Sarah Kofman : philosopher autrement

Par : Ginette Michaud, Isabelle Ullern
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  • Nombre de pages326
  • FormatPDF
  • ISBN979-10-370-1450-4
  • EAN9791037014504
  • Date de parution21/07/2021
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille6 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurHermann
  • ContributeurNicholas Cotton

Résumé

L'écriture philosophique de Sarah Kofman a eu pour enjeu « ?la vie comme texte? ». De L'enfance de l'art (1970) à L'imposture de la beauté (1995, posthume), la philosophe a exploré cette question dans un geste de lecture audacieux par lequel elle confronte philosophes anciens (Empédocle, Héraclite, Platon), modernes (Descartes, Kant, Rousseau, Kierkegaard, Comte, Marx) et contemporains (Sartre, Blanchot, Derrida).
Sarah Kofman convoquait aussi dans toutes ses analyses deux interlocuteurs privilégiés, Freud et Nietzsche. La littérature, l'idéologie, le féminin, le rire, les rapports à l'art et à la psychanalyse, l'autobiogriffure furent les « ?voies de traverse? » par lesquelles celle qui, enfant, avait survécu à la Shoah, reconduisit la philosophie « ?au cour de la vie? ». Plus de vingt-cinq ans après la parution de Rue Ordener, rue Labat et du Mépris des Juifs en 1994, n'est-il pas temps de prendre la mesure de cette ouvre philosophique?? Cet ouvrage réunit, dans une perspective transdisciplinaire et internationale, philosophes, littéraires, historiens, historiens de l'art et psychanalystes autour du travail de la philosophe.
Multipliant les approches et les interprétations, faisant droit aux questions historiographiques et archivistiques liées à son ouvre, ces lectures entendent donner toute son actualité critique à la voix unique de Sarah Kofman.
L'écriture philosophique de Sarah Kofman a eu pour enjeu « ?la vie comme texte? ». De L'enfance de l'art (1970) à L'imposture de la beauté (1995, posthume), la philosophe a exploré cette question dans un geste de lecture audacieux par lequel elle confronte philosophes anciens (Empédocle, Héraclite, Platon), modernes (Descartes, Kant, Rousseau, Kierkegaard, Comte, Marx) et contemporains (Sartre, Blanchot, Derrida).
Sarah Kofman convoquait aussi dans toutes ses analyses deux interlocuteurs privilégiés, Freud et Nietzsche. La littérature, l'idéologie, le féminin, le rire, les rapports à l'art et à la psychanalyse, l'autobiogriffure furent les « ?voies de traverse? » par lesquelles celle qui, enfant, avait survécu à la Shoah, reconduisit la philosophie « ?au cour de la vie? ». Plus de vingt-cinq ans après la parution de Rue Ordener, rue Labat et du Mépris des Juifs en 1994, n'est-il pas temps de prendre la mesure de cette ouvre philosophique?? Cet ouvrage réunit, dans une perspective transdisciplinaire et internationale, philosophes, littéraires, historiens, historiens de l'art et psychanalystes autour du travail de la philosophe.
Multipliant les approches et les interprétations, faisant droit aux questions historiographiques et archivistiques liées à son ouvre, ces lectures entendent donner toute son actualité critique à la voix unique de Sarah Kofman.