Rescapé. Auschwitz, la Marche de la mort et mon combat pour la liberté

Par : Sam Pivnik

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  • Nombre de pages262
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8238-0454-6
  • EAN9782823804546
  • Date de parution10/01/2013
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille4 Mo
  • Éditeur12-21
  • TraducteurThierry Marignac

Résumé

Sam Pivnik est un miraculé d'un monde qui n'existe plus. Né en 1926 en Pologne, il est déportéà Auschwitz Birkenau en 1943, où il sera le seul membre de sa famille àéchapper aux chambres à gaz. Porté par une volonté de vivre hors du commun, il travaille successivement au déchargement des trains à leur arrivée au camp (sur la funeste rampe), puis dans la mine de Fürstengrube, avant de connaître les « Marches de la mort » et de survivre au bombardement accidentel du paquebot Cap Arcona par la RAF.
À travers son expérience unique de tous ces événements dramatiques, il apporte un témoignage d'exception sur le travail des prisonniers, mais en toile de fond, il fait aussi revivre la vibrante culture juive polonaise balayée par la Seconde Guerre mondiale.
Sam Pivnik est un miraculé d'un monde qui n'existe plus. Né en 1926 en Pologne, il est déportéà Auschwitz Birkenau en 1943, où il sera le seul membre de sa famille àéchapper aux chambres à gaz. Porté par une volonté de vivre hors du commun, il travaille successivement au déchargement des trains à leur arrivée au camp (sur la funeste rampe), puis dans la mine de Fürstengrube, avant de connaître les « Marches de la mort » et de survivre au bombardement accidentel du paquebot Cap Arcona par la RAF.
À travers son expérience unique de tous ces événements dramatiques, il apporte un témoignage d'exception sur le travail des prisonniers, mais en toile de fond, il fait aussi revivre la vibrante culture juive polonaise balayée par la Seconde Guerre mondiale.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
témoignage
De nombreux adjectifs peuvent qualifier cette lecture, mais leur énumération de serait pas suffisante pour décrire ce que j'ai pu ressentir au fil des pages. De plus, il m'apparait compliqué de parler de moi, lectrice, tranquillement installée dans mon fauteuil, alors que le sujet de ce livre est la déportation. Sam Pivnick, jeune homme de confession juive dont l'adolescence a été chamboulée par son arrivée dans un camp de la mort, l'un des plus connu aujourd'hui, a été le témoin de la perversion des hommes lors de cette triste période de l'Histoire. Il nous parle de sa vie d'avant l'invasion des nazis en Pologne, de son vécu à Auschwitz, des moments où il a frôlé la mort. Puis vient la libération, le retour à la vie « normale », la vie d'après le camp. Il nous parle de tout cela, et de bien d'autres choses encore, avec beaucoup d'humilité, de retenue et de pudeur. Il relate son incompréhension et, plus généralement, l'incompréhension du peuple juif face à l'enchainement des événements survenus à l'époque, face à la folie d'un homme. En tant que lectrice, j'ai été admirative du courage de l'auteur. Il ne doit pas être facile de poser des mots, de raconter son vécu. Sam Pivnick, grâce à ce témoignage, nous fait partager son expérience, permet aussi de continuer à se souvenir de cette terrible période de l'histoire, et surtout contribue à ce que, jamais, ces événements ne soient déformés et réécrits. Le devoir de mémoire ce n'est pas se rappeler de l'horreur et des noms des personnes à l'origine de tant de souffrances. C'est se souvenir d'hommes, de femmes, d'enfants, qui ont été persécutés. Alors aujourd'hui je peux dire qu'après les récits d'Anne Franck et de Primo Levi, je me souviendrai pour longtemps du témoignage de Sam Pivnick.
