Retour aux communs. Pour une transition copernicienne
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- Nombre de pages252
- FormatePub
- ISBN978-2-7465-2513-9
- EAN9782746525139
- Date de parution30/03/2022
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLe Pommier
Résumé
Le réchauffement climatique et les désastres écologiques provoqués par les activités humaines imposent peu à peu l'idée d'une transition écologique. Mais en quoi devrait consister cette « transition » ? À adopter des écogestes ? À éduquer au développement durable ? Pour Michel Magny, notre ambition devrait aller plus loin. Dans cet essai, il retrace, sur la très longue durée, les processus qui, depuis 7 millions d'années, sont à l'origine des sociétés humaines et ceux qui, depuis 3, 8 milliards d'années, ont permis l'évolution, le développement et le maintien de la communauté des vivants sur la planète.
Une très longue durée, donc, à travers laquelle se sont construits deux communs : le commun social, que nous avons en partage entre humains, et le commun biotique, que les humains partagent avec tous les vivants. Copernicienne, la transition qui s'esquisse alors prend le contre-pied de l'idéologie néolibérale dominante en s'articulant autour d'un projet global - écologique et social -, borné par les limites mêmes de notre planète.
Sa boussole ? Maintenir la durabilité de ces deux communs essentiels hors desquels nous perdons à la fois notre essence et notre existence.
Une très longue durée, donc, à travers laquelle se sont construits deux communs : le commun social, que nous avons en partage entre humains, et le commun biotique, que les humains partagent avec tous les vivants. Copernicienne, la transition qui s'esquisse alors prend le contre-pied de l'idéologie néolibérale dominante en s'articulant autour d'un projet global - écologique et social -, borné par les limites mêmes de notre planète.
Sa boussole ? Maintenir la durabilité de ces deux communs essentiels hors desquels nous perdons à la fois notre essence et notre existence.
Le réchauffement climatique et les désastres écologiques provoqués par les activités humaines imposent peu à peu l'idée d'une transition écologique. Mais en quoi devrait consister cette « transition » ? À adopter des écogestes ? À éduquer au développement durable ? Pour Michel Magny, notre ambition devrait aller plus loin. Dans cet essai, il retrace, sur la très longue durée, les processus qui, depuis 7 millions d'années, sont à l'origine des sociétés humaines et ceux qui, depuis 3, 8 milliards d'années, ont permis l'évolution, le développement et le maintien de la communauté des vivants sur la planète.
Une très longue durée, donc, à travers laquelle se sont construits deux communs : le commun social, que nous avons en partage entre humains, et le commun biotique, que les humains partagent avec tous les vivants. Copernicienne, la transition qui s'esquisse alors prend le contre-pied de l'idéologie néolibérale dominante en s'articulant autour d'un projet global - écologique et social -, borné par les limites mêmes de notre planète.
Sa boussole ? Maintenir la durabilité de ces deux communs essentiels hors desquels nous perdons à la fois notre essence et notre existence.
Une très longue durée, donc, à travers laquelle se sont construits deux communs : le commun social, que nous avons en partage entre humains, et le commun biotique, que les humains partagent avec tous les vivants. Copernicienne, la transition qui s'esquisse alors prend le contre-pied de l'idéologie néolibérale dominante en s'articulant autour d'un projet global - écologique et social -, borné par les limites mêmes de notre planète.
Sa boussole ? Maintenir la durabilité de ces deux communs essentiels hors desquels nous perdons à la fois notre essence et notre existence.