Rire à la Renaissance
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- Nombre de pages544
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-600-31332-2
- EAN9782600313322
- Date de parution01/01/2010
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurLibrairie Droz
Résumé
L'étude du rire méritait d'être renouvelée pour une période que Rabelais continue à dominer. Ce volume a regroupé vingt-six intervenants - littéraires, musicologues, historiens de l'art, des sciences ou de la pensée religieuse - qui offrent ici un recueil de vrais rires de toutes natures. A un moment où s'essoufflent les modèles inopérants de Bakhtine et de ses contradicteurs, il a paru plus important de saisir sur le vif, comme à l'improviste, la présence exceptionnelle du rire à tous les niveaux de l'invention, des pratiques et des comportements des hommes de la Renaissance.
En partant des évidences sensibles, notamment musicales et iconographiques, en interrogeant constamment les expressions du rire et son lexique - partout, jusque dans les archives qui le condamnent -, en développant sous des angles nouveaux, la réflexion sur les auteurs et les artistes les plus attendus comme les plus anonymes (Rabelais, Montaigne, Roland de Lassus, Ronsard, Béroalde de Verville, Tabourot, Léonard de Vinci et son entourage, etc.), en soulignant également le rôle majeur des médecins-philosophes par le regard libre et profond qu'ils jettent sur 'activité de rire, le volume dégage peu à peu les nouvelles implications de l'érudition facétieuse et des pratiques de cour: tout cela intéressait encore vivement le XIXe siècle.
L'omniprésence du rire suggère finalement qu'il pourrait être une activité globale, tout à la fois indépendante et nécessairement sociale, qui unit sans cesse le coeur et le corps de chaque homme dans une expérience unique d'ordre sensible, et met en jeu observation, culture et imagination. Le rire que l'on vivait naturellement à la Renaissance nous concerne pleinement aujourd'hui.
En partant des évidences sensibles, notamment musicales et iconographiques, en interrogeant constamment les expressions du rire et son lexique - partout, jusque dans les archives qui le condamnent -, en développant sous des angles nouveaux, la réflexion sur les auteurs et les artistes les plus attendus comme les plus anonymes (Rabelais, Montaigne, Roland de Lassus, Ronsard, Béroalde de Verville, Tabourot, Léonard de Vinci et son entourage, etc.), en soulignant également le rôle majeur des médecins-philosophes par le regard libre et profond qu'ils jettent sur 'activité de rire, le volume dégage peu à peu les nouvelles implications de l'érudition facétieuse et des pratiques de cour: tout cela intéressait encore vivement le XIXe siècle.
L'omniprésence du rire suggère finalement qu'il pourrait être une activité globale, tout à la fois indépendante et nécessairement sociale, qui unit sans cesse le coeur et le corps de chaque homme dans une expérience unique d'ordre sensible, et met en jeu observation, culture et imagination. Le rire que l'on vivait naturellement à la Renaissance nous concerne pleinement aujourd'hui.
L'étude du rire méritait d'être renouvelée pour une période que Rabelais continue à dominer. Ce volume a regroupé vingt-six intervenants - littéraires, musicologues, historiens de l'art, des sciences ou de la pensée religieuse - qui offrent ici un recueil de vrais rires de toutes natures. A un moment où s'essoufflent les modèles inopérants de Bakhtine et de ses contradicteurs, il a paru plus important de saisir sur le vif, comme à l'improviste, la présence exceptionnelle du rire à tous les niveaux de l'invention, des pratiques et des comportements des hommes de la Renaissance.
En partant des évidences sensibles, notamment musicales et iconographiques, en interrogeant constamment les expressions du rire et son lexique - partout, jusque dans les archives qui le condamnent -, en développant sous des angles nouveaux, la réflexion sur les auteurs et les artistes les plus attendus comme les plus anonymes (Rabelais, Montaigne, Roland de Lassus, Ronsard, Béroalde de Verville, Tabourot, Léonard de Vinci et son entourage, etc.), en soulignant également le rôle majeur des médecins-philosophes par le regard libre et profond qu'ils jettent sur 'activité de rire, le volume dégage peu à peu les nouvelles implications de l'érudition facétieuse et des pratiques de cour: tout cela intéressait encore vivement le XIXe siècle.
L'omniprésence du rire suggère finalement qu'il pourrait être une activité globale, tout à la fois indépendante et nécessairement sociale, qui unit sans cesse le coeur et le corps de chaque homme dans une expérience unique d'ordre sensible, et met en jeu observation, culture et imagination. Le rire que l'on vivait naturellement à la Renaissance nous concerne pleinement aujourd'hui.
En partant des évidences sensibles, notamment musicales et iconographiques, en interrogeant constamment les expressions du rire et son lexique - partout, jusque dans les archives qui le condamnent -, en développant sous des angles nouveaux, la réflexion sur les auteurs et les artistes les plus attendus comme les plus anonymes (Rabelais, Montaigne, Roland de Lassus, Ronsard, Béroalde de Verville, Tabourot, Léonard de Vinci et son entourage, etc.), en soulignant également le rôle majeur des médecins-philosophes par le regard libre et profond qu'ils jettent sur 'activité de rire, le volume dégage peu à peu les nouvelles implications de l'érudition facétieuse et des pratiques de cour: tout cela intéressait encore vivement le XIXe siècle.
L'omniprésence du rire suggère finalement qu'il pourrait être une activité globale, tout à la fois indépendante et nécessairement sociale, qui unit sans cesse le coeur et le corps de chaque homme dans une expérience unique d'ordre sensible, et met en jeu observation, culture et imagination. Le rire que l'on vivait naturellement à la Renaissance nous concerne pleinement aujourd'hui.