents acteurs - peuples autochtones, ONG, États et scientifiques - ont parfois des pratiques et des visions radicalement différentes, notamment en matière d'utilisation et de rémunération des ressources génétiques et d'exploitation des brevets qui y sont liés.
Si l'un des objectifs de la convention de Rio est « le partage juste et équitable des bénéfices issus de l'utilisation des ressources génétiques », les efforts traditionnels de conservation et les préoccupations économiques ne font pas toujours bon ménage. Dans ce contexte, les recherches sur la nature, les programmes et les régimes des savoirs traditionnels deviennent cruciales. Nous ne sommes pas en présence d'un seul mode d'accès à la connaissance, mais bien d'une pléthore de régimes de savoir qu'il faut encore connaître.
Ignorer ces dimensions, c'est mettre en danger la continuité des systèmes de savoirs autochtones.
Si l'un des objectifs de la convention de Rio est « le partage juste et équitable des bénéfices issus de l'utilisation des ressources génétiques », les efforts traditionnels de conservation et les préoccupations économiques ne font pas toujours bon ménage. Dans ce contexte, les recherches sur la nature, les programmes et les régimes des savoirs traditionnels deviennent cruciales. Nous ne sommes pas en présence d'un seul mode d'accès à la connaissance, mais bien d'une pléthore de régimes de savoir qu'il faut encore connaître.
Ignorer ces dimensions, c'est mettre en danger la continuité des systèmes de savoirs autochtones.
En 1992, la convention de Rio sur la diversité biologique reconnaissait officiellement et pour la première fois l'importance des savoirs autochtones face aux grands défis écologiques et humanistes des décennies à venir. Si les peuples traditionnels sont désormais officiellement reconnus dans l'espace politique et les institutions internationales, les différents acteurs - peuples autochtones, ONG, États et scientifiques - ont parfois des pratiques et des visions radicalement différentes, notamment en matière d'utilisation et de rémunération des ressources génétiques et d'exploitation des brevets qui y sont liés.
Si l'un des objectifs de la convention de Rio est « le partage juste et équitable des bénéfices issus de l'utilisation des ressources génétiques », les efforts traditionnels de conservation et les préoccupations économiques ne font pas toujours bon ménage. Dans ce contexte, les recherches sur la nature, les programmes et les régimes des savoirs traditionnels deviennent cruciales. Nous ne sommes pas en présence d'un seul mode d'accès à la connaissance, mais bien d'une pléthore de régimes de savoir qu'il faut encore connaître.
Ignorer ces dimensions, c'est mettre en danger la continuité des systèmes de savoirs autochtones.
Si l'un des objectifs de la convention de Rio est « le partage juste et équitable des bénéfices issus de l'utilisation des ressources génétiques », les efforts traditionnels de conservation et les préoccupations économiques ne font pas toujours bon ménage. Dans ce contexte, les recherches sur la nature, les programmes et les régimes des savoirs traditionnels deviennent cruciales. Nous ne sommes pas en présence d'un seul mode d'accès à la connaissance, mais bien d'une pléthore de régimes de savoir qu'il faut encore connaître.
Ignorer ces dimensions, c'est mettre en danger la continuité des systèmes de savoirs autochtones.