Résistance et cubanité. Trois écrivains nés avec la Révolution cubaine : Eliseo Alberto, Leonardo Padura et Zoé Valdès
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages356
- FormatPDF
- ISBN2-296-15974-5
- EAN9782296159747
- Date de parution01/12/2006
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille15 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierFrançoise Moulin Civil
Résumé
L'attitude résistante de générations successives d'artistes et d'écrivains cubains est portée par l'obsession de la quête d'une essence, la cubanité. Elle cristallise des aspirations jamais satisfaites, tendues vers la réalisation d'une utopie nationale, puissant moteur de rébellion.
Les trois écrivains nés avec la Révolution de 1959, Eliseo Alberto (1951), Leonardo Padura (1955), Zoé Valdès (1959), préoccupés par la mise en péril de la cubanité, s'inscrivent dans cette tradition, malgré leurs stratégies très différentes.
La convergence procède du consensus d'une génération fondé sur la vision critique d'un dévoiement de l'utopie révolutionnaire. L'auteur propose une représentation de l'univers de la période Spéciale consécutive à la disparition de l'Union soviétique et rend compte de la faillite du " grand récit " de la Révolution. L'esthétique de la dérision traduit l'hétérogénéité d'un monde fragmenté, emporté dans la dispersion de l'exil.
Mais l'écrivain doit résister à la désagrégation et à la dilution de son identité.
La convergence procède du consensus d'une génération fondé sur la vision critique d'un dévoiement de l'utopie révolutionnaire. L'auteur propose une représentation de l'univers de la période Spéciale consécutive à la disparition de l'Union soviétique et rend compte de la faillite du " grand récit " de la Révolution. L'esthétique de la dérision traduit l'hétérogénéité d'un monde fragmenté, emporté dans la dispersion de l'exil.
Mais l'écrivain doit résister à la désagrégation et à la dilution de son identité.
L'attitude résistante de générations successives d'artistes et d'écrivains cubains est portée par l'obsession de la quête d'une essence, la cubanité. Elle cristallise des aspirations jamais satisfaites, tendues vers la réalisation d'une utopie nationale, puissant moteur de rébellion.
Les trois écrivains nés avec la Révolution de 1959, Eliseo Alberto (1951), Leonardo Padura (1955), Zoé Valdès (1959), préoccupés par la mise en péril de la cubanité, s'inscrivent dans cette tradition, malgré leurs stratégies très différentes.
La convergence procède du consensus d'une génération fondé sur la vision critique d'un dévoiement de l'utopie révolutionnaire. L'auteur propose une représentation de l'univers de la période Spéciale consécutive à la disparition de l'Union soviétique et rend compte de la faillite du " grand récit " de la Révolution. L'esthétique de la dérision traduit l'hétérogénéité d'un monde fragmenté, emporté dans la dispersion de l'exil.
Mais l'écrivain doit résister à la désagrégation et à la dilution de son identité.
La convergence procède du consensus d'une génération fondé sur la vision critique d'un dévoiement de l'utopie révolutionnaire. L'auteur propose une représentation de l'univers de la période Spéciale consécutive à la disparition de l'Union soviétique et rend compte de la faillite du " grand récit " de la Révolution. L'esthétique de la dérision traduit l'hétérogénéité d'un monde fragmenté, emporté dans la dispersion de l'exil.
Mais l'écrivain doit résister à la désagrégation et à la dilution de son identité.