Sainte-Marie-Majeure. Une Basilique de Rome dans l'histoire de la ville et de son église ( Vème-XIIIème siècle )

Par : Victor Saxer

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages721
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7283-1011-1
  • EAN9782728310111
  • Date de parution23/05/2013
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPublications de l’École français...

Résumé

L'idée de ce travail avait été suggérée en 1993-1994 par feu le cardinal Ugo Poletti, alors archiprêtre de Sainte-Marie-Majeure, et trouva une première expression à plusieurs voix dans l'ouvrage collectif dont il avait été l'instigateur : Santa Maria Maggiore e Roma. À la différence de celui qu'avait dirigé le regretté Carlo Pietrangeli : Santa Maria Maggiore a Roma, il devait montrer, non seulement la place de la basilique parmi ses homologues romaines en dégageant, comme il est courant de le faire dans les monographies qui leur sont consacrées, ses caractéristiques architecturales et artistiques, mais encore, ce qui est beaucoup moins fréquent, son rôle dans la vie religieuse de la Ville et de l'Église de Rome, voire de l'Église universelle.
J'avais collaboré à l'ouvrage voulu par le cardinal Poletti en esquissant dans cette perspective l'histoire de la basilique du ve au XIIIe siècle. Cette chronologie est restée celle de mon présent travail, sauf que je l'ai élargie en amont par l'examen de la préhistoire de la basilique et en aval par l'usage de la documentation manuscrite d'intérêt cultuel, coxtensive à tout le Moyen Âge, voire à une bonne partie de l'époque moderne, provenant de Sainte-Marie-Majeure et conservée aujourd'hui à la Bibliothèque Vaticane.
Je l'ai prolongé en guise d'épilogue, par le rappel du conflit qui opposa Boniface VIII aux cardinaux Colonna, archiprêtres de la basilique libérienne avant et après le conflit, et qui marqua la fin des rapports que depuis son origine les papes avaient entretenus avec elle. C'est à la mémoire de celui qui en fut le premier inspirateur que j'ai dédié le présent travail.
L'idée de ce travail avait été suggérée en 1993-1994 par feu le cardinal Ugo Poletti, alors archiprêtre de Sainte-Marie-Majeure, et trouva une première expression à plusieurs voix dans l'ouvrage collectif dont il avait été l'instigateur : Santa Maria Maggiore e Roma. À la différence de celui qu'avait dirigé le regretté Carlo Pietrangeli : Santa Maria Maggiore a Roma, il devait montrer, non seulement la place de la basilique parmi ses homologues romaines en dégageant, comme il est courant de le faire dans les monographies qui leur sont consacrées, ses caractéristiques architecturales et artistiques, mais encore, ce qui est beaucoup moins fréquent, son rôle dans la vie religieuse de la Ville et de l'Église de Rome, voire de l'Église universelle.
J'avais collaboré à l'ouvrage voulu par le cardinal Poletti en esquissant dans cette perspective l'histoire de la basilique du ve au XIIIe siècle. Cette chronologie est restée celle de mon présent travail, sauf que je l'ai élargie en amont par l'examen de la préhistoire de la basilique et en aval par l'usage de la documentation manuscrite d'intérêt cultuel, coxtensive à tout le Moyen Âge, voire à une bonne partie de l'époque moderne, provenant de Sainte-Marie-Majeure et conservée aujourd'hui à la Bibliothèque Vaticane.
Je l'ai prolongé en guise d'épilogue, par le rappel du conflit qui opposa Boniface VIII aux cardinaux Colonna, archiprêtres de la basilique libérienne avant et après le conflit, et qui marqua la fin des rapports que depuis son origine les papes avaient entretenus avec elle. C'est à la mémoire de celui qui en fut le premier inspirateur que j'ai dédié le présent travail.