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Robert Evans. Mémoires

Par : Robert Evans
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  • Nombre de pages459
  • FormatePub
  • ISBN978-2-38636-048-0
  • EAN9782386360480
  • Date de parution02/10/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurSéguier
  • PréfacierFabrice Gaignault
  • PréfacierPeter Bart
  • TraducteurMarianne Véron

Résumé

Le cinéma est une histoire d'ombres et de lumières. Il y a ceux qui font les films et ceux qui les rendent possibles, qui mettent toute leur énergie et leur conviction pour que le mot " moteur " soit un jour prononcé. Robert Evans est l'un de leurs plus flamboyants représentants. Sous son règne, les studios Paramount ont sorti un nombre impressionnant de chefs-d'ouvre : Le Parrain de Francis Ford Coppola, Rosemary's Baby de Roman Polanski, Love Story de Arthur Hiller ou encore Serpico de Sidney Lumet.
Et quand il décida de voler des propres ailes, la liste fut tout aussi riche : Chinatown de Polanski, Marathon Man de John Schlesinger ou Cotton Club de Coppola. Comment expliquer cette impressionnante carrière ? Par la passion, tout simplement, la dévotion corps et âme à un art : le cinéma. Ancien acteur, Robert Evans ne suivait qu'un seul credo : garantir la liberté créatrice des réalisateurs. Un engagement total que l'on retrouvait dans sa vie nocturne.
Robert Evans comptait en effet parmi les " party animals " les plus célèbres d'Hollywood (avec Jack Nicholson, Warren Beatty, Al Pacino mais aussi Ava Gardner, Errol Flynn ou Sharon Stone que l'on croise tous au fil de ces pages). Ses fêtes somptueuses ont marqué presque autant que ses productions. Et, marié sept fois, son parcours de séducteur n'a rien à envier à sa filmographie... Son autobiographie aujourd'hui rééditée chez Séguier est régulièrement citée dans les classements des dix meilleurs livres sur le cinéma.
Parce qu'elle est précise, détaillée, qu'elle constitue une véritable plongée dans le métier de producteur mais aussi et surtout parce qu'elle est rédigée avec une complète franchise. Robert Evans n'a jamais particulièrement cru aux vertus du compromis ou de la diplomatie. Pour lui, le film passait avant tout. Fort heureusement, son ouvrage a conservé ce ton direct, sans concession et plein d'humour. À partir des années 1980, la vie de Robert Evans vire au polar.
Il est impliqué dans un trafic de cocaïne puis dans une affaire de meurtre. Mais il en faudrait plus pour ternir la légende, celle du dernier grand producteur d'Hollywood. Après lui, viendra l'ère des comptables et des experts en marketing. Le cinéma ne sera plus qu'un sujet parmi d'autres...
Le cinéma est une histoire d'ombres et de lumières. Il y a ceux qui font les films et ceux qui les rendent possibles, qui mettent toute leur énergie et leur conviction pour que le mot " moteur " soit un jour prononcé. Robert Evans est l'un de leurs plus flamboyants représentants. Sous son règne, les studios Paramount ont sorti un nombre impressionnant de chefs-d'ouvre : Le Parrain de Francis Ford Coppola, Rosemary's Baby de Roman Polanski, Love Story de Arthur Hiller ou encore Serpico de Sidney Lumet.
Et quand il décida de voler des propres ailes, la liste fut tout aussi riche : Chinatown de Polanski, Marathon Man de John Schlesinger ou Cotton Club de Coppola. Comment expliquer cette impressionnante carrière ? Par la passion, tout simplement, la dévotion corps et âme à un art : le cinéma. Ancien acteur, Robert Evans ne suivait qu'un seul credo : garantir la liberté créatrice des réalisateurs. Un engagement total que l'on retrouvait dans sa vie nocturne.
Robert Evans comptait en effet parmi les " party animals " les plus célèbres d'Hollywood (avec Jack Nicholson, Warren Beatty, Al Pacino mais aussi Ava Gardner, Errol Flynn ou Sharon Stone que l'on croise tous au fil de ces pages). Ses fêtes somptueuses ont marqué presque autant que ses productions. Et, marié sept fois, son parcours de séducteur n'a rien à envier à sa filmographie... Son autobiographie aujourd'hui rééditée chez Séguier est régulièrement citée dans les classements des dix meilleurs livres sur le cinéma.
Parce qu'elle est précise, détaillée, qu'elle constitue une véritable plongée dans le métier de producteur mais aussi et surtout parce qu'elle est rédigée avec une complète franchise. Robert Evans n'a jamais particulièrement cru aux vertus du compromis ou de la diplomatie. Pour lui, le film passait avant tout. Fort heureusement, son ouvrage a conservé ce ton direct, sans concession et plein d'humour. À partir des années 1980, la vie de Robert Evans vire au polar.
Il est impliqué dans un trafic de cocaïne puis dans une affaire de meurtre. Mais il en faudrait plus pour ternir la légende, celle du dernier grand producteur d'Hollywood. Après lui, viendra l'ère des comptables et des experts en marketing. Le cinéma ne sera plus qu'un sujet parmi d'autres...