De nombreux adjectifs peuvent qualifier cette lecture, mais leur énumération de serait pas suffisante pour décrire ce que j'ai pu ressentir au fil des pages. De plus, il m'apparait compliqué de parler de moi, lectrice, tranquillement installée dans mon fauteuil, alors que le sujet de ce livre est la déportation. Sam Pivnick, jeune homme de confession juive dont l'adolescence a été chamboulée par son arrivée dans un camp de la mort, l'un des plus connu aujourd'hui, a été le témoin de la perversion des hommes lors de cette triste période de l'Histoire. Il nous parle de sa vie d'avant l'invasion des nazis en Pologne, de son vécu à Auschwitz, des moments où il a frôlé la mort. Puis vient la libération, le retour à la vie « normale », la vie d'après le camp. Il nous parle de tout cela, et de bien d'autres choses encore, avec beaucoup d'humilité, de retenue et de pudeur. Il relate son incompréhension et, plus généralement, l'incompréhension du peuple juif face à l'enchainement des événements survenus à l'époque, face à la folie d'un homme. En tant que lectrice, j'ai été admirative du courage de l'auteur. Il ne doit pas être facile de poser des mots, de raconter son vécu. Sam Pivnick, grâce à ce témoignage, nous fait partager son expérience, permet aussi de continuer à se souvenir de cette terrible période de l'histoire, et surtout contribue à ce que, jamais, ces événements ne soient déformés et réécrits. Le devoir de mémoire ce n'est pas se rappeler de l'horreur et des noms des personnes à l'origine de tant de souffrances. C'est se souvenir d'hommes, de femmes, d'enfants, qui ont été persécutés. Alors aujourd'hui je peux dire qu'après les récits d'Anne Franck et de Primo Levi, je me souviendrai pour longtemps du témoignage de Sam Pivnick.
De mon point de vue
Sam Pivnik était un petit garçon quand subitement il perd sa famille, ses amis, son histoire et son identité. Il cesse d'être Sam le fils de Lejbus Pewnik un tailleur très connu à Bedzin, pour devenir la chiffre N° 135913 dans les registres des Allemands. Un jeune homme qui, jour après jour, fît de son mieux pour survire dans le camp de Auschwitz. Il s’accroche à tout ce qui lui restait, une paire de chaussures, un bol pour manger et ses souvenirs dans le jardin de L’Eden. Plusieurs années après, la guerre se termine enfin et le chiffre N° 135913 devient Sam Pivnik, un survivant à Auschwitz. Mais la tache n’est pas facile pour lui, car il n’est pas bon d’être juif dans une Allemagne vaincue où règne encore un antisémitisme profond. De mon point de vue, le livre « Rescapé » de Sam Pivnik n’est pas le meilleur ouvrage qui aborde le sujet des survivants d’Auschwitz. L’auteur raconte sa vie avant, pendant et après Auschwitz. Il raconte comment, petit à petit, sa vie et son entourage se transformé en l’enfer que fût l’holocauste. Comment est qu’il a échappé à plusieurs reprises de la mort, et enfin comment il a fait pour reconstruire sa vie après la seconde guerre mondiale. Malgré tout, je n’ai pas réussie à rentrer dans l’histoire comme j’ai pu le faire avec d’autres témoignages de même genre. Ce que j’ai bien apprécié dans le livre, c’est que ce n’est pas une histoire dans laquelle l’auteur n’essaye pas se victimiser et qu’il raconte son histoire juste après la libération en plus de sa vie en captivité ce qui n’est pas le cas des autres témoignages que j’ai pu lire.
Sam Pivnik était un petit garçon quand subitement il perd sa famille, ses amis, son histoire et son identité. Il cesse d'être Sam le fils de Lejbus Pewnik un tailleur très connu à Bedzin, pour devenir la chiffre N° 135913 dans les registres des Allemands. Un jeune homme qui, jour après jour, fît de son mieux pour survire dans le camp de Auschwitz. Il s’accroche à tout ce qui lui restait, une paire de chaussures, un bol pour manger et ses souvenirs dans le jardin de L’Eden. Plusieurs années après, la guerre se termine enfin et le chiffre N° 135913 devient Sam Pivnik, un survivant à Auschwitz. Mais la tache n’est pas facile pour lui, car il n’est pas bon d’être juif dans une Allemagne vaincue où règne encore un antisémitisme profond. De mon point de vue, le livre « Rescapé » de Sam Pivnik n’est pas le meilleur ouvrage qui aborde le sujet des survivants d’Auschwitz. L’auteur raconte sa vie avant, pendant et après Auschwitz. Il raconte comment, petit à petit, sa vie et son entourage se transformé en l’enfer que fût l’holocauste. Comment est qu’il a échappé à plusieurs reprises de la mort, et enfin comment il a fait pour reconstruire sa vie après la seconde guerre mondiale. Malgré tout, je n’ai pas réussie à rentrer dans l’histoire comme j’ai pu le faire avec d’autres témoignages de même genre. Ce que j’ai bien apprécié dans le livre, c’est que ce n’est pas une histoire dans laquelle l’auteur n’essaye pas se victimiser et qu’il raconte son histoire juste après la libération en plus de sa vie en captivité ce qui n’est pas le cas des autres témoignages que j’ai pu lire.
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