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À 40 ans, Elsa est une historienne et biographe réputée. Quand elle propose à son éditeur d'écrire la vie de Vera Miller, une comédienne qui a marqué plusieurs générations et continue à enchaîner les rôles, celui-ci trouve l'idée excellente bien qu'étonnante venant d'une universitaire dont tous les écrits portent sur le XVIe siècle. Ce qu'il ne sait pas, ce que personne ne sait, c'est que Vera Miller n'est pas n'importe qui pour Elsa.
C'est sa mère. Une mère qui ne l'a pas élevée, qu'elle n'a vue qu'une fois par an jusqu'à sa dixième année, et dont elle n'a eu des nouvelles qu'à travers la presse...
Si Agathe Colombier Hochberg est un auteur de comédies à succès, c'est parce qu'elle sait voir et dire les relations entre les êtres. Elle le montre plus que jamais aujourd'hui en peignant avec justesse et pudeur deux magnifiques portraits de femmes.
D'un côté celle qui a fait le choix de ne pas être la mère de son enfant, et de l'autre, celle qui est condamnée à vivre dans l'ombre de la femme qui ne lui donna qu'une chose : la vie.
Une mère qu'elle ne connait qu'à travers la presse
Elsa décide d'écrire la biographie de Vera Miller, une comédienne qui connait un grand succès. Son éditeur accepte, d'autant plus que personne ne l'a fait précédemment et que cette comédienne reste très secrète sur sa vie privée. Mais ce qu'il ne sait pas , c'est que cette femme n'est pas n'importe qui pour Elsa, il s'agit de sa mère et que celle ci l'a abandonné à sa naissance. Sa mère n'est pas morte comme elle l'a toujours fait croire à son entourage, même à sa propre fille.
Histoire touchante, émouvante, qui aborde des thèmes intéressant sur l'abandon de son enfant, la relation mère/fille, la recherche de sa mère, de ses origines quand on a été abandonné, des secrets de famille/non-dit